7 novembre 2016 1 07 /11 /novembre /2016 06:21

L’eau tiède sur mon dos, sa présence tout proche, il se rase en jetant un œil dans le miroir sur sa barbe sous la mousse blanche, sur ma silhouette en reflet. Un grand bonheur que de se réveiller dans ses bras, avec les souvenirs de nos corps imbriqués avant de dormir, de sa chaleur en moi, de son amour toujours présent depuis plus de cinq ans déjà, je suis une nouvelle femme, dans une nouvelle vie. Divorce oublié, enfants plus grands, plus de temps pour vivre pleinement l’amour, pour être aimer, pour l’aimer aussi. Je suis si bien, là quand la serviette me sèche le dos, quand ses mains suivent mes hanches, cherchant les gouttes dans ma cambrure, avec son regard toujours gourmand. Deux bisous il se glisse vers la chambre, je me maquille.

Il revient vers moi, en costume avec sa chemise blanche impeccable, une cravate foncée avec quelques motifs bleus. Encore des bisous avant de partir vers son bus, la porte claque, je file vers la chambre. J’hésite pour ma tenue, la météo change si souvent maintenant avec l’automne, la pluie hier, le soleil demain, mais aujourd’hui reste incertain. Fraîcheur le matin, douceur l’après-midi, je verrai bien un tailleur en tweed clair, une jupe au-dessus du genou, sur le revers caché de mes bas. Une belle lingerie pour mon bien-être personnel, un indispensable de ma féminité. Un chemisier en coton souple, ivoire avec des motifs brodés dans la verticale du boutonnage. La jupe, un zip, mes talons, noirs vernis, mon plaisir, presque mon tic de mode.

 

Je flâne sur internet, de blog en blog, pour des actualités, des chroniques, des poèmes et des coups de cœur, un menu aussi varié que mon petit déjeuner. Un jus de clémentines, des tranches d’ananas, deux yaourts, un nature, un autre aux fruits, j’hésite pour une tranche de pain grillé ou juste croquer dans les fruits confits d’un cake ramené d’une balade gourmande en amoureux. Ce soir en rentrant avec un thé, avec lui. Dans mes rêves, je vois apparaître ma belle-fille, les yeux lourds d’un sommeil trop court. Les cheveux en bataille, les mots un peu coincés dans sa bouche, elle passe vers la salle de bain, un petit bonjour. Je l’aime bien, nous avons mis du temps à nous connaître, avec les préjugés d’une adolescente d’un côté, les envies probablement égoïstes d’une amoureuse de l’autre. Nous voulions cet homme pour nous, son père, mon compagnon. Mais maintenant ses études l’occupent, ses amours plus encore. Elle est passée dans sa tenue de nuit, un pantalon de pyjama devenu tendance, ce qui parfois me laisse dubitative, ne sachant pas si elle a oublié de s’habiller, de se changer ou simplement si elle sort ainsi peu vêtue, avec cet imprimé sur un coton si léger. J’en ris maintenant. Je pianote sur mon clavier, avec la musique de sa douche en bruit de fond.

 

Un peu de thé, un yaourt aussi, des mots, mon plaisir du matin. Ses pas légers sur le parquet vers sa chambre, dans mon dos, quelques notes fredonnées en passant, elle est réveillée. Je profite pour arroser les plantes du salon, pour ranger quelques babioles, je suis libre de mes horaires, un privilège de mon activité comme indépendante. Je retouche mon rouge à lèvres, ce détail qu'il aime tant. Même absent, je le fais pour moi principalement, pour mon entourage et bien souvent en pensant à lui. Je me prépare à partir, en regroupant mon tube de rouge à lèvres, ma pochette satinée de bas de secours, mon téléphone et mes clefs, quelques mouchoirs. Elle ressort de sa chambre, elle aussi prête pour sa journée, une autre jeune fille. Plutôt jeune femme d'ailleurs, car bien dans sa génération cocooning avec des gilets, des écharpes et des bottes fourrées en toutes saisons juste pour suivre la tendance, elle a aussi adopté le glamour, du moins la féminité de son époque. Elle resplendit ainsi dans son petit top gris en coton, la bretelle du soutien-gorge noir en dentelle qui dépasse, le décolletté donnant une vue plongeante qui détournera tout étudiant de ses révisions. Sur sa taille est posée une jupe patineuse noire, sobre, doucement ondulée en corolle, sur des cuisses enveloppées d'un collant satiné chair, le tout planté dans des cuissardes en daim noir. Des talons, les cheveux au vent, elle est si mignonne, je lui glise un compliment. Elle sourit tout en me demandant de la déposer, si je peux au rer le plus proche. Ses yeux, les mêmes que ceux de son père, un regard perçant sur la vie.

 

 

Nylonement

 

Belle génération
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1 novembre 2016 2 01 /11 /novembre /2016 06:29
Projection
Projection

Un soupçon de décalage horaire et des monstres hideux partout sur le trajet de retour, maintenant dans le noir de l'automne, je n'avais pas d'envie, un coup de blues peut-être. Alors j'ai mis de la musique, j'ai laissé le chat se coller à moi sur le canapé, j'ai repris un livre oublié sur mon radiateur. Plonger ainsi dans les pages, dans un roman d'amour de trentenaires, loin de mes repères, avec des crises de caprices à chaque chapitre, j'ai souri intérieurement de ce nombrilisme générationnel.

Puis je me suis endormie, là sous la couette, la boule de poil avait trouvé sa place habituelle sur le coin de radiateur, sur un coussin en satin devenu son fief en hauteur. Alors ce matin avec ce thé, earl grey et pamplemousse, je me réveille face aux feuilles mortes, entre douceur d'une journée de pause et besoin de finir quelques documents sur mon ordinateur. Finalement je flâne sur les pages burlesque, en quête d'un glamour fascinant, d'une féminité aux reflets multiples. Des plumes et des paillettes, mais toujours des sourires, des histoires poétiques, des souvenirs des derniers spectacles vus avec mes amis, cette ambiance souvent pleine de joie, d'applaudissements et encore de glamour.

 

Mes yeux s'arrêtent sur les corsets, ic et là, ils brillent, ils sculptent les corps. Les étincelles de cette féminité sublimée, je regarde les formes soulignées de soie naturelle, réhaussées de dentelles parfois. Les coupes changent, les bustes s'affirment, c'est un  jeu pour trouver une taille plus fine, trop aussi, les excès ne me passionnent pas, car en les voyant je ressens la douleur. Mais tant d'autres modèles, tant de sourires, tant de couleurs et de lacets qui défilent. Et si je sautais le pas. Un défi pour mes rondeurs, un éclat dans ses yeux, lui qui lit ma silhouette avec ses sentiments, cajole mes courbes, mes excès à mes yeux, mes lignes si personnelles dans ses mots. Il a toujours su trouver de la lingerie, des robes, modernes ou néo-rétro pour embellir mon corps. Dans le miroir, mes mensurations, pourtant toujours les mêmes, nue ou habillée, se sont transformées en un buste fier, une taille gourmande pour poser ses mains, des hanches parfaites pour poser un porte-jarretelles, mes jambes accueillant les bas à couture. Une magie qui me séduit, une lingerie que j'assume pleinement pour mon confort, pour ma féminité, je repense à ces combinettes si envoûtantes sur elle, pardon sur moi, j'avais l'impression d'être une autre, plus belle. Il a fusionné les deux images, en me serrant plus fort dans ses bras. L'amour !

 

Les sourires avec ce sere-taille très haut, quasi underbust, qui sculptait mon ventre, ces encouragements à croire en moi, délicats comme des caresses. Alors, ces corsets anodins dans cette balade virtuelle matinale, ne seraient-ils pas un nouveau challenge pour perdre quelques kilos, les oublier sur le chemin de notre vie commune. Pour moi, pour lui, pour rester moi d'ailleurs, pour être sublimer par son regard aimant, sans trop serrer les cordons. Je me vois soudainement respirer dans cette lingerie de pure séduction, les seins éclatants sous la dentelles et la mousseline, le tout sous une veste, avec une jupe, avec des escarpins. Une envie profonde de sentir ma peau, mon corps avec un nouveau design, un coeur palpitant de bonheur.

 

Dans la chambre, il se lève, s'approche de moi dans mon dos, m'entoure de ses bras. Le premier corset, le meilleur corset, le plus charnel, avec des baleines fortes d'émotions.

 

Nylonement

 

 

Projection
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30 octobre 2016 7 30 /10 /octobre /2016 08:08
Saisons de douceur

Ma main sur sa jambe, une douceur infinie au toucher, et bien plus encore, mon coeur apprécie intégralementcette sensation tactile mais se gonflait de sa présence émotionnelle. Car le temps, le hasard au commencement de ces jours, ces semaines, ces mois et maintenant plusieurs années, ce souriant instant d'un début avait vu défilé nos sensibilités.

 

Les sentiments avaient suivi les saisons, les mots étaient devenus plus libres, plus vrais pour lui avouer la force de mes hésitations, de mes doutes aussi en évitant les raccourcis qui nourrissent souvent les incompréhensions. J'avais pris le recul temporel suffisant pour croire en moi à nouveau, pour la découvrir plus honnêtement, pour lui donner aussi l'espace pour s'exprimer en retour. Mon coeur n'avait pas fait chaviré ma raison, mais mon âge, ma sagesse (pour ne pas dire les douleurs du passé) avaient pris en main mes palpitations hésitantes.

 

Un vent de printemps, un coup de chaleur, ses lèvres, mes gestes maladroits comme une première fois d'adolescent, mes doutes encore mais aussi un impossible refus de la réalité, j'avais lâché prise pour mieux lui avouer mon coeur ému quand elle était là, quand elle était absente, quand elle était loin, quand elle était si proche, juste là au prochain rendez-vous.

 

L'été avait un moyen d'écrire encore, de libérer mes maux, avec d'autres mots, pour lui parler, pour divulguer cet amour naissant, mais aussi au fond de moi pour s'avouer une vérité évidente. Ne plus la refuser, s'offrir de positifs battements de coeur, aller vers demain sans savoir, plus encore sans redouter demain. J'ai pris sa main, si douce, suivi son regard, je me suis perdu entre ses lèvres, dans son sourire. Son parfum et sa présence étaient, le sont toujours d'ailleurs, des dimensions rassurantes, des repères de douceur. Les effluves, son rouge à lèvres, ses robes, ses escarpins, son sourire toujours, sa silhouette, son esprit vif, un tout qui forme son allure. Et puis ses jambes, ce nylon trait d'union (le mot n'est qu'un euphémisme) entre nous, pour nous rapprocher au plus près d'elle, je le regardais en mouvement, je le caressais du regard puis du bout des doigts.

 

Imperceptible souffle d'automne, indispensable aux premiers frimas, pour aller boire un thé après quelques boutiques visitées ensemble, pour parler de nous, pour l'écouter, pour répondre à ses interrogations, pour y ajouter les miennes, pour former cette bulle unique et forte de tendresse, nous avons fusionné nos vies. Nos passés et nos familles, nos jobs, nos multiples vies, et maintenant un avenir en commun, nous aimons tant refaire un monde idéal, plus humain, plus proche de notre vision moderne et altruiste de la société. La météo jouait de ses variations et nous étions toujours plus proches, prompts à affronter les prochaines étapes, prêts à grimper des montagnes pour y être tous les deux, tel un couple. Un mot compliqué pour nous quand nous regardions en arrière, si indéniable pour marcher ensemble vers le futur, nous avions toujours notre bulle de sentiments.

 

Hiver et son froid, ses petits matin, vers le train, la chaleur du lit, le bonheur de sez retrouver, de se parler, et surtout, de croire enfin et totalement en nous. Nos amis, nos proches, nos vies avec une magie accessible, simple comme nos envies, chaque saison a donné de la force à mes sentiments pour mieux l'aimer, pour la protéger. Mes mains, ses mains, nos mains, ici et là, fidèles à nos sensations, à nos émotions, à nos points communs, à notre définition de la délicatesse, complices de nos jouissances, notre amour est le fluide qui passe entre les mailles de nylon, le fait vibrer plus subtilement.

 

Aujourd'hui, je ne peux rien ajouter aux mille petits bonheurs de notre quotidien.

Mais je l'aime si fort !

 

 

Nylonement

 

 

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25 octobre 2016 2 25 /10 /octobre /2016 14:01
Voiles d'été

C’était cet été, un moment de liberté, nouvelle après cette rupture. Je venais de me réfugier dans une petite chambre, gentiment proposée par une amie me sentant un peu fragile. Des vacances, elle avait insisté pour que je fasse un break, moi qui avait annulé mon voyage à Bali avec lui. Je ne voulais pas voir ce futur devenu impossible, je bossais jusqu’à la saturation depuis six mois. Plus de sorties, je les refusais toutes, mêmes les instants entre copines au restaurant, rien de tout cela, juste du boulot. Douche le matin, travail ensuite sur mon ordinateur, sur les projets, quelques rendez-vous avec les clients et les partenaires, je retournais ensuite face à mon écran, mes idées concentrées dans une folle envie de ne plus penser à moi. Boulot encore le soir en mangeant une salade, un morceau de fromages, du boulot jusqu’à ce que ma tête s’affaisse dans le canapé, sur une dernière idée, les yeux fermés.

 

Un soir, elle était passée, ma grande copine, mon ex-colocataire quand nous étions ensemble en école de commerce à Grenoble. Des soirées pâtes à refaire le monde dans un studio, des soirées avec nos autres copains de classe, nos rapports de stage finis à l’arrache, nos premiers projets professionnels, nos rêves. Elle n’avait pas changé son image, entre sa chemise d’homme sur son corps de femme enfant, blonde et mince, parfois très sérieuse, triste voire fade, et en quelques secondes, radieuse, solaire et conquérante. J’aimais cette dualité en elle, son mari était un ex-camarade de classe, une année avant nous. Un beau brun charmeur, elle avait craqué pour son parfum, je me souviens encore de ses discussions sans fin sur ce coup de cœur après une soirée dégustation de vins en centre-ville. Les petites rues, elle me les avait racontées tant de fois, son parfum, sa chemise bleue à rayures blanche qu’elle portait dorénavant. Je repensais à cela dans le hamac, moi la vacancière malgré moi, venue avec eux, sa famille, ses jumelles en bas âge, sa cousine et son mari, ses beaux-parents. Je m’étais intégrée dans ce cocon familial avec une discrétion réelle, pour mieux disparaître dans la chambre du fond, dès que possible. Ils étaient au bord de la piscine, je me reposais de ce marathon de six mois, pour éviter l’implosion de fatigue. Elle avait eu raison d’insister lors de notre dernier coup de fil pour m’arracher à mon clavier.

 

Un repas à deux dans un bistrot caché, un endroit privilégié avec peu de monde. J’avais presque perdu l’habitude de la foule, de ces gens nombreux, de ce bruit multiple. J’avais pris un taxi avec elle, son rire solaire m’avait capturé comme dans le passé. Une sensation renouvelée avec nos sourires complices, avec cette amitié distillée entre nous deux. Une porte, un bonjour, une table dans un recoin, un menu sur une ardoise, deux flûtes avec du champagne. J’avais ri de cette initiative comme si elle était mon prince charmant, un beau gosse en train de me draguer. Des bulles, de la fantaisie, j’avais croqué dedans avec un bonheur non retenu. Je m’étais aperçue dans le reflet de la vitre, floue avec en arrière-plan un bac de fleurs de printemps, mais j’étais bien là. On avait bu, largement plus que de raison, juste pour trouver l’ivresse, le sens confus de la désinhibition. J’avais déroulé mes frustrations en mangeant de la cochonnaille, ce plaisir du gras, du goûteux, de la bouche pleine de pain et de sucs de viandes séchées, de parfums complexes. De la gourmandise, juste cela. Elle avait une boîte cartonnée dans un sac, et soudain elle l’avait déposée sur la table. Simplement devant moi. Un cadeau. « Pourquoi » avait été mon premier mot, « pour le plaisir de te voir heureuse » avaient les siens. La marque Repetto, un souvenir complice aussi quand nous avions partagé nos enfances, nos cours de danse classique et plus encore notre envie de reprendre ces exercices de contraintes et de souplesse. Nous avions poussé la porte d’une salle de danse grenobloise, avec nos corps de jeunes femmes, nos collants blancs, nos chaussons neufs, durs et si peu confortables. Là encore, nous avions été des amies encore plus proches, c’était notre échappatoire entre deux cours, entre deux sorties étudiantes, nous venions ici pour la rigueur et le plaisir. Un grand carton, dedans une jupe légère, non pas un tutu de mousseline, mais cette version longue d’un voile opaque rose poudré. Une longueur féminine en attente d’un souffle de vent sur ma silhouette, elle l’avait suspendue entre ses doigts, devant moi, parlant d’un lieu pour la porter tout prochainement. C’était ici, en vacances, un double cadeau, un ticket pour venir avec eux me changer les idées. Cette super amie, je lui avais fait mille bises entre mes larmes de joie.

 

Et le vent soufflait maintenant sur mes jambes, le rose s’illuminait du soleil arrosant cette terrasse.

 

Nylonement

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NYLON-VOLUPTE ??

Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

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Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

Vous avez des stocks de pochettes vintage, des photos associées, contactez-moi pour compléter le musée.

 

 

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ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

Bas-Nylon-mais-alors !

Bas Nylon, quel talon ?

Je-suis-alle-au-paradis des Bas Nylon

 

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Coups de Coeur

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Mes coups de coeur, ceux où je passe régulièrement sur leurs blogs, pour leurs contenus, leurs photos, leurs articles, leurs humeurs, leurs amours, leurs critiques. Inspiration passgère, amitié ou même coup de foudre, souvent un univers de mots, de douceurs et de libertés ...

martiennes.wordpress.com  justement féministes

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folievintage.fr un lieu pétillant & glamour

blog.plafonddeverre.fr réalité féministe

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citizencouture.com la mode online

misspandora.fr super-fée de mode

leblogdebigbeauty.com ronde et alors ?

modeuse.com j'aime depuis le début

garancedore.fr oui, encore elle

...

Et si vous n'êtes pas ici, c'est pas un désamour, plutôt un oubli, 

et la liste serait peu-être un peu longue (environ 200 sites de références)

mais je vous visite régulièrement, bises à toutes !