28 septembre 2016 3 28 /09 /septembre /2016 05:19

Parfois je ressens une dissociation de mon monde réel avec celui vanté par les médias, et je vous épargne la bulle grosse comme le boeuf de la politique, pour ne regarder que celle des modes et tendances. Vie pratique serait un terme impropre car il faut aujourd'hui être hyper connecté avec un téléphone qui a paradoxalement une durée de charge de deux jours maximum, notre vie semble au final un raccourci d'existence.

 

Applications et vérités absolues délivrées par des experts en moins de cinq minutes, à la radio, , à la télé entre deux publicités, dans des magazines jetables. Car oui après ce délai "énorme", toute analyse serait vaine, car trop longue pour la concentration d'un ensemble d'humains si doués, si connectés, si peu capables de lire et par delà même de comprendre un sujet en profondeur. Un monde de plus en plus rapide, où l'utile devient ringard, le bon sens une anecdote oubliée, mais où le futile prend une forme prépondérante. Applications gratuites ou payantes, par milliers de versions, avec des publicités en tous genres, applications inutiles pour jouer mais ne jamais apprendre, ne jamais apporter de la connaissance aux cerveaux endormis.

 

Un autre monde, et pourtant je suis un consommateur de blogs, de réseaux sociaux, d'internet plus que de télé, pour découvrir, pour comprendre, pour dénicher des affaires et des astuces de vie courante. Pour me détendre aussi ! mais pas seulement !

 

Un autre monde où les tendances, qui par essence sont souvent passagères en attendant la prochaine, deviennent le guide absolu de l'existence humaine. Sommes-nous si facilement manipulables ?

Ainsi déferlent les régimes, par vague, par idée fixe, par volonté commerciale surtout, par pure folie reprise par des magazines féminins sans aucun recul apparemment sur le sujet, je peux lire des revues datant de l'année précédente et de l'année courante pour voir tout et son contraire. Mais validés par des experts ! Alors mangez librement en faisant attention à avoir un bon équilibre alimentaire, le vôtre d'abord, et surtout au plaisir que vous en tirer à chaque repas. Gluten ou pas, vegan ou bon steack, restez libres de soigner votre assiette, votre bonheur gustatif sans avoir à décrypter avec une ordonnance vos plats. C'est bien un menu et pas une liste d'injonctions qui vont dans votre ventre. Digérez librement.

 

Vous pourrez au final, oui en bout de chaîne de ce processus, lire quelques pages pour finir le transit, sur les tatouages, quasi obligatoires sous peine d'être un extraterrestre à la peau vierge.

 

Pire encore, le harcèlement sportif et sexuel avec des applications, des montres, des objets connectés pour suivre vos activités. Alors si certaines aident à un bon rythme d'entrainement pour votre prochain défi personnel, le coach permanent m'énerve. Big brother is watching you lors des efforts, lors de tes arrêts pipi, lors de ta douche, lors de ta trop longue discussion avec ta copine durant ce petit footing, lors de tes moments de libertés. 

 

Mais le summum est atteint quand les super-humains, oui ceux qui mesurent toutes leurs performances, croient que l'amour, la personne compatible avec leur karma connecté doit battre en rythme avec votre coeur numérique. Et quand elle retirera sa robe, est-ce que vous devrez ajouter le paramètre du nombre de jarretelles, du temps perdu à dégrafer son soutien-gorge, de la concurrence déloyale exhibée sur sa table de nuit des sextoys les plus performants, pour comprendre que votre désir intime est un truc purement animal, hormonal et pire encore une bulle de sentiments.

Les émotions sont humaines, à consommer sans modération. Sans aucune tendance !

 

 

Tendances

 

 

Blog de référence :

les 400 culs d'Agnès GIARD (journaliste, écrivain et docteur en anthropologie)

 

PS : je n'ai rien contre les tatouages, sauf ceux qui déferlent

comme un besoin induit par une mode d'un jour, alors que c'est un réel choix d'une vie.

 

 

Nylonement

 

 

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26 septembre 2016 1 26 /09 /septembre /2016 05:46

S'imprégner de son odeur.

S'enivrer de lui.

 

J'aime tant le sentir près de moi, là, lové dans mon dos, à moins que ce ne soit l'inverse. Collés l'un à l'autre durant nos nuits, j'aime dormir ainsi, enveloppée par sa chaleur communicative, sous notre couette. Un bonheur quotidien, un bien-être simple, je rêve plus facilement ainsi.

 

Alors le matin, après nos passages décalés dans la salle de bain, les moments doux avec la radio en fond sonore, quelques paroles, certains jours de belles discussions sur une information entendue, du thé ou du café, des tartines gourmandes, je me prépare pour partir vers mon travail. Ses baisers dans mon cou, mon écharpe douce en mousseline de soie noué.

 

Et lui, mon nez dans son cou, une gorgée, une longue goulée pour emporter un peu de lui avec moi, une respiration avec la chaleur de sa peau. Infiniment, délicatement je croque son parfum, un dernier sourire en refermant la porte.

 

 

Nylonement

 

Son parfum
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2 septembre 2016 5 02 /09 /septembre /2016 07:15
Prochain printemps

Un verre posé sur la table, vide, le goût étrange du jus d'orange qui coule en moi, la position semi-assise, semi-couché dans ce lit d'hôpital, des saveurs que je ne retrouve pas, mais au final une bouche pâteuse qui salive pas. Le petit croissant est là, posé dans sa barquette de plastique, seul, fade face à mon regard, sans le moindre arôme de viennoiseries. J'ai déjà mangé, lentement, le bout de baguette, après avoir pris le temps de déplier le papier doré du beurre, après avoir étalé soigneusement le gras jaune sur la mie blanche. Mâcher lentement en pensant fort aux saveurs possible du pain, celui de mon enfance, de la boulangerie de grand-père, des grosses miches cuites encore au feu de bois, des larges alvéoles de la mie beige, l'explosion de la croûte grillée, de la farine et de souvenirs de gourmandises, Je voyage avec ce morne plateau posé sur la tablette, un regard perdu vers l'extérieur, j'aperçois un parc, des grands arbres, quelques oiseaux. Un coin de verdure, oubliant les immeubles environnant, les étages avec d'autres chambres, avec d'autres services, d'autres malades.

 

Le lieu, je le connaît si bien, depuis des mois, des visites régulières, des protocoles expliqués une première fois, répétés  malgré les doutes, les angoisses, les envies de recul et puis les envies de vivre encore. Ah la vie, je ne l'avais pas vu comme cela, moi, la trentenaire battante, avec un boulot indépendant et riche de beaux projets, un mari amoureux, une petite fille radieuse née il y a six ans déjà, une nouvelle maison, notre jardin où je voyais mon coin pour les pivoines. Puis un jour, il y a un an, j'avais eu mal en me pliant pour planter le première. Une douleur, un mauvais geste. Mais après quelques jours j'avais pris le temps de voir le médecin pour avoir son avis, pour envisager ses talents d'osthéopathe en complément, mais son regard s'était soudainement assombri. Un diagnostic mêlé à un intuition négative, Elle m'avait préconisé des examens, une longue liste. Le désir commun de bébé envisagé avec mon mari, la chambre prévue pour cela, le sourire joyeux de ma fille, des détails qui se balayait d'un geste avec une puis plusieurs soirées à douter, à pleurer sur le canapé. Pourquoi moi ?

 

Des larmes inutiles face aux diagnostics plus complets, plus précis, plus profonds en moi, découpée en tranches par les ondes et autres processus médicaux, je devenais une malade. Une urgence à traiter. Les douleurs n'étaient plus physiques mais celles de mon esprit. Paradoxalement j'étais prête à me battre et je ne voulais voir autrement l'avenir, mais il fallait repousser certaines étapes prévues initialement. Des portes, des blouses blanches, des ascenseurs et des protocoles. Heureusement mes parents, mes soeurs, mes beaux-frères ont pris en charge ma fille, car mon mari lui ne m'a plus lâché. Un magicien des mouchoirs, capable d'en sortir de toutes ses poches, de me livrer des fleurs à toutes heures, de me préparer des petits plats même si je ne mangeais rien. Plus d'envie. Beaucoup de doutes. Les premiers jours, les premiers traitements, les nouvelles douleurs physiques, les putain d'effet secondaires, immondes, dévoreurs de vie. Un véritable effort, plusieurs fois répété pour franchir la porte de l'hôpital, pour retrouver les équipes, pour absorber le souffle de demain, pour croire à tout cela comme un morceau de passé. Jamais un calendrier ne m'a paru aussi long, le carton dans mon bureau, les dates des visites passées, des dates futures, des autres rendez-vous, des médecins et des spécialistes, des examens pour valider encore l'évolution ou non de cette maladie invasive. Les heures, les jours, les semaines et au final les mois, une année déjà, mais même si le plateau repas n'est pas un miracle, il est une parenthèse de mes longues heures de mon quotidien. J'aime le soleil qui me dit bonjour en chaque saison, en attendant les sourires de mon mari qui passe chaque matin avant son boulot, repasse chaque soir, parfois avec ma fille quand je suis dans cette chambre, loin d'eux. Je sens la larme derrière mon oeil, cachée dans kes limbes de mes doutes, et au même instant la force de penser à l'avenir. J'attends le printemps plus encore derrière l'automne qui n'est pas encore arrivé, car comme pour les arbres et les fleurs, ce sera un nouveau départ. Un printemps pour une nouvelle féminité, ma première motivation, je rêve de mode, de spa, d'essais de maquillage, de bien-être sans douleurs. De contacts sensuels avec ma peau, parfois trop sensible pour recevoir ses mains. Je rêve de volupté, de lingerie fine, de bas nylon, de rires et des siestes en toatle douceur. Je rêve de lui, de nous enlacés. D'amour et de mon corps libéré. Encore six longs mois, sans cheveux, avec tous mes foulards certes, en soie pour le dernier, mais finalement l'énergie sera là, un nouveau stock. De nouveaux projets aussi. Et surtout plus de coupures, je serai chez moi, chez nous, dans notre maison, en famille.

Leur Amour, mon meilleur médicament.

 

 

Nylonement

 

 

Prochain printemps
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8 août 2016 1 08 /08 /août /2016 10:40
Robe rouge
Robe rouge
Robe rouge

Leurs regards, leurs interrogations, si nous avions été dans une bande dessinée, j'aurai pu voir apparaître des grands points d'interrogation au-dessus de leurs têtes. Surprise et surtout l'éternel jeu des cases voire des préjugés, j'ai changé depuis ma dernière visite dans la famille. Car comme toujours le cycle naturel des cérémonies nous avait éloigné, car il n'y avait plu de naissances dans la famille, même chez les cousines germaines, encore moins de baptêmes ou de communions, le temps réunissait les grands, les parents, les adultes uniquement pour les enterrements. Depuis deux ou trois ans les mariages avaient ravivé le carillon des fêtes, de la foule, des retrouvailles. 

 

Mais je n'avais pas envie de me précipiter pour le revoir. Mes études en province, les longues révisions, la fatigue après les dîplomes, j'avais pu éviter leurs présences en filant en vacances avec des copines, loin de tout. Vacances, puis petits boulots d'été pour dépanner une amie qui créait sa petite entreprise, un job de marketing loin de mes objectifs profesionnels comme juriste. Je savourais le début de ma vie de jeune adulte, mon studio depuis un an déjà pour écourter mes déplacements vers les bancs de l'université, et aussi vers mon alternance, un cabinet à l'ambiance pro et de taille humaine. Je profitais de tout cela pleinement avec des sorties entre amis, des moments théâtre et danse. Des spectacles qui me libéraient comme les livres, un autre monde, des instants privilégiés, un peu de rêve. D'ailleurs ma vie souriait depuis la découverte d'une nouvelle, sur un blog, des mots justes, un atmosphère acidulé, parfois féminin, parfois féministe, surtout drôle. Une blogueuse, une vie proche de la mienne, des complexes, des doutes, des amours, des hauts et des bas, j'avais suivi les mots, pris des décisions pour moi. Des choix de vie, de nourriture, de silhouette, avec mon seul regard sur moi, mon miroir, le plaisir de changer, de refuser le regard des autres, d'être moi. D'assumer un peu, mais surtout de vivre comme je voulais être, cela voulait aussi dire d'ouvrir les yeux sur moi-même. Une rencontre, une psy, des vérités, des blessures mais surtout des fausses évidences, des carapaces faussement  confortables, j'avais dû comprendre mon parcours, ma vie d'adolescente, mon corps. Elle m'avait fait dire ce que je refusais de m'avouer, elle m'avait emporté dans un tourbillon de reflets, d'images du passé, de maux dans lesquels je m'étais conforté. Et après avoir appuyée sur les douleurs, elle m'avait donné quelques clefs, surtout elle avait mis en avant mes forces, ma réalité, mon corps en pleine révolution, mon envie de féminité, mon envie d'être enfin moi, avec en premier lieu mon regard, avec une vision honnête. 

 

Et naturellement j'avais changé, en prenant soin de mes jambes, mon premier atout fort, de mes fesses ensuite, de mon ventre en perdant des kilos, simplement comme amoureuse de mon nombril soudainement. Remodelant  ce renoncement, arrêtant cette facilité à enfiler une carapace devenue inutile, choisissant mes courbes, acceptant d'être non pas une autre mais bien la véritable de moi-même, plus mince sans être non plus en creux, avec des formes, sans être en excès de rondeurs. Quel bonheur, car j'ai retrouvé même en faisant un peu de sport, une joie intérieure, vite reprise par mon entourage pro, pourtant des personnes qui ne m'apercevaient que si peu. Des compliments, des sourires, du bien-être tout simplement.

 

Alors là, aujourd'hui, je ne me suis pas privé de venir, pour le mariage de ma cousine préférée, pour la voir avec son mari dans l'église, dans sa robe blanche, sur les marches et sous le soleil de plomb d'été, pour faire la fête. La famille se dit bonjour, découvre que les garçons et les filles ont bien grandi depuis la dernière fois. Les souvenirs, les photos échangées par le net, les vieilles blagues, les repas, la nostalgie et le constat. Les petits cousins devenus aussi grands que des basketeurs, les cousines maintenant enceintes, la  petite princesse choucoutée par tous dans le passé, modèle familial de barbie, présente aujourd'hui avec ces tatouages et sa petite amie, les murmures, les éclats de rires, la foule des grands jours, la famille au complet. Moi et ma robe rouge, courte pour dévoiler mes jambes bronzées perchées sur des escarpins sublimes. Leurs regards auxquels je ne donne que cette vérité. Rien de plus, juste des sourires vers la mariée.

 

 

Nylonement

 

Gentleman W

Robe rouge
Robe rouge
Robe rouge
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NYLON-VOLUPTE ??

Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

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Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

Vous avez des stocks de pochettes vintage, des photos associées, contactez-moi pour compléter le musée.

 

 

COPYRIGHTS

Les photos sont ici uniquement à titre non marchand comme l'ensemble de ce blog non-commercial, pour un référencement, en l'honneur des marques citées, pour un usage d'hommage à la Féminité. Si toutefois, j'oublie une référence (encore faudrait-il qu'elle apparaisse en récupérant cette image sur le net, sur Pinterest et ailleurs) ou je suscite un souci de droit à l'image ou aux copyrights, contactez-moi par email gentlemanw@nylon-volupte.com.

L'image sera retirée dès que vous nous préciserez laquelle. Merci.

 

Copyrights pour tous les articles de ce site. Si vous faites référence à un article, précisez le nom de ce blog avec son lien.

 

Recherche ???

Aimez + Aidez

 

Cancer, trop proche de nous.

Faites un sourire et soutenez l'autre !

Nous sommes tous acteurs de la santé de nos proches et de nos familles.

Cette maladie frappe le col de l'utérus, les seins, la thyroïde, la prostate, le plus couramment et ailleurs aussi !

Alors soutenez vos ami(e)s, vos parents, votre compagnon et votre compagne.

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www.ligue-cancer.net

Aimez vous les uns et les autres

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www.cancerdusein.org

 

 

Aimez-vous,

Protégez-vous !

Vivez !

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www.info-depression.fr

 

 

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ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

Bas-Nylon-mais-alors !

Bas Nylon, quel talon ?

Je-suis-alle-au-paradis des Bas Nylon

 

Site web uniquement accessible pour les membres.

 

Coups de Coeur

Logo-Menu-NylonMode.com-V3.2-xs.png
 
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Mes coups de coeur, ceux où je passe régulièrement sur leurs blogs, pour leurs contenus, leurs photos, leurs articles, leurs humeurs, leurs amours, leurs critiques. Inspiration passgère, amitié ou même coup de foudre, souvent un univers de mots, de douceurs et de libertés ...

martiennes.wordpress.com  justement féministes

bebarock.com juste pour les femmes !

cameline.org prodigieuse exploration mode du temps

bellesetbiendansvotrepeau conseils beauté

leblogdebetty.com mode et sourires 

dameskarlette voyageuse en images

thebrunette.fr incroyablement élégante

lheureuseimparfaite blog féminin et impertinent

le-blog-enfin-moi.com féminité, mode et sourires

leblogdelilou féminité au quotidien

fashionandcookies  fashionista 

valimero-fashion-addict.com modeuse la + souriante du net !

mindalicious.fr géniale modeuse

lesdemoizelles mode et futilité

estelleblogmode.com  mode souriante

pinup-doodles un coup de crayon d'une génie

folievintage.fr un lieu pétillant & glamour

blog.plafonddeverre.fr réalité féministe

...

citizencouture.com la mode online

misspandora.fr super-fée de mode

leblogdebigbeauty.com ronde et alors ?

modeuse.com j'aime depuis le début

garancedore.fr oui, encore elle

...

Et si vous n'êtes pas ici, c'est pas un désamour, plutôt un oubli, 

et la liste serait peu-être un peu longue (environ 200 sites de références)

mais je vous visite régulièrement, bises à toutes !