23 octobre 2016 7 23 /10 /octobre /2016 05:00
Anonyme bien-être

A une autre époque, cela aurait été une enveloppe avec un timbre, une date estampillée par la poste, un étrange courrier déposé dans la boîte, une quasi lettre anonyme. Mais aujourd’hui c’était un message privé, du moins la définition donnée par un réseau social quant au « privé » dans les règles actuelles de notre monde virtuel de communication. Un simple message envoyé par un profil embelli par une photo de chatons, quelques citations vaguement philosophiques, quelques beaux aphorismes et une photo de vacances oubliée depuis plus de cinq ans dans les limbes éloignés des clics, je venais de recevoir ce MP d’une personne non pas anonyme mais inconnue.

 

Et pourtant j’ai reçu les mots en direct dès les premières lignes. Avec un « vous » qui aurait donné du recul, un « tu » qui aurait confirmé une proximité amicale, mais plus simplement un « je » narratif qui souhaitait s’ouvrir à moi. J’ai lu, bien plus qu’une simple ligne avec la futilité actuelle de se satisfaire de peu de mots, de comprendre ou non le sens de ceux-ci et d’en oublier aussi vite la teneur. J’ai lu la deuxième ligne, la suivante, les nombreuses suivantes car il y avait plusieurs MP fort longs les uns derrières les autres. Tant de choses à dire méritaient une lecture et même une relecture.

 Une personne, une femme plus exactement, une jeune femme du passé, revenue au présent après tant d’années, une source de souvenirs. Nous nous étions rencontrés il y a si longtemps, juste à cette période clef après le baccalauréat, le début des études, les premiers pas d’après, ailleurs. Elle était jeune étudiante, pleine de volonté et de grâce. Son chemin était encore hésitant non dans sa définition de son avenir mais dans cet instant fragile où l’on prépare les parents à une rupture, à ce lendemain loin d’eux, sans eux. Partir pour devenir grande, partir pour confirmer son métier, pour s’arracher à ce statut d’enfant, pour confirmer celui de jeune adulte. J’avais croisé son chemin un soir dans une boîte de nuit, un ennui commun nous avait rapproché du bar, avec nos cocktails pour premiers sujets de discussion. Une alchimie nocturne, elle avec ses amies en pleine drague et danses, moi avec mes copains de chambrée, des jeunes militaires insouciants. La nuit, la musique trop forte, l’alcool, des mots au milieu de tout cela pour oublier justement l’ambiance où nous ne semblions ni l’un, ni l’autre avoir choisi d’y venir volontairement. Un autre rendez-vous dans un café, du calme, le soleil, la rivière et le pont à côté, un peu plus de romantisme, et surtout son univers, ses yeux, son regard sous ses cheveux brun foncé, son sourire immense quand elle parlait d’elle, de ses copines, de son envie encore plus forte de partir d’ici, et tout en même temps de ces milles souvenirs qui l’attachait à cette ville de province. Nous avions flâné pour découvrir ce lieu, ces recoins de son enfance, nos premiers baisers aussi. Elle aurait aimé que je l’emporte avec moi dans ma valise, pour conquérir Paris. Nos courriers, nos lettres enflammées, la distance, une nuit dans un petit hôtel à mi-chemin de nos vies, nous nous sommes aimés furtivement.

Elle me rappelait sa version des faits, ressortant de l’ombre ce coup de cœur, son sourire et son visage, bien plus encore. Si loin dans nos vies, derrière sa vie de femme mariée, de mère de deux filles, de femme divorcée, mais toujours et définitivement psychologue spécialisée dans les souffrances liées au travail pour les adultes. Elle avait atteint son graal, étape par étape, réunissant les qualités pour parfaire sa vocation.

Aujourd’hui, au-delà des nouvelles, par le hasard de rencontres avec d’autres amis, elle avait rencontré une quadra moderne à la silhouette néo-rétro. Une allure qui lui plaisait aussi, un style qu’elle trouvait idéal pour cacher ses hanches sous des robes corolles, des plumetis de couleurs, des coupes qui valorisaient aussi sa poitrine. Des souvenirs dans les malles et les magazines de sa grand-mère, couturière de plus, dans les froufrous de son enfance, parfois pour elle, souvent pour ses poupées. En discutant avec cette nouvelle amie, elles avaient fini par parler chaussures, escarpins plus encore, hauts talons en général. Leurs gourmandises de mode et surtout un plaisir du quotidien. Une complicité récurrente, d’autres soirées à se revoir, elles avaient fini par chiner ensemble dans les brocantes, pour occuper les dimanches, sans les enfants maintenant étudiantes en province. Et là sous les robes, sous les jupes anciennes, les corsets, les guêpières, les dentelles et bien évidemment les bas.

Aujourd’hui le hasard l’avait amené sur le net, la sérendipité vers les rares blogs parlant de vintage, de femmes, de bas nylon à couture aussi. Et en lisant les mots, les phrases, elle avait revu des expressions, une passion, un impossible lien. Durant un voyage chez ses parents âgés, elle avait ressorti les lettres du passé, relu, ri de nos propos datant de plusieurs décennies déjà. Mais elle avait confirmé le style d’un seul homme. Non pas une recherche, mais une exploration dans les textes de ce blog, des facettes multiples de la féminité, cette obstination à voir les femmes dans des silhouettes glamour, fragiles et belles à la fois, modernes et toujours plus encerclées par le jugement des hommes. Pugnace, elle avait lu encore, hésitant à croire en un jeu d’envie de son esprit d’impossible vérité de sa mémoire.

Aujourd’hui elle osait m’écrire pour me dire que ce voile de nylon, que la première fois avec cette guêpière, que ce premier reflet dans un miroir d’une chambre étudiante, jamais elle n’avait oublié tout cela. De façon inné, des années plus tard, elle avait pris ce plaisir pour elle, puis pour le séduire lui son futur mari, pour son quotidien. Derrière son métier de discussions, de douleurs des autres, de solutions complexes pour forger des futurs, son grigri personnel était la mode mais plus encore, les dessous. Elle aimait se sentir infiniment femme, glamour et séduisante pour envelopper les courbes nouvelles de chaque décennie. Elle évoluait mais sans se cacher, bien au contraire pour se révéler, elle se glissait dans de la soie, de la dentelle, de la mousseline, pour se sentir bien. Un lâcher-prise aussi important pour son bien-être que des massages où son corps nu recevait le fluide libérateur des mains d’un inconnu, elle aimait se vêtir, se dévêtir en glissant ses bas sur ses jambes, en posant sa culotte sur ses hanches, en attachant ses jarretelles. Un bonheur devenu rituel à chaque période de soldes, dans les boutiques de lingerie, avant ou après celles de chaussures. Elle était devenue femme en trouvant son métier, en quittant sa ville d’enfance. Mais plus encore elle avait gardé ce sublime rituel de se plaire depuis le jour ancien où un jeune homme l’avait surprise en lui offrant sa première guêpière, lui avait attaché ses premiers bas, l’avait aimé sans limites dans cette volupté.

 

Longtemps elle avait hésité à l’écrire, jamais elle n’avait pris conscience de ce lien, de cet instant avec des voiles légers devenus seconde peau. Elle n’attendait pas de réponses. Son bonheur passait dorénavant par cette signature sensuelle.

 

Nylonement

 

 

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10 octobre 2016 1 10 /10 /octobre /2016 05:20
Automne

Un rayon de soleil juste derrière la porte de mon immeuble, un sourire de la météo pour m’indiquer mon chemin, je suis la chaleur jusqu’à ma voiture. Sur le trottoir les feuilles mortes, les premières rousseurs pour marquer cette belle saison d’automne, les parfums se renforcent avec la rosée encore présente.

 

Des feuilles de cerisiers, ovales et pointues, en tas au pied des arbres alignés, comme une séance de déshabillage imposé, je détourne le visage en rigolant. Des fleurs énormes sur les hortensias, des roses dans la haie de cette belle maison, une cascade si fragile dans le vent, si envoûtante avec les effluves, j’aime cet endroit. Plus loin des châtaigniers, des grosses feuilles, craquantes sous les pas, nombreuses, éparses, et là des cosses éclatées en tombant. Les épines vertes, rousses, les morceaux de ces coquilles vides, car les marrons sont dispersés, ici et là. Ils brillent dans le soleil. Une beauté naturelle, des teintes d’acajou, des rondeurs variées, aucun ne se ressemble. Je les regarde avec une certaine gourmandise. Non pour les manger, ce ne sont pas des châtaignes à griller, mais pour les bousculer un peu. Souvenirs d’une enfance en pantalon, en sweat de rugby, garçon manqué, je shootais dans les marrons. Ils décollaient dans les arbres, roulaient sur la rue, partaient toujours plus loin. Plus ils étaient ronds, plus ils dévalaient la pente, comme dans la quête d’un record de distance. Je les ramassais aussi pour les entasser à l’entrée du jardin de mes parents. Les plus beaux, les plus biscornus certains jours attiraient mon attention, les plus ronds les autres jours. Et puis le week-end je les relâchais, je les balançais dans la rue, dans les descentes du village, même là où aucun arbre n’embellissait les trottoirs. Etrange migration des marrons, plaisir de taper dedans, de les voir partir, rouler, encore, de résister aussi à mon envie de les voir disparaître dans le virage, ultime barrière à mon record d’enfant.

 

Mais là, j’ai un peu grandi, mes escarpins pointus, surtout avec les dix centimètres de talons ne sont plus adaptés. Et cette jupe crayon en tartan, qui enveloppe mes hanches, elle retient mon corps, évite les rotations de la taille. Loin du sportwear de garçon manqué, le chemisier et la veste courte cintrée, mais l’envie est trop forte. Irrépressible envie de taper dedans. Je piétine, je remonte discrètement ma jupe pour libérer mes cuisses, assez mais avec décence. La rue, la pente, ma voiture plus loin, quelques rares passants, et la gamine devenue quadra, la quadra toujours enfant, le recul à gauche pour mieux taper de mon pied droit. Le réflexe de repérer un beau marron bien rond, un coup net, il décolle, je jubile, il vole, tape un marronnier, un muret puis un enjoliveur, il dévale le trottoir, se faufile entre les feuilles, ne s’arrête pas, roule encore. Complice de mon envie, il continue pour se caler contre ma voiture.

 

Je marche en souriant au soleil, en pensant à cette belle journée, à cette réunion pleine de costumes gris, avec ce petit bonheur. D’ailleurs si je tapais un second coup. Il est là, il m’attend à côté de ma portière. Je l’ouvre, pour poser mes sacs. Et comme un plaisir interdit, un doigt dans le pot de confiture, comme un bonbon volé, je frappe dedans en éclatant de rires.

 

Nylonement

 

 

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9 octobre 2016 7 09 /10 /octobre /2016 07:17
MOSH by Albert Sanchez

MOSH by Albert Sanchez

Non, définitivement non, je ne suis pas une pin-up.

 

Pas plus que je ne suis cette femme idéale aperçue à chaque page de publicité dans les magazines féminins ou à la télé, je ne ressemble pas à cet ersatz de jeunisme. Je suis moi, jeune fille devenue jeune femme, passée par un mariage heureux, maman de deux enfants qui eux-mêmes grandissent trop vite. Je vieillis, je bouge entre métro-boulot-dodo, mais avec les options nombreuses comme courses, taxi pour l'école et la danse, mais aussi pour le judo et le badminton, avec un peu de ménage en rentrant aussi, ou la délicieuse option repassage. J'oubliais aussi les repas, heureusement, mon homme est aussi présent, il adore nous préparer des plats pour les soirs de semaine, il appuie lui aussi sur les boutons de l'aspirateur ou ou de la machine à laver. Une version moderne du mâle, qui nettoie la salle de bain après le passage de toute la famille et même les toilettes. Pas non plus un modèle parfait mais avec un coeur tendre et des bras chauds. Bref les semaines passent, les années tout autant. Et plus je regarde les pages de publicités, moins je me vois dans les crèmes rajeunissantes mises en avant par des mannequins tristes, des corps filiformes et surtout n'ayant pas encore atteint la vingtaine. La mode, je m'en accommode, je picore les tendances pour les robes, les jupes, les couleurs. Oui j'ai une faiblesse, une énorme faiblesse, une gigantesque faiblesse pour les chaussures. Tous les modèles ; bottines, bottes et cuissardes pour l'automne et l'hiver à venir, mais surtout pour les escarpins, tous les jours de l'année. Lui aussi apprécie ce détail, cet accessoire qui supporte ma silhouette.

 

Car je suis bien une pin-up, dans son regard, dans nos instants complices en faisant des courses ensemble, durant les soldes, pour des essayages nombreux, pour craquer pour une tunique bleu électrique et une ceinture large, pour cette jupe évasée dégotée dans un coin, sur un simple coup de coeur. Il sait me suggérer des idées, me pousser à les essayer, me surprendre même avec des achats toujours impeccables sur mes courbes. Son regard, ma fierté, mon bien-être, celui d'accepter mon corps dans le miroir. Pourtant, comme les copines, je suis critique sur moi-même, trop le plus souvent. Alors je fais du sport pendant qu'il cuisine, je marche, je cours, je sautille au cours de taïso. Je trottine sur mes escarpins pour allonger naturellement mes mollets, je souris en pensant à son regard délicat sur ma nouvelle tenue, quand il reviendra le soir. Je suis moi, je me sens encore plus femme, toujours plus séduisante, sans les crèmes miracles et les idées régime ou chirurgie des revues. Je vis mes journées avec mon âge, je m'assume totalement avec mon corps, et cela fait un grand bien.

 

Et quand j'enfile doucement sur mes jambes des bas nylon, c'est d'abord pour moi, mais aussi pour son coeur amoureux. Quand j'attache mes jarretelles, je sais qu'il saura les découvrir d'une main subtile sous le tissu fluide de ma jupe. Quand je glisse ma poitrine dans un balconnet de dentelle fine, je devine ses yeux experts pour l'apercevoir sous mon chemisier de soie. Quelques coups de brosse dans mes cheveux, mes boucles d'oreille, un trait d'eyeliner, une bouche rouge comme le vernis de mes ongles. 

 

Je suis une pin-up.

Celle d'un amour infini et complice.

 

 

Nylonement

 

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7 octobre 2016 5 07 /10 /octobre /2016 05:31

Virgule, un simple geste si souvent répété pour le faire maintenant naturellement. Une courte ligne et une pointe, une à droite, une à gauche avec l'eye-liner noir, les paupières argent, doucement poudrées, je signe mon maquillage, mon regard.

Petit à petit je me suis habituée à ajouter ces poudres, le mascara, mais aussi les crèmes pour faire une base, pour soigner ma peau sans pour autant la noyer dans un océan gras de cosmétiques, préférant laisser la nature. Une respiration, car maintenant c'est un peu de moi, un petit plus, une touche de féminité en bonus. Certes mes ongles ont toujours été vernis, rouges le plus souvent, bordeaux parfois, turquoise avec mes petites nièces et même arc-en-ciel durant l'été en rigolant autour de la piscine, j'ai même essayé le orange, le nude, le beige brillant, le naturel aussi avant de faire un ultime essai du noir avec french manucure blanche. J'aime ces étincelles de beauté pour les yeux des autres, pour ses yeux, mais surtout ces étincelles de bien-être.

 

Alors aujourd'hui je lisse les coutures au dos de mes jambes, mon plaisir glamour pour moi, sous ma robe, un achat récent, un coup de coeur entre deux rendez-vous. Un passage devant cette vitrine en sortant du métro, un coup de foudre, une réunion captivante mais vite oubliée pour filer en dix minutes dans une cabine d'essayage, pour me faufiler dedans, l'acheter aussi vite. Elle est là, suspendue sur le miroir, dans mes mains, sur ma silhouette.

 

Quelques pois, quelques notes de musique sur mes lignes, du noir sur le blanc, elle est moi.

 

Elle et moi.

 

 

Ponctuation

 

Nylonement

 

 

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NYLON-VOLUPTE ??

Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

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Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

Vous avez des stocks de pochettes vintage, des photos associées, contactez-moi pour compléter le musée.

 

 

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ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

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Bas Nylon, quel talon ?

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et la liste serait peu-être un peu longue (environ 200 sites de références)

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