18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 09:27
Amour

Un simple coup de vent, mon journal s'envole, je me lève surpris par ce geste invisible. Un besoin, su signe, je ne sais, je me dirige vers ce rendez-vous, traversant ce joli jardin blotti à l'intérieur de la ville. Mon regard s'échappe, mes pensées sont assez lourdes pour m'autoriser un peu de bonheur esthétique. Les arbres, les crocus de printemps, quelques primevères, le vert du renouveau, la fraîcheur de la la nouvelle saison, je flâne un peu.

 

Puis il y a eu cette magie, cette main qui a frôlé la mienne, involontairement, dans cette allée si large, presque vide. Je suis retourné, elle a souri, une fée peut-être, d'où sortait-elle ? Elle marchait élégamment avec une allure droite et souple, une robe gris foncé, la taille marquée, les années 50. 

 

Soudain voyae dans le passé lointain, le passé proche aussi, elle, celle qui m'a croisé dans les mois précédents, plusieurs fois sans jamais donner son adresse. Une rencontre, un coup de foudre, une première soirée folle de regards, de bonnes phrases, de révélation, je lui aurai tout donné, j'ai reçu une bise en ponctuation, elle avait disparu.

 

Et puis pour une soirée privée, une inauguration d'exposition, elle était là, le destin, seule, avec une flûte de champagne, la tête vers une sculpture d'homme nu. Sa main caressait le dos, les muscles, leur force, leur faiblesse en bas du dos, les fesses. Son sourire était le même, prise sur le fait, la main encore sur les arrondis arrières. Nous avons ri, parlé encore, pris le temps de boire, de manger, de croiser du monde sans nous intéressez à eux, de parler encore. Derrière d'autres bronzes, elle est parti, sans prévenir. J'aurai dû me méfier, elle venait de m'embrasser encore.

 

Amour
Amour

 

Un soir, la pluie, une humidité impossible, la routine du métro-boulot-dodo, un livre dans ma poche, j'avais pris une pause sur mon chemin. Je regardais les passantes, les styles des unes, les improbables essais de mode des autres, le croisement réussi ou non entre le masculin et le féminin. Deux talons m'ont surpris alors que mon regard tombait sur le macadam, ils sont étrangement rapprochés de la vitre, vers moi, des bras avec. Un visage. Elle.

 

Nous avons partagé un chocolat viennois, du plaisir, deux cuillères, de la crème chantilly, du sucré, du chocolat, du bonheur. Elle était là de nouveau, ma fée. Etrangement, je ne savais rien de sa vie réelle, de son métier ou si peu, de sa vie amoureuse, de son lieu de vie, je connaissais sa beauté naturelle, son élégance très féminine, sa bouche rouge, ses paroles et ses yeux. Je la dévorais sur le vif, en temps réel, et je m'évitais la souffrance de ne pas savoir, de ne pas la voir. J'aurai tant aimé l'avoir.

 

Elle pétillait, me donnait des réponses à des interrogations, mais ma discrétion, mon ébouissement m'empêchait de la dévoiler. Ma timidité revenait avec elle, et pourtant j'aurai voulu être capitaine d'un vaisseau pour l'emmener au bout du monde, sur le chemin de mes sentiments si forts. Oui je ressentais de l'amour mais en silence. Sa joie attirait les regards, sa beauté aussi.  Nous avons parlé, grignoté, mangé là en attendant que la pluie ne s'arrête jamais. Etre là avec elle, toujours, ma main sur la sienne, ou peut-être l'inverse. Un temps sans limite, nous avons tant échangé, j'étais dans le trouble où le temps devient flou, les dimensions avec. Je ne voyais plus que son chemisier plumetis, son manteau sur le dos du siège à côté, ses mains fines, ses lèvres rouges.

 

Il faisait nuit, elle s'est levé, reprenant son sac à main. Nous étions sur le trottoir humide, le silence extérieur annonçait la présence de la lune, le sommeil des voitures et de leurs conducteurs, les volets clos. Mais il n'y avait qu'elle. Nos deux mains, un lien, je ne voulais plus la perdre. Au moins avoir un numéro, un email pour la joindre, la revoir, ne jamais la quitter.

 

Derrière ce mur, sans savoir, je l'ai embrassé. Serrée fort dans mes bras, jamais lâchée, plus jamais.

 

 

Nylonement

 

Amour
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16 mars 2015 1 16 /03 /mars /2015 06:29
Comme les autres

Lundi, lundi de mars, lundi d'hiver encore. Le ciel est entre gris et blanc au-dessus de mon velux, dans mon studio un peu froid. Lui est déjà parti, en mission pour la semaine, moi j'ai démissionné la semaine dernière. Fin d'une relation triste avec des collègues stressées, pâles et sans sourire, fin de cette relation d'objet à vendre. Je suis épuisée par ce manque d'humanité, et là encore ce matin, sans rien, après tant de larmes, tant de bras serrés autour de moi,  je peine à trouver un sens à mes prochaines semaines.

 

Je déprimais, mais j'aurai pu glisser plus loin, pour le seul bonheur de gens qui me relançaient avec une éternelle remarque sur l'effort, sur le monde est difficile, mais toujours en oubliant que je n'étais pas un paquet de viandes sou vide, qu'ils ne disposaient pas de moi comme d'un produit. Sans moi ils ne sont rien, sans eux, je ne suis pas grand chose, je le sais. Mannequin, un boulot usant, frustrant, pesant fait d'attente et de longueurs, puis de courses, d'ordres, de froid et de chaud, de folies en tous genres.

 

Entre le styliste, souvent créateur raté, se lance dans un délire d'envies, de cri, d'hystérie hormonale, de besoins et d'envies qui contredisent les premières, et si je suis le mannequin, je ne suis pas de chiffon, ni une poupée mais bien humaine. Les assistantes terrorisées et souhaitant en même l'éviction pour la moindre faute de la première, je jongle entre leurs coups fourrés pour ne pas attraper froid en posant dans un studio trop grand, avec des décors délirants ou sur des plages à l'autre bout du monde, sans intérêt, sauf le wifi à l'hôtel, enfin le soir. Non, je n'accroche pas avec ce style, cette mode, cette volonté aussi de déstructurer tout, de chercher un autre sens, souvent aucun sens à tout, à donner un contre-sens au vingtième degré en posant avec des talons hauts de quinze centimètres, valant mille euros, mais plongés soit dans du sable et de l'eau de mer, avec une fourrure, soyons con jusque boutiste, ou les mêmes escarpins dans un souterrain glauque, puant, un atmosphère de poubelle, des flaques d'huile de vidange.

 

 

Comme les autres
Comme les autres

Et puis finalement je suis payé pour sourire, faire la belle, faire la belle modèle, la plus belle avec le plus grand sourire, j'ai tant entendu les superlatifs, et finalement maintenant pour ne pas détourner les futures clientes du produit que je porte, je dois faire la gueule. Rien, un regard vide, une moue, un visage maquillée mais inerte de la moindre émotion. C'est tendance, et un petit groupe s'autocongratule sur les modes, les couleurs et les imprimés qui feraient mourir un kaméléon, même adepte des clowns. Je les regarde effectivement avec une lassitude profonde, et donc je leur dis ce que je pensais d'eux, de leurs minauderies, de leurs manque profond de talent, de leur exigence sans rapport entre les personnes présentes, la communication sans autres  valorisations, juste des remarques, des pensées  négatives, ce reél manque d'envie finalement. Créatif, j'ai expliqué ce qui leur manquait aussi, ce recul sur eux-mêmes, ce besoin de vivre sous une pression non constructive, cette mélasse qui était leurs pensées, et puis j'ai ri.

 

Totalement, même en allant chercher mon chèque, donner ma démission, en claquant les portes, en donnant ma vérité d'humaine à mon agent, en la coupant dans une de ses nième discussions masturbatoires sur le poid de l'une ou l'autre, celles qui attendaient dans le couloir. Je me suis lâchée, peut-être flinguée dans le métier, mais mon corps est autre chose.

 

Deux photographes ont vite appris la nouvelle, les rumeurs, le coup de vent pris en pleine face par certains, et ils m'ont booké aussitôt, pour mon corps libre, ma fougue, mon impertinence et mon sourire.

 

Une semaine commence, une nouvelle semaine.

 

Je suis mannequin, je suis libre, pas totalement, mon corps est fatigué, mais le soleil pousse les nuages, l'envie est là, avec ce futur printemps, les couleurs. Moi.

 

 

 

Nylonement

 

Comme les autres
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11 mars 2015 3 11 /03 /mars /2015 06:12
Lueur de printemps

La lumière était là, bien présente, comme assise à côté de moi, sur les chaises vides de cette salle d'attente. Etrange lieu d'ailleurs, habituellement confiné entre deux séries de portes, avec des revues cornées et dont les pages de mode dataient largement, des fausses plantes et d'improbables tableaux modernes ne donnant aucun sens à notre regard, aucun retour dans nos pensées, celui-ci était différent.

 

Lumineux, car en lieu et place du mur, une immense baie vitrée donnant en hauteur sur le boulevard adjacent, sans le bruit des véhicules, juste le passage des oiseaux, de gros pigeons de ville, une haie de bambous et de fleurs blanches à mi-hauteur sur le court balcon, et aucun rideau. Le soleil attendait lui aussi sa consultation. Chaudement posé sur les chaises vertes et jaunes de la salle, sur un parquet en bouleau clair, deux tables basses également du même bois, modernes mais présentes, pas une vision jetable.

 

Etonnant lieu, étonnant contact sans humain, une porte automatique, un code fourni par sms ou email, une série de chiffres et me voilà assise devant une revue d'art, de cuisine, de cinéma, de mode. Quatre magazines seulement, soft, peu courant, plutôt branché, et datant du mois en cours. Un test peut-être, pas de caméra, des plantes dans le coin, des pots de couleurs vives de différentes hauteurs, j'attends. J'observe, je me regarde aussi dans ce long miroir en horizontal sur le mur, il coupe les jambes, mais donne le volume de soi, de notre buste, de notre tête, de nos doutes, de nos douleurs. Déforme-t-il ?

 

 

 

Lueur de printemps
Lueur de printemps

 

Un bruit, sur le mur derrière moi, un écran que je n'avais pas vu, deux écrans, trois écrans verticaux, surprenant, une musique sobre, un brin jazzy, des touches délicates d'un piano swing. Et sur les paes numériques défilent des corps, des femmes, des silhouettes, des variations nombreuses. Pas uniquement des midinettes de quinze ans vantant des crèmes anti-âge alors qu'elles n'en sont qu'aux besoins anti-acnée. Pas de perfection, des femmes, des photos élégantes, de rue, de mode en mouvement, pas de vidéo, mais un spectacle vivant, je me lève, je me pose sur les chaises en face.

 

Grandes, petites, maigres, trop maigres, malades pour être si fines, rondes, très rondes, grosses voire obèses, jeunes, moins jeunes, quadra, quinqua, senior, silver, tous les âges passent et se croisent, adultes, femmes classiques, femmes glamour, femmes en jean. Mais toutes ont le sourire, un point commun. Un sourire avec un téléphone, un message heureux, un sourire de mode, un sourire pris par hasard, une moue des lèvres pour dire les sentiments, elles sont aussi sources de lumière.

 

Différentes, en toutes saisons, leurs modes le démontrent, elles bougent, elles vivent, elles souffrent peut-être mais elles croient en une image positive de la vie. D'ailleurs des images me ressemblent aussi, ce foulard sur la tête, cette couleur fade de moi-même il y a quelques mois, je me rappelle. Oui au milieu de cette foule, de cette belle énergie, il y a des femmes malades, atteintes comme moi du cancer, victimes mais aussi vainqueurs sur la maladie. J'en ai souffert, avant sans savoir, à l'annonce très fortement dans mon corps et ma tête, pendant le traitement, seule, mais aussi supportée par mon mari aimant, mes amies, après encore. Maintenant. Aujourd'hui je viens voir cette femme, sur recommandation, elle est kiné, elle masse les chairs meurtries par l'ablation, elle redonne du tonus et de la souplesse pour vivre les mouvements du bras, de l'épaule plus facilement. J'ai besoin d'elle, de ce rayon de lumière car le chemin sera long encore pour oublier, pour revivre sereinement

 

 

 

Nylonement

 

Lueur de printemps
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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 06:19
Etre ou ne plus être

Marcher dans la rue, et soudainement être absorbée par la texture du mur, devenir transparente, invisible pour toute cette foule autour de moi, pour ce monde entier qui ne me voit plus.

 

Stopper, voir ces mouvements continus, cet arrêt sur image juste pour moi, autour de moi, sur moi, à travers moi. Je ne suis plus là. Je croyais exister et depuis une heure, je ne suis plus là. Les souvenirs sont bien là, un passé bien actif, dans ma mémoire, dans ma vie courante, du moins jusqu'à hier, j'étais. La jeune femme que je pensais être, consulte son téléphone, ce fil à la patte, ce lien impossible parfois dans ses périodes de silence, ce lien si tenu quand les gens se suivent, se parlent, partagent leurs réunions de travail, appellent pour préciser les éternels retards des transports. L'heure, les minutes et le secondes, le temps tourne toujours, rien de figé. Juste moi, mon enveloppe corporelle devenue diffuse, trouble, inexistante.

 

Un répertoire, deux doigts sur l'écran, des images, des groupes, des sujets, mes copines, ma famille, mon ex, oui bof, de la déco, ma passion pour l'équitation, les chevaux donc, et mes selfies. Truc débile par excellence, sans vocation artistique aucune, souvent souvenirs de soirées entre potes, de sorties en boîte, de vacances improvisées, de tenues plus ou moins réussies. Je glisse mon doigt, je suis bien là, face à un miroir, dans des toilettes, dans un restaurant, devant des vitrines, à un concert, dans une chambre, un soir de fête, le mariage de ma soeur. Je suis là dans cette machine, juste là.

 

Etre ou ne plus être
Etre ou ne plus être
Etre ou ne plus être

 

Et pourtant cette palissade, ces travaux, ce mur défait, le trottoir, la rue, personne ne me voit. Ma coiffure semblait parfaite ce matin, je me revois dans la salle de bain, douche, séchage, serviette chaude, maquillage, eye-liner, un peu de rose mais pas trop sur ma peau claire, un rouge à lèvres clair, un rose tendre, pas trop voyant. Un coup d'oeil sur mes ongles, nickel depuis hier soir. Mes fiches, mon dossier, mon petit déjeuner en lingeries pour ne pas faire de tâches sur ma robe. Un collants opaque, une tunique longue pull gris, un ceinture, un trench dessus, mon sac pas trop grand pour éviter mon côté bazar ambulant, pas trop petit car je ne suis pas en petite robe noire et sortie restaurant.

 

Tout était là, je suis arrivée à l'heure, j'ai attendu. Et puis deux entretiens, et ce vide en sortant, cette chaleur de printempes ressentie à neuf heures, disparue à onze heures, deux heures qui ont aspirées ma vie. Toutes mes sensations aussi.

 

Rien, mon profil, pas mon corps, juste des mots sur un cv, vite relu, dix candidates dans la salle, toutes alignées comme des poupées, toutes la tête droite, le regard fuyant la concurrence, personne ne parlait. Rien de ce moi de papier et de mots, de moi présente, ne valait de choisir mon avenir, et donc mon présent. Ce nième rendez-vous stérile où je me donne, je me vends, je me marchande, je suis ressortie avec rien. Même plus l'envie d'être moi.

 

Et puis les autres, eux, ils oublients qui je suis, ils sont occupés par leurs vies, ils se déplacent de A vers B. Peut-être ont-ils l'idée que le boulot tombe tout seul, ou mieux encore que les sans-emplois pour ne pas dire honteusement les chômeurs, se moquent de travailler. Le rapport est un peu différent, franchement moins engageant. Des dizaines d'appels, des emails par centaines, des versions par dizaines, des conseils si nombreux que je pourrai écrire un livre sur le faire, le défaire, le refaire et son contraire. Je suis vidée, désesperée n'est pas le mot, car je ne vois plus mes pieds, pourtant j'avais mis des bottines. Je suis aspirée par le néant de ne plus être réellement un humain, ou peut-être de seconde zone. Un mimétisme troublant avec le non-être d'une vie intérieure et d'un corps extérieur.

 

Invisible et consommée, bientôt digerée par la société.

 

 

Nylonement 

Etre ou ne plus être
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NYLON-VOLUPTE ??

Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

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Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

Vous avez des stocks de pochettes vintage, des photos associées, contactez-moi pour compléter le musée.

 

 

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ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

Bas-Nylon-mais-alors !

Bas Nylon, quel talon ?

Je-suis-alle-au-paradis des Bas Nylon

 

Site web uniquement accessible pour les membres.

 

Coups de Coeur

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Mes coups de coeur, ceux où je passe régulièrement sur leurs blogs, pour leurs contenus, leurs photos, leurs articles, leurs humeurs, leurs amours, leurs critiques. Inspiration passgère, amitié ou même coup de foudre, souvent un univers de mots, de douceurs et de libertés ...

martiennes.wordpress.com  justement féministes

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bellesetbiendansvotrepeau conseils beauté

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misspandora.fr super-fée de mode

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modeuse.com j'aime depuis le début

garancedore.fr oui, encore elle

...

Et si vous n'êtes pas ici, c'est pas un désamour, plutôt un oubli, 

et la liste serait peu-être un peu longue (environ 200 sites de références)

mais je vous visite régulièrement, bises à toutes !