30 octobre 2016 7 30 /10 /octobre /2016 08:08
Saisons de douceur

Ma main sur sa jambe, une douceur infinie au toucher, et bien plus encore, mon coeur apprécie intégralementcette sensation tactile mais se gonflait de sa présence émotionnelle. Car le temps, le hasard au commencement de ces jours, ces semaines, ces mois et maintenant plusieurs années, ce souriant instant d'un début avait vu défilé nos sensibilités.

 

Les sentiments avaient suivi les saisons, les mots étaient devenus plus libres, plus vrais pour lui avouer la force de mes hésitations, de mes doutes aussi en évitant les raccourcis qui nourrissent souvent les incompréhensions. J'avais pris le recul temporel suffisant pour croire en moi à nouveau, pour la découvrir plus honnêtement, pour lui donner aussi l'espace pour s'exprimer en retour. Mon coeur n'avait pas fait chaviré ma raison, mais mon âge, ma sagesse (pour ne pas dire les douleurs du passé) avaient pris en main mes palpitations hésitantes.

 

Un vent de printemps, un coup de chaleur, ses lèvres, mes gestes maladroits comme une première fois d'adolescent, mes doutes encore mais aussi un impossible refus de la réalité, j'avais lâché prise pour mieux lui avouer mon coeur ému quand elle était là, quand elle était absente, quand elle était loin, quand elle était si proche, juste là au prochain rendez-vous.

 

L'été avait un moyen d'écrire encore, de libérer mes maux, avec d'autres mots, pour lui parler, pour divulguer cet amour naissant, mais aussi au fond de moi pour s'avouer une vérité évidente. Ne plus la refuser, s'offrir de positifs battements de coeur, aller vers demain sans savoir, plus encore sans redouter demain. J'ai pris sa main, si douce, suivi son regard, je me suis perdu entre ses lèvres, dans son sourire. Son parfum et sa présence étaient, le sont toujours d'ailleurs, des dimensions rassurantes, des repères de douceur. Les effluves, son rouge à lèvres, ses robes, ses escarpins, son sourire toujours, sa silhouette, son esprit vif, un tout qui forme son allure. Et puis ses jambes, ce nylon trait d'union (le mot n'est qu'un euphémisme) entre nous, pour nous rapprocher au plus près d'elle, je le regardais en mouvement, je le caressais du regard puis du bout des doigts.

 

Imperceptible souffle d'automne, indispensable aux premiers frimas, pour aller boire un thé après quelques boutiques visitées ensemble, pour parler de nous, pour l'écouter, pour répondre à ses interrogations, pour y ajouter les miennes, pour former cette bulle unique et forte de tendresse, nous avons fusionné nos vies. Nos passés et nos familles, nos jobs, nos multiples vies, et maintenant un avenir en commun, nous aimons tant refaire un monde idéal, plus humain, plus proche de notre vision moderne et altruiste de la société. La météo jouait de ses variations et nous étions toujours plus proches, prompts à affronter les prochaines étapes, prêts à grimper des montagnes pour y être tous les deux, tel un couple. Un mot compliqué pour nous quand nous regardions en arrière, si indéniable pour marcher ensemble vers le futur, nous avions toujours notre bulle de sentiments.

 

Hiver et son froid, ses petits matin, vers le train, la chaleur du lit, le bonheur de sez retrouver, de se parler, et surtout, de croire enfin et totalement en nous. Nos amis, nos proches, nos vies avec une magie accessible, simple comme nos envies, chaque saison a donné de la force à mes sentiments pour mieux l'aimer, pour la protéger. Mes mains, ses mains, nos mains, ici et là, fidèles à nos sensations, à nos émotions, à nos points communs, à notre définition de la délicatesse, complices de nos jouissances, notre amour est le fluide qui passe entre les mailles de nylon, le fait vibrer plus subtilement.

 

Aujourd'hui, je ne peux rien ajouter aux mille petits bonheurs de notre quotidien.

Mais je l'aime si fort !

 

 

Nylonement

 

 

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25 octobre 2016 2 25 /10 /octobre /2016 14:01
Voiles d'été

C’était cet été, un moment de liberté, nouvelle après cette rupture. Je venais de me réfugier dans une petite chambre, gentiment proposée par une amie me sentant un peu fragile. Des vacances, elle avait insisté pour que je fasse un break, moi qui avait annulé mon voyage à Bali avec lui. Je ne voulais pas voir ce futur devenu impossible, je bossais jusqu’à la saturation depuis six mois. Plus de sorties, je les refusais toutes, mêmes les instants entre copines au restaurant, rien de tout cela, juste du boulot. Douche le matin, travail ensuite sur mon ordinateur, sur les projets, quelques rendez-vous avec les clients et les partenaires, je retournais ensuite face à mon écran, mes idées concentrées dans une folle envie de ne plus penser à moi. Boulot encore le soir en mangeant une salade, un morceau de fromages, du boulot jusqu’à ce que ma tête s’affaisse dans le canapé, sur une dernière idée, les yeux fermés.

 

Un soir, elle était passée, ma grande copine, mon ex-colocataire quand nous étions ensemble en école de commerce à Grenoble. Des soirées pâtes à refaire le monde dans un studio, des soirées avec nos autres copains de classe, nos rapports de stage finis à l’arrache, nos premiers projets professionnels, nos rêves. Elle n’avait pas changé son image, entre sa chemise d’homme sur son corps de femme enfant, blonde et mince, parfois très sérieuse, triste voire fade, et en quelques secondes, radieuse, solaire et conquérante. J’aimais cette dualité en elle, son mari était un ex-camarade de classe, une année avant nous. Un beau brun charmeur, elle avait craqué pour son parfum, je me souviens encore de ses discussions sans fin sur ce coup de cœur après une soirée dégustation de vins en centre-ville. Les petites rues, elle me les avait racontées tant de fois, son parfum, sa chemise bleue à rayures blanche qu’elle portait dorénavant. Je repensais à cela dans le hamac, moi la vacancière malgré moi, venue avec eux, sa famille, ses jumelles en bas âge, sa cousine et son mari, ses beaux-parents. Je m’étais intégrée dans ce cocon familial avec une discrétion réelle, pour mieux disparaître dans la chambre du fond, dès que possible. Ils étaient au bord de la piscine, je me reposais de ce marathon de six mois, pour éviter l’implosion de fatigue. Elle avait eu raison d’insister lors de notre dernier coup de fil pour m’arracher à mon clavier.

 

Un repas à deux dans un bistrot caché, un endroit privilégié avec peu de monde. J’avais presque perdu l’habitude de la foule, de ces gens nombreux, de ce bruit multiple. J’avais pris un taxi avec elle, son rire solaire m’avait capturé comme dans le passé. Une sensation renouvelée avec nos sourires complices, avec cette amitié distillée entre nous deux. Une porte, un bonjour, une table dans un recoin, un menu sur une ardoise, deux flûtes avec du champagne. J’avais ri de cette initiative comme si elle était mon prince charmant, un beau gosse en train de me draguer. Des bulles, de la fantaisie, j’avais croqué dedans avec un bonheur non retenu. Je m’étais aperçue dans le reflet de la vitre, floue avec en arrière-plan un bac de fleurs de printemps, mais j’étais bien là. On avait bu, largement plus que de raison, juste pour trouver l’ivresse, le sens confus de la désinhibition. J’avais déroulé mes frustrations en mangeant de la cochonnaille, ce plaisir du gras, du goûteux, de la bouche pleine de pain et de sucs de viandes séchées, de parfums complexes. De la gourmandise, juste cela. Elle avait une boîte cartonnée dans un sac, et soudain elle l’avait déposée sur la table. Simplement devant moi. Un cadeau. « Pourquoi » avait été mon premier mot, « pour le plaisir de te voir heureuse » avaient les siens. La marque Repetto, un souvenir complice aussi quand nous avions partagé nos enfances, nos cours de danse classique et plus encore notre envie de reprendre ces exercices de contraintes et de souplesse. Nous avions poussé la porte d’une salle de danse grenobloise, avec nos corps de jeunes femmes, nos collants blancs, nos chaussons neufs, durs et si peu confortables. Là encore, nous avions été des amies encore plus proches, c’était notre échappatoire entre deux cours, entre deux sorties étudiantes, nous venions ici pour la rigueur et le plaisir. Un grand carton, dedans une jupe légère, non pas un tutu de mousseline, mais cette version longue d’un voile opaque rose poudré. Une longueur féminine en attente d’un souffle de vent sur ma silhouette, elle l’avait suspendue entre ses doigts, devant moi, parlant d’un lieu pour la porter tout prochainement. C’était ici, en vacances, un double cadeau, un ticket pour venir avec eux me changer les idées. Cette super amie, je lui avais fait mille bises entre mes larmes de joie.

 

Et le vent soufflait maintenant sur mes jambes, le rose s’illuminait du soleil arrosant cette terrasse.

 

Nylonement

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10 octobre 2016 1 10 /10 /octobre /2016 05:20
Automne

Un rayon de soleil juste derrière la porte de mon immeuble, un sourire de la météo pour m’indiquer mon chemin, je suis la chaleur jusqu’à ma voiture. Sur le trottoir les feuilles mortes, les premières rousseurs pour marquer cette belle saison d’automne, les parfums se renforcent avec la rosée encore présente.

 

Des feuilles de cerisiers, ovales et pointues, en tas au pied des arbres alignés, comme une séance de déshabillage imposé, je détourne le visage en rigolant. Des fleurs énormes sur les hortensias, des roses dans la haie de cette belle maison, une cascade si fragile dans le vent, si envoûtante avec les effluves, j’aime cet endroit. Plus loin des châtaigniers, des grosses feuilles, craquantes sous les pas, nombreuses, éparses, et là des cosses éclatées en tombant. Les épines vertes, rousses, les morceaux de ces coquilles vides, car les marrons sont dispersés, ici et là. Ils brillent dans le soleil. Une beauté naturelle, des teintes d’acajou, des rondeurs variées, aucun ne se ressemble. Je les regarde avec une certaine gourmandise. Non pour les manger, ce ne sont pas des châtaignes à griller, mais pour les bousculer un peu. Souvenirs d’une enfance en pantalon, en sweat de rugby, garçon manqué, je shootais dans les marrons. Ils décollaient dans les arbres, roulaient sur la rue, partaient toujours plus loin. Plus ils étaient ronds, plus ils dévalaient la pente, comme dans la quête d’un record de distance. Je les ramassais aussi pour les entasser à l’entrée du jardin de mes parents. Les plus beaux, les plus biscornus certains jours attiraient mon attention, les plus ronds les autres jours. Et puis le week-end je les relâchais, je les balançais dans la rue, dans les descentes du village, même là où aucun arbre n’embellissait les trottoirs. Etrange migration des marrons, plaisir de taper dedans, de les voir partir, rouler, encore, de résister aussi à mon envie de les voir disparaître dans le virage, ultime barrière à mon record d’enfant.

 

Mais là, j’ai un peu grandi, mes escarpins pointus, surtout avec les dix centimètres de talons ne sont plus adaptés. Et cette jupe crayon en tartan, qui enveloppe mes hanches, elle retient mon corps, évite les rotations de la taille. Loin du sportwear de garçon manqué, le chemisier et la veste courte cintrée, mais l’envie est trop forte. Irrépressible envie de taper dedans. Je piétine, je remonte discrètement ma jupe pour libérer mes cuisses, assez mais avec décence. La rue, la pente, ma voiture plus loin, quelques rares passants, et la gamine devenue quadra, la quadra toujours enfant, le recul à gauche pour mieux taper de mon pied droit. Le réflexe de repérer un beau marron bien rond, un coup net, il décolle, je jubile, il vole, tape un marronnier, un muret puis un enjoliveur, il dévale le trottoir, se faufile entre les feuilles, ne s’arrête pas, roule encore. Complice de mon envie, il continue pour se caler contre ma voiture.

 

Je marche en souriant au soleil, en pensant à cette belle journée, à cette réunion pleine de costumes gris, avec ce petit bonheur. D’ailleurs si je tapais un second coup. Il est là, il m’attend à côté de ma portière. Je l’ouvre, pour poser mes sacs. Et comme un plaisir interdit, un doigt dans le pot de confiture, comme un bonbon volé, je frappe dedans en éclatant de rires.

 

Nylonement

 

 

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7 octobre 2016 5 07 /10 /octobre /2016 05:31

Virgule, un simple geste si souvent répété pour le faire maintenant naturellement. Une courte ligne et une pointe, une à droite, une à gauche avec l'eye-liner noir, les paupières argent, doucement poudrées, je signe mon maquillage, mon regard.

Petit à petit je me suis habituée à ajouter ces poudres, le mascara, mais aussi les crèmes pour faire une base, pour soigner ma peau sans pour autant la noyer dans un océan gras de cosmétiques, préférant laisser la nature. Une respiration, car maintenant c'est un peu de moi, un petit plus, une touche de féminité en bonus. Certes mes ongles ont toujours été vernis, rouges le plus souvent, bordeaux parfois, turquoise avec mes petites nièces et même arc-en-ciel durant l'été en rigolant autour de la piscine, j'ai même essayé le orange, le nude, le beige brillant, le naturel aussi avant de faire un ultime essai du noir avec french manucure blanche. J'aime ces étincelles de beauté pour les yeux des autres, pour ses yeux, mais surtout ces étincelles de bien-être.

 

Alors aujourd'hui je lisse les coutures au dos de mes jambes, mon plaisir glamour pour moi, sous ma robe, un achat récent, un coup de coeur entre deux rendez-vous. Un passage devant cette vitrine en sortant du métro, un coup de foudre, une réunion captivante mais vite oubliée pour filer en dix minutes dans une cabine d'essayage, pour me faufiler dedans, l'acheter aussi vite. Elle est là, suspendue sur le miroir, dans mes mains, sur ma silhouette.

 

Quelques pois, quelques notes de musique sur mes lignes, du noir sur le blanc, elle est moi.

 

Elle et moi.

 

 

Ponctuation

 

Nylonement

 

 

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NYLON-VOLUPTE ??

Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

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Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

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ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

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Bas Nylon, quel talon ?

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Coups de Coeur

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garancedore.fr oui, encore elle

...

Et si vous n'êtes pas ici, c'est pas un désamour, plutôt un oubli, 

et la liste serait peu-être un peu longue (environ 200 sites de références)

mais je vous visite régulièrement, bises à toutes !