24 mars 2015 2 24 /03 /mars /2015 06:59
Anonyme

 

Je suis anonyme, sans réelle existence dans ce monde qui m'est encore inconnu partiellement. Dans un camion, à travers des frontières, sans réels papiers et payant fort cher, mes parents ont facilité du travail de toute leur vie pour que je partes ici. Dans ce pays occidental, aux manières découvertes dans un livre, dans quelques films et avec mes base de langue anglaise, je me débrouille, des lointains cousins m'ont recueilli et je travaille pour eux tous les jours. 

 

Longues semaines, longs mois et bientôt deux années dans ce fouillis de rues, de fatigue, de travail encore et de salaire minimum, avec un lit partagé avec une autre cousine, je dors la nuit, elle le jour, on se croise sans se connaître. Chacune a un job lié à ce clan, on ferme les yeux sur les rumeurs, moi j'appprends tous les jours, j'essaye en plus d'ouvrir mon espace autour de moi. Repousser les nouvelles frontières de la langue encore inconnue, du quartier, de la ville, des usages, des transports en commun. Petit à petit je vois le ciel bleu, j'essaye de voir le bleu plus encore proche de moi. Pour les clients du restaurant, je ne suis qu'une chinoise, une asiat qui écrit des numéros sans comprendre le sens du menu, de leurs remarques, de leurs réflexions. Mais je progresse tant dans l'émotion que dans la haine. Je saisis les sens, je traduis en moi, je développe mon futur.

 

Car avant de venir ici, j'étais professeur, j'avais étudié la biologie mais aussi des notions de vente, dans une école mixte avec quelques étrangers. Et sans rien en dire, j'avais appris les bases du français, mais jamais je n'ai dévoilé mes cartes, mes atouts pour réussir, juste un soir à ma mère. Voilà pourquoi je suis ici, mais pas pour la vie, mais bien pour devenir l'avenir réussi de ma famille. Une autre femme, plus droite, plus respectée, plus debout face à ce passé encore lourd sur les épaules. Aujourd'hui après que mes parents aient payé mon passage, je paye encore un droit pour travailler, sans papiers officiels. Cela pourrait être pire, comme ma colocataire de lit, elle se vend. On l'exploite. Je ne sais pourquoi je suis là, d'après quels critères, je fais la serveuse, pour quel honneur de famille ou autre sombre raison. 

 

Demain, je serai libre, un jour je partirai, pour avoir des papiers, les moyens de travailler honnêtement, d'être moi, de vivre et de dormir là où je l'aurai décidé. Une liberté née de plusieurs sacrifices, sur plusieurs générations. Comment y croire ? Mais en moi j'ai encore une force cachée, une fierté qui me tiendra toujours face à l'adversité. Faut-il se battre pour être simplement moi-même ? Combien de frantières invisibles encore à traverser ?

 

Nylonement

 

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13 mars 2015 5 13 /03 /mars /2015 06:27
Besoin d'elle

Eux, ce sont mes proches en particulier ma famille, mes amis et mes amies, mes copines, mes voisins, mes collègues. Mais c'est aussi la société, cet univers invisible dans lequel nous sommes vivants, respectant les règles d'un gouvernement, les lois, mais aussi les valeurs de notre éducation. Les interactions de tous les êtres, de ceux qui pensent librement avec leur propre référentiel de valeurs, leurs propres définitions des mots "Respect" et  "Liberté". Le poids énorme d'un groupe d'individus, qui se parlent, se regardent, s'observent, s'entendent , s'écoutent parfois, plus rarement.

 

Eux ce sont ceux que je croise anonymes dans les transports, moi-même avec mes écouteurs et mon univers musical, ma tronche penchée dans un livre, un magzine ou dans le vide du sol pour ne pas les voir. Leus pas, leurs godasses et leurs talons, les petits et les grands, les trop parfumés et les sans-douches, je ne les regarde plus, pas vraiment envie des les voir. Je ne tente pas le rand écart entre eux et moi, mais nous ne posons pas la même vision sur notre monde. Passé, présent, futur surtout, je vis pour demain.

 

Moi, je suis jeune, studieuse, protégée et pourtant parfois un peu paumée. Mes repères sont faciles, un quotidien bien chauffé, un cocon bien nourri. Cependant dans un monde où le boulot manque, où le futur rime souvent avec des contrats précaires, j'essaye de bosser un maximum pour être la meilleure avec le meilleur diplôme. Et pourtant, en tenue jean et pul, ou en tailleur pantalon, je reste moi-même. Et j'ai des doutes quant à un réel poste disponible juste suivant mes envies, juste suivant leurs besoins.

 

Moi, c'est aussi une bombe à retardement,une famille aimante, peut-être trop présente même si ils me foutent la paix, même si il supporte mon caractère d'adolescente aux règles complexes, aux sauts d'humeur très acrobatiques. Je ne sens perdue, et pourtant ils sont là derrière la porte, n'osant forcer ma barrière d'humeur, n'osant comprendre que j'ai besoin d'eux. Un paradoxe quotidien, sauf depuis qu'elle a apporté sa lumière.

 

 

Besoin d'elle
Besoin d'elle
Besoin d'elle

Eux, ce sont aussi les regards, ceux de la vie, des repères naturels et hérités des générations ou des habitudes. La quête du couple entre les copines et les copains, l'esprit ouvert sur de belles soirées où l'on trouvera sa moitié, son mâle romantique ou macho, son homme. J'ai regardé, j'ai goûté, mais finalement je ne me suis pas trouvé dans ce modèle. Heureusement j'ai pris du recul sur eux, dans ma timidité, j'ai compris que ce n'était pas eux qui me jugeait, mais moi qui pensait pour eux. Mon propre regard dans le miroir. 

 

Eux n'avait pas non plus l'envie de voir, le flou restant une solution de faciliter, une aisance colorée de politesse. Mais dans mon cocon le plus proche, j'ai pas cherché à être autre chose que moi. D'ailleurs mon beau-père, cet homme qui aime ma mère, elle aussi en retour, deux amoureux heureux, deux familles derrière, un amour fusionnel devant, bref eux, ils ont ouvert les yeux plus vite, sans juger. Ils ont été simples dans leurs messages "nous ne voulons,, nous ne voyons que ton bonheur !" Eux  n'avait pas de choix sur moi, sur elle, sur nous. Loin de la société, loin des écueils possibles, ils étaient déjà là comme un point de soutien. 

 

Moi, c'est un peu d'elle, cette femme que j'aime de tout mon coeur, fragile, encore incertain, encore pris dans les doutes. C'est un peu mon moteur intérieur, ma carapace et puis aussi dans ce cas, une révélation, une obligation de me l'avouer à moi-même. Sans surprise, sans avoir de plus à le clamer autour de moi. Est-ce que ma mère m'a fait son revival d'amour quadra-out, non, elle l'aime simplement. Moi aussi j'aime simplement cette femme.

 

Moi, c'est un bonheur de me lever, de l'attendre, de l'appeler, de bosser beaucoup et de trouver que tout mon temps libre avant si important si vide, est maintenant si limité, si peu extensible pour être encore plus avec elle. Je suis bien dans ses bras. Notre relation vit, nous sommes deux femmes ensemble, main dans la main, face à eux, mais heureusement si les regards diffèrent, de plus en plus nous soutiennent, ou simplement s'indiffèrent dans un naturel contemporain. C'est ainsi, c'est notre vie, pas la leur d'ailleurs, mais la mienne avec elle.

 

Moi, je suis amoureuse d'elle. Et c'est ainsi.

 

nylonement

 

pour référence

www.liberation.fr/societe/2015/03/05/lesbiennes-vivons-heureuses-vivons-cachees_1214348

 

 

Besoin d'elle
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12 mars 2015 4 12 /03 /mars /2015 06:20
Pas assez, trop !

Ce matin, en achetant mon magazine féminin habituel, j'ai eu le bonheur encore renouvelé de croiser les pages de publicité où je ne me vois pas, je ne me retrouve pas, je ne rêve pas, rien avec moi. En pourtant je ne suis pas vraiement extraterrestre, plutôt banalement terrienne. Mais ma trentaine arrivant dans quelques semaines, je ne me retrouve pas dans leurs visions de pub et pour la mode, je me pose des questions, pourquoi des mannequins si jeunes, si maigres pour ne pas dire si fines, pour ne pas dire totalement juvéniles et non formés. Moi aussi j'étais comme cela, une saucisse géante qui aimait avec douceur, humour et sourire me rappeler mon statut de hot-do sans tranches de pain. On rigolait bien car effectivement mes tee-shirts de taille douze ans, je les ai mis jusqu'à dix huit ans, fine longue, toutes en jambes, sans vraie taille, sans fesses. Un tube long et une version crop-top pour la mini-longueur des mêmes tee-shirts. 

 

Puis un jour miracle, les seins, un bout de pilule, l'amour, je sais pas un bonnet B orgueilleux pour ne pas dire A, est devenu un bonnet C, mes hanches sont venues se glisser sous une jupe trapèze, mon bonheur avec, ses mains à lui aussi dessus. Des études car avec un bac, diplôme tant sacralisé, on a rien, donc d'autres choix, d'autres doutes quant aux réelles possibilités de boulot en sortant après. Rien de plus. Une féminité qui jonglait entre jean confort et petites robes si agréables mais où l'image dans le miroir était en décalage avec mon moi. Son amour m'a aidé à me comprendre, me rassurer, m'embellir entre crises de doutes et belles émotions. 

 

Et puis les cheveux, les coupes de cheveux, les vieilles photos entre mon adolescence et maintenant. Des couleurs, des longueurs, des versions pas peignées, avec ou sans volume, courtes aussi, en attendant d'être de nouveau longues.

 

Pas assez ou peut-être trop.

 

Pas assez, trop !
Pas assez, trop !

 

Alors ce matin, les articles sont les préparatifs à des vacances, lesquelles quand on cherche un nouveau boulot après un nième stage avec un bac+5. Des CDD à rallonges, des postes imaginaires, des projets qui capotent et là devant mes yeux, régime pour la plage, cet été. Mais je m'en fous, totalement. J'aime le nutella, oui énormément, là ce soir, là hier, là demain, quand je veux, où je veux, et avec des footings entre copines ensuite. Je croque, je mange pas, je me cherche, je bosse, je bosse pas, je cherche un nouveau boulot, et mon régime il est dans ma tête. 

 

Le meilleur reste dans les petites phrases des responsables RH, une sémantique hilarante digne d'un prochain one-woman-show. "Pas assez de dipômes pour ce poste", "pas le bon", "pas la bonne spécialisation" (mais existe-t-elle vraiment ?), pas le bon mouton à cinq pattes, car deux trop longues, trois inexistantes, et cinq stilettos en attente, franchement je me marre. Car je préfère en rire, sauf les soirs trop lourds, où je pleure, je coupe le net, le téléphone et je pleure. Lui, il bosse, il sèche mes larmes et essaye de trouver d'autres mots. Car la semaine d'avant il m'a entendu raconter d'autres versions : "trop de diplômes", "vous allez vous ennuyer, même si vous voulez ce poste", "vous serez plus qualifier que votre chef, impossible", "trop jeune, enfin pas si jeune car vous avez des diplômes et déjà de l'expérience". Ces cas qui laissent perplexes sur la crédibilité du refus. Trop jeune, trop vieille, trop grosse, trop maigre, trop souriante.

Ah si, j'ai eu aussi une belle remarque "vous êtes très élégante, peut-être un peu trop féminine pour ce type de poste". Je suis restée souriante jusqu'à l'ascenseur, après j'ai hurlé mon bonheur-haine cocktail pour comprendre le réel message. Trop bien habillée ? trop bcbg ? trop anormalement posée sur 7cm de talons ? ou peut-être la jupe crayon, trop glamour ?

 

Trop féminine, trop féministe, trop femme, trop volontaire ou trop dynamique pour le poste, mais je veux être juger sur mon expérience, mon envie de bosser sur ce projet, mon potentiel à apporter sur les prochaines échéances et pas sur ma jupe. Pour information, ce sont toujours des femmes que je rencontre, donc même un propos que l'on pourrait croire machiste. A moins qu'elles ne soient elles-mêmes héritières de vieux réflexes de management. Non, c'est la crise.

 

Trop de temps, trop de tout, beaucoup de rien. Ma volonté est là, toujours présente, mais comment expliquer que je ne suis pas assez ceci ou cela, mais que je veux ce poste, ce job, maintenant, car je crois en ma candidature. Même avec trop de diplômes !

 

Grrrr !

 

 

Nylonement

Pas assez, trop !
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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 08:21
Livre : Oscar et la Dame Rose

Il y a si longtemps que je n'avais pas partagé un peu de lecture avec vous. Pourtant tous les jours, je feuillette dévore des livres, des pages web, des magazines, des informations pour le professionnel mais aussi pour la détente.

 

Invariablement le soir, je lis, quelques pages, plus rarement un chapitre, un demi livre voir une nuit blanche sur un livre passionnant.

 

Aujourd'hui, je vous propose une lecture rapide, très courte, une nouvelle en moins de 50 pages, un livre du prolixe auteur Eric-Emmanuel SCHMITT : OSCAR et LA DAME ROSE.

 

Lecture à plusieurs niveaux, simples pour des adolescents (oui je l'ai piqué à mon fils), intriguante voire philosophique pour les parents.

"Un jeune garçon est à l'hôpital, il souffre de leucémie. Et il va mourir. Il découvre la lâcheté des grands, le personnel infirmier, la maladie, le sommeil et les rêves, et la compagnie d'une dame rose, visiteuse. Personnage burlesque qui ne le lâche jamais, lui parle de Dieu, de son métier étonnant, de sa vie et le prépare au mot fin."

 

Un livre optimiste quand on connaît la maladie, la nôtre, celle d'un proche, d'un ami, d'un parent. Même si la mort ponctue la livre, j'ai aimé voir le monde différemment, avec une légèreté enfantine, un pragmatisme saisissant, une bataille perdue, mais un futur possible.

 

Rassurez-vous, je vous proposerai d'autres lectures plus légères prochainement. Bon samedi, plein d'amour, de sourires et de belles pensées pour les autres, pour vous aussi.

 

Bises roses

 

 

Nylonement

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NYLON-VOLUPTE ??

Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

gentlemen-w-xs.jpg

 

 

Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

Vous avez des stocks de pochettes vintage, des photos associées, contactez-moi pour compléter le musée.

 

 

COPYRIGHTS

Les photos sont ici uniquement à titre non marchand comme l'ensemble de ce blog non-commercial, pour un référencement, en l'honneur des marques citées, pour un usage d'hommage à la Féminité. Si toutefois, j'oublie une référence (encore faudrait-il qu'elle apparaisse en récupérant cette image sur le net, sur Pinterest et ailleurs) ou je suscite un souci de droit à l'image ou aux copyrights, contactez-moi par email gentlemanw@nylon-volupte.com.

L'image sera retirée dès que vous nous préciserez laquelle. Merci.

 

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Recherche ???

Aimez + Aidez

 

Cancer, trop proche de nous.

Faites un sourire et soutenez l'autre !

Nous sommes tous acteurs de la santé de nos proches et de nos familles.

Cette maladie frappe le col de l'utérus, les seins, la thyroïde, la prostate, le plus couramment et ailleurs aussi !

Alors soutenez vos ami(e)s, vos parents, votre compagnon et votre compagne.

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www.ligue-cancer.net

Aimez vous les uns et les autres

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www.cancerdusein.org

 

 

Aimez-vous,

Protégez-vous !

Vivez !

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www.info-depression.fr

 

 

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ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

Bas-Nylon-mais-alors !

Bas Nylon, quel talon ?

Je-suis-alle-au-paradis des Bas Nylon

 

Site web uniquement accessible pour les membres.

 

Coups de Coeur

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Mes coups de coeur, ceux où je passe régulièrement sur leurs blogs, pour leurs contenus, leurs photos, leurs articles, leurs humeurs, leurs amours, leurs critiques. Inspiration passgère, amitié ou même coup de foudre, souvent un univers de mots, de douceurs et de libertés ...

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bellesetbiendansvotrepeau conseils beauté

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estelleblogmode.com  mode souriante

pinup-doodles un coup de crayon d'une génie

folievintage.fr un lieu pétillant & glamour

blog.plafonddeverre.fr réalité féministe

...

citizencouture.com la mode online

misspandora.fr super-fée de mode

leblogdebigbeauty.com ronde et alors ?

modeuse.com j'aime depuis le début

garancedore.fr oui, encore elle

...

Et si vous n'êtes pas ici, c'est pas un désamour, plutôt un oubli, 

et la liste serait peu-être un peu longue (environ 200 sites de références)

mais je vous visite régulièrement, bises à toutes !