19 janvier 2016 2 19 /01 /janvier /2016 06:31

 

 

Journée mitigée, le soleil ne joue pas avec la lune comme dans une chanson joyeuse, mais avec des nuages distants, des brumes surprenantes pour un début d'année. Je patiente pour un rendez-vous, pour convaincre des clients moroses comme le business et la croissance de notre beau pays. La météo serait-elle aussi atteinte par cette contagion ?

 

 

Et elles passent, oui deux jambes, une ravissante paire de gambettes dans un gris opaque foncé, des talons en-dessous, une jupe corolle au-dessus. Un rayon de soleil les suivant de près. Impossible, je dois rêver, m'être endormi sur la chaise de cette terrasse, de ce café. Tout est là, un sac glamour et moderne, un petit haut fausse fourrure un peu tendance. Un rayon de beauté, un de ceux qui parle à mon bonheur version mode. Elles s'arrêtent. Je fais une pause sur elles.

 

 

 

 

Mon heure arrive, un bip de mon téléphone, je paye, je me lève en ramassant mes affaires, je file. Elles sont toujours là, en attente, même le soleil a poussé les nuages malicieux, la lumière juste autour des talons. Je cherche ma direction, justement par là, vers elles. Je traverse, je passe, j'aperçois un visage, une écharpe, le courant d'air qui justifie pleinement cet accessoire. 

 

Ravissante. Ce mot reste en moi. Car dans notre belle société, vous savez celle où vous vivez, payez des impôts inégalitaires, subissant des lois étranges parfois, profitant de la réalité simplement les autres jours, il y a délit de liberté d'expression. Vous en connaissez les tyrans, les barbus châtiant les infidèles, les humoristes et les personnes libres dans un amalgame honteux. Les mêmes, qui inculquent à leurs générations, un héritage crétin (non ce n'est pas une religion !) de mâles en machistes, avec des valeurs viriles et nébuleusement primaires. Ceux-là même qui pense que les femmes sont des êtres humains de catégorie inférieure, mais bien utiles pour le ménage, la gestion des enfants, la cuisine et le lavage de leurs linges. Ces hommes de tous âges, jeunes, enfants, élèves, étudiants, adultes ou vieillards jettent des mots, des saloperies, des insultes, des blessures sur le corps des femmes, mais apparemment ne se lassent pas de les regarder, ou ne savent détourner les yeux ailleurs. Oui ce sont des êtres primaires, n'oublions pas ! Ceux-là toujours qui voyant une femme élégante, belle, jeune ou vieille, libre de sa mode, ceux-là donc qui ne pense qu'avec un cerveau à deux boules, et semblent avoir une sexualité, du moins une vision bestiale, animale (ah moins que ceux-ci ne soient paradoxalement de grands consommateurs de vidéos de cul). Paradoxe de pensées, plutôt de réflexes conditionnés, ils insultent les femmes. 

Surtout ils ne les respectent pas. Jamais.

 

 

 

 

 

 

 

 

Alors j'assume ma personne, je suis un homme, un mâle, un esthète, parfois probablement un voyeur car je ne baisse rarement les yeux. Machiste, pas du tout, sauf en présence de femmes qui pensent que tous les hommes sont pareils, face aux féministes camionneuses et obtuses, je peux devenir macho extrémiste, le temps d'une joute verbale. Féministe, oui, sensible à la féminité, très sensible à l'équité et à la liberté de vie et d'expression des femmes : OUI !

 

Je ralentis, elle est derrière moi, je me tourne, elle arrive à ma hauteur se dirigeant vers la même rue, même trottoir. J'ose, une folie dans notre monde actuel, un acte peut-être filmé par les trop nombreuses caméras de soit-disant sécurité. Une liberté cachée, presque un geste militant pour la féminité, j'ose totalement.

 

"Mademoiselle, je sais que c'est interdit, mais pas insultant, vous êtes ravissante ainsi. Votre tenue défit cette météo. Vos jambes sont magnifiques, votre mode avec."

 

Dans un même tempo, elle freine, sourit, rit, s'illumine pleinement.

 

"Merci Monsieur, les compliments sont si rares, les insultes et sifflets trop souvent. Mais j'aime l'hiver, je le défis avec ce rose (sa jupe pour info), même si je dois jongler entre le chaud de mon gilet, de mes collants. Je défends aussi ma liberté de femme, d'être moi, avec la mode que je veux. Bonne journée."

 

 

Oui quelle belle journée !

 

 

 

Mots & Emotions

Nylonement

 

 

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29 décembre 2015 2 29 /12 /décembre /2015 06:58

Un long week-end commencé dès vendredi matin, pour accompagner le mariage d'une de mes soeurs, nichée dans mon écharpe moelleuse, je ne pense qu'à dormir dans ce train qui remonte vers chez moi. Trois jours intenses, un long voyage dans nos différences, le temps passe vite, trop vite, les mois qui séparaient avec force nos deux classes en primaire et pour le reste de nos études, se sont évaporés, nous voilà trentenaires tout simplement.

 

Si éloignées.

 

C'est pourquoi j'avais tant envie de les revoir toutes et tous, la famille en particulier, que je ne vois plus beaucoup, par manque de temps, avec moins d'envie aussi. Une bande de copines, des moments solitaires, c'est dans ma nature. Différente de notre tribu sans être le canard noir, juste un cygne noir  dans un melting-pot bariolé, avec des envies sortant de leurs habitudes, de leurs traditions. Certes la génétique devient relative avec un inné brouillé par la recomposition de notre cellule familiale, d'un côté comme de l'autre. Ainsi après quinze ans avec une seule soeur, ma grande soeur, moi la dernière, je me suis retrouvée au milieu d'un groupe avec deux garçons, les nouveaux amours de mon père.

 

 

 

 

 

 

 

 

Puis quelques années plus tard, car ce fût plus dur pour elle, ma mère à rencontrer un homme, plus jeune, sympathique, discret, mais avec lui aussi des enfants. Deux nouvelles soeurs, des routines différentes, des blondes, des bruns, des rousses, des grandes et des petites, des morphologies variées, des histoires et des éducations, surtout des week-ends à géométrie variable. La table était toujours grande, le contact en tête à tête difficile avec les parents, surtout dans une fin d'adolescence, face à des choix de vie, d'études, des doutes de futurs jeunes adultes, j'ai pris du recul, je suis devenu indépendante. Le temps a avancé, naturellement jour après jour, mois après mois, en dévorant le calendrier, nos relations se sont plus ou moins nouées. Avec certains j'ai eu le plaisir de partager des concerts, des soirées, des moments complices ponctuels et des souvenirs, avec d'autres j'ai râlé sans retrouver certaines de mes chaussures, la mode semblait être notre lien implicite, mais ses jeunes soeurs ne savaient pas vraiment demander avant d'emprunter dans mon ancienne chambre. 

 

Moins de souvenirs avec elles, on ne se croisait pas assez, je n'avais pas tissé cette fibre dépassant le niveau de simple relation, elles m'étaient étrangères. Mes parents étaient heureux, je menais au mieux mon futur parcours professionnel, mon premier studio. 

 

Alors le temps a marqué cette distance entre eux et moi, mes déplacements à l'étranger, un boulot prenant, une fatigue réelle mais assumée, et les fêtes de famille décalées chez les uns et les autres, aux quatre coins de la France, je me faufilais entre les dates, les lieux. Sans envie. Les premiers amours et les premiers mariages, là c'était ma soeur de sang, mon aînée. 

 

Finalement j'ai été pour la première fois avec eux tous, leurs gamins, leurs bébés, leurs femmes et leurs petits copains, leurs maris. Une troupe de gens, d'amis de ma soeur et de son nouveau mari, des discussions sur l'amour, sur la météo, sur le boulot, sur tout ce qui forge un rien dans une discussion avec des quasi inconnus. Etrangement je me sentais aussi proche d'eux que de certains amis, sans lien familial. Sur la photo des frères et soeurs des mariées, j'ai regardé les personnes, ne sachant plus vraiment qui était de notre côté, trop de facettes.  

 

 

 

 

 

Et puis les différences, ma robe robe, cette couleur qui est ma touche de feu, tous les jours avec moi, ma signature dans ma vie courante, je l'ai porté fièrement au milieu des couleurs fades, des tenues génériques. Rouge en version robe longue, en version courte quand le soleil est revenue, en trench ou en robe moulante, j'ai abusé de la couleur écarlate, même aujourd'hui dans le train, avec mon jean, des ballerines rouges et vernies.

 

Le plus marquant aura été ce vide laissé par ma venue seule à ce mariage. Tous étaient en couple, plus ou moins officiel, durable et parfois avec les gamins associés. Une fierté exposée comme une validation de statut social, une normalité que je ne trouve pas indispensable. Je vis sans personne. Indépendante mais surtout solitaire, heureuse et sereine ainsi, jamais je n'avais dû le justifier avec mes collègues et amis, mais durant tout ce week-end, je me suis répété sur cet oubli d'abord en rigolant, sur ce vide ensuite, sur mon avenir sans enfants de plus, sur une possible nouvelle sexualité aussi, sur cette liberté enfin.

 

Je tombe de fatigue, mais ce fût épuisant de danser, de discuter, de me sentir si différente, j'attends de rentrer dans mon cocon, celui de ma vie, de mes mille occupations, de mon travail, seule et infiniment heureuse.

 

 

 

 

Nylonement

 

 

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20 novembre 2015 5 20 /11 /novembre /2015 06:45

Libre, seule mais sereine, presque du moins, le temps de la digestion.

 

C'est ici que j'avais rencontré mon prince charmeur, dans ce riad marocain, durant un séminaire pour entreprises, des consultants, des spécialistes, des experts, des commerciaux, du gratin dans mon secteur. Des journées boulot le matin, détente, golf, piscine et autres balades l'après-midi, des soirées un peu folles, des repas fabuleux dans la fraîcheur nocturne du jardin immense, des coins et des recoins. On avait dansé tard, le deuxième soir surtout, les plus gros messages étant passés, la centaine de personnes se lâchait, discussions professionnelles au début puis plus de liberté. Des couples car la société hôte ne négligeait personne, ni les cadeaux, ni les billets gratuits, pour "le travail" et pour le fun, mais avec l'objectif de vendre nos produits ensuite. Juste les nôtres.

 

 

 

J'étais alors célibataire, libre de profiter de ce lieu magique, de ce pays formidable, des activités touristiques ou sportives. Des groupes, des affinités, des couples plus seuls, la barrière de l'anglais ou l'envie de profiter à deux. Plusieurs riads reliés pour des dizaines de chambres, du personnel discret, du thé à la menthe, et ce jour-là lui, le beau mâle, le commercial sûr de lui, conquérant, un peu en confiance. Il avait essayé, sans trop cacher son jeu, envisageant vite un duo avec moi, plus que professionnel, le grand coup du dragueur. Avec le soleil, l'ambiance aussi, j'avais fini par en rire de ses avances, de ses compliments sur mes robes, sur mes chaussures, sur mon élégance, et puis j'avais craqué. Ses bras, son odeur, la chaleur, le thé, les fleurs du jardin, un parfum d'ailleurs et puis pourquoi pas.

 

Voilà deux ans que c'était comme cela, car nous avions des réunions régulières, des séminaires et autres colloques, chacun volontaire de notre côté, nos vies autrement, le boulot comme trait d'union et de galipettes joyeuses. Un bonheur fort ! Avec quelques virgules, sans trop s'encombrer, sans trop s'envahir, j'avais compris qu'il était marié, et moi, je voulais, qu'est-ce que je voulais vraiment ? J'étais bien avec ce presque gentleman quand il lâchait son portable et sa famille lointaine. Nous étions heureux, complices, charnellement très jouisseurs du corps de l'autre. Des sex-friends, peut-être un peu plus, mais pas trop obligés par l'autre, cela chagrinait ma meilleure amie, elle ne voyait pas dans quelle case le mettre.

 

 

Je n'y jamais réfléchi, même quand mes soeurs ont annoncé mariage, bébé et maison, tout cela ce n'était pas pour moi. Mon appartement me suffisait, ma liberté et mes amis aussi. Le lit certes froid certains soirs, pas toujours non plus, n'en déplaise à ce monsieur. Je vivais comme une trentenaire libre de son corps, de sa vie, de sa profession, de son salaire et de toutes ses décisions. Libre.

 

 

 

 

 

 

 

Libre encore plus aujourd'hui, car finalement cet homme devenait jaloux de tout cela, mais se cachait derrière sa femme enceinte du second enfant, sur ses projets si personnels, sur un impossible divorce que je ne lui demandais pas. Un mâle régnant, croyant annexé mon fief, mon chez-moi en plus du sien. 

Non. voilà ma réponse quand il a demandé pour le prochain colloque. 

 

Et puis l'organisateur étant un collègue, j'ai fait envoyé une invitation "Mr et Mme ..." chez lui, avec une lettre "comme la dernière année, nous pourrons vous réserver une chambre double pour votre venue...". Etrangement, lui aussi a été obligé de dire "non" 

 

J'aime le soleil sur mes épaules, le goût si sucré du thé à la menthe, très chaud, les parfums du jardin.

 

 

 

Nylonement

 

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Mots & Emotions

 

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24 septembre 2015 4 24 /09 /septembre /2015 05:26

J'ai utilisé ce slogan durant les dernières années pour défendre un processus de vie et d'amour, celui de chacune et chacun. Celui aussi de la prévention face au sida, une maladie sournoise comme les autres, profitant des instants de relâchement, des sentiments, des envies charnelles encore plus fortes.

 

 

Une maladie d'amour !

 

 

Donc il faut continuer à l'enrayer, à se protéger, à s'aider, à s'aimer aussi, avec toutes les folies que nos corps peuvent souhaiter, partager, assouvir dans un duo de plaisirs. Il faut vivre.

 

 

 

 

 

 

Parfois s'ajoute d'autres soucis, pas une maladie, pas un simple souvenir trouble, pas une angoisse envolée après quelques minutes, mais un acte, consenti ou non, et une fatalité. Une grossesse, un début de grossesse non souhaitée pour être précis. Personne ne joue avec son corps, personne ne veut jouer avec une conception, personne ne veut cela. Ni les douleurs psychologiques d'être trop jeune pour une erreur de protection, d'être trop soi-même pour ajouter un membre dans la famille, d'être la victime sans comprendre le script de cette mauvaise histoire, ni aucune souffrance pour les premiers jours, les premières semaines qui défilent trop vite face à l'immobilisme de notre société.  

 

 

Oui, Mme VEIL a un jour ouvert la porte sur la honte, sur des étapes malheureuses et volontairement cachées de certaines vies, sur les morts dans des souffrances atroces, juste pour ne pas être mère au bon moment. Car celles qui ont un jour choisi l'avortement, elle voulaient simplement décider, non par fantaisie, ni même par liberté évidente de leur sexualité, mais bien dans un projet de vie, de famille. Car le foetus peut devenir un bébé, un enfant, une vie, une éducation, un parcours de vie, et tout cela doit pouvoir être assumer, souhaiter. Or parfois le début de l'histoire est bien différent. Le choix est cruel, mais la décision doit être aidée par notre société moderne. Je vous ferai grâce des motivations, surtout religieuses, non pas culturelles, des uns et des autres. Je laisse la honte se propager sur ceux qui ont décidés, qui ont forcés, qui ont bannis cette idée tout en bannissant celles qui gardaient ces enfants non souhaités. Troublant paradoxe des "bien-pensants", ne souhaitant pas assumé le projet de vie qu'ils imposaient, faisant suite à la décision qu'ils imposaient aussi.

 

 

 

 

Oui, l'avortement est un droit, légal en France depuis des décennies, pour ne pas jouer, j'insiste, avec son corps, la contraception existe aussi, mais pour se libérer d'une vie non souhaitée. Mais surtout pour le faire de façon médicalement assistée. Car les faiseuses d'anges, souvent décriées, furent sources de complications, mais aussi de vies réellement libérés d'un poids impossible à porter. Mais nous sommes en 2015, la société nous emporte dans des chemins de modernité, avec du progrès chaque jour, bon ou moins bon, profitable souvent ;-). L'humain doit pouvoir profiter des avancées de ce système, librement. Car parler autour de vous, vous serez surprises, du silence, de certains secrets tardifs, sur ce sujet. Hommes responsables de maternité non souhaitée, pris dans le piège de devenir père malgré eux, lâches professionnels aussi. Femmes enceintes malgré elles, coincées dans l'étau de leurs contraintes de vie, famille, boulot, réalité.

 

Aujourd'hui, il faut donner librement accès au soutien psychologique, aux moyens légaux de fin de grossesse. C'est une liberté, pas une fantaisie, un  véritable droit.

 

Il y aura toujours autant de sourires après, de beaux bébés souhaités, de vies sereines. Et ce, malgré le choix douloureux pour ceux et celles qui ont un jour eu recours à l'avortement. Ce n'est une décision prise à la légère. Aidons, aimons, vivons !

 

 

 

 

 

PS : une association WOMEN on WAVES dirigée par la Docteur Rebecca GOMPERTS utilise le net pour défendre ce droit, pour fournir des solutions à celles qui sont derrière les barreaux d'une religion, d'une idéologie culturelle ou politique les empêchant d'avoir ce libre-choix.

 

 

NYLONEMENT

 

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NYLON-VOLUPTE ??

Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

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Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

Vous avez des stocks de pochettes vintage, des photos associées, contactez-moi pour compléter le musée.

 

 

COPYRIGHTS

Les photos sont ici uniquement à titre non marchand comme l'ensemble de ce blog non-commercial, pour un référencement, en l'honneur des marques citées, pour un usage d'hommage à la Féminité. Si toutefois, j'oublie une référence (encore faudrait-il qu'elle apparaisse en récupérant cette image sur le net, sur Pinterest et ailleurs) ou je suscite un souci de droit à l'image ou aux copyrights, contactez-moi par email gentlemanw@nylon-volupte.com.

L'image sera retirée dès que vous nous préciserez laquelle. Merci.

 

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Recherche ???

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Cancer, trop proche de nous.

Faites un sourire et soutenez l'autre !

Nous sommes tous acteurs de la santé de nos proches et de nos familles.

Cette maladie frappe le col de l'utérus, les seins, la thyroïde, la prostate, le plus couramment et ailleurs aussi !

Alors soutenez vos ami(e)s, vos parents, votre compagnon et votre compagne.

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www.ligue-cancer.net

Aimez vous les uns et les autres

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www.cancerdusein.org

 

 

Aimez-vous,

Protégez-vous !

Vivez !

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www.info-depression.fr

 

 

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ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

Bas-Nylon-mais-alors !

Bas Nylon, quel talon ?

Je-suis-alle-au-paradis des Bas Nylon

 

Site web uniquement accessible pour les membres.

 

Coups de Coeur

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Mes coups de coeur, ceux où je passe régulièrement sur leurs blogs, pour leurs contenus, leurs photos, leurs articles, leurs humeurs, leurs amours, leurs critiques. Inspiration passgère, amitié ou même coup de foudre, souvent un univers de mots, de douceurs et de libertés ...

martiennes.wordpress.com  justement féministes

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bellesetbiendansvotrepeau conseils beauté

leblogdebetty.com mode et sourires 

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lheureuseimparfaite blog féminin et impertinent

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estelleblogmode.com  mode souriante

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misspandora.fr super-fée de mode

leblogdebigbeauty.com ronde et alors ?

modeuse.com j'aime depuis le début

garancedore.fr oui, encore elle

...

Et si vous n'êtes pas ici, c'est pas un désamour, plutôt un oubli, 

et la liste serait peu-être un peu longue (environ 200 sites de références)

mais je vous visite régulièrement, bises à toutes !