6 mars 2015 5 06 /03 /mars /2015 06:39
Lumière ou ombres

Etrange voyage dans le réel comme dans le figuré, je suis ce soir dans cet hôtel merveilleux, au sud du Maroc, l'équipe de shooting fête dans la bonne humeur, le soleil qui nous manque tant actuellement en France, la fin de nombreuses heures d'essyages, de poses, de stylisme, de sable un peu partout.

 

Et les esprits se lâchent un peu, je suis nouvelle dans le métier, pas comme les autres, plus grande, pas si fine, mais surtout plus âgée. J'ai fait mes études, finies même mon mastère pour finalement enfin profiter de la nième proposition de faire mannequin. J'avais posé un peu pour moi, des copines, des photographes devenus des amis, mon petit ami même, mon fiancé. Mais cela m'avait permis de m'exprimer, de rentrer dans le jeu des envies de l'autre, de sa mise en scène, me libérant d'une timidité et paradoxalement me permettant d'accepter mon corps. Oui trop grande, trop noire dans une famille métisse, trop jeune pour être si belle. Je complexais de tout, de ces petits riens qui deviennent des obsessions de jeune femme.

 

Ce soir, je me retrouve face à des questions, d'où je viens, face à l'Afrique, face à des raccourcis, car tous sont persuadés que je connais le continent. Eh bien non, je suis allé plus souvent au ski, dans les Alpes, mais jamais dans le moindre pays africains. Un blanc, du moins un silence dans une équipe mêlant mixité de physiques et de cultures. Asie, europe de l'est, magreb, pays variés entre le photographe allemand, les deux assistants slaves, les maquilleuses et coiffeuses parlant une langue inconnue, les stylistes gays et anglais, les assistantes et scriptes vaguement suédoises ou néerlandaises, du personnel divers, un dessinateur algérien, un mélane où je ne suis qu'une goutte d'eau pour diluer le tout.

 

 

Lumière ou ombres
Lumière ou ombres

 

Oui c'est étrange car mes origines sont mixées aussi, des grands-parents des îles, un père certes noir mais né à Lille, une mère métisse mais bretonne, une belle-mère super mais terriblement blanche, des soeurs et frères de toutes les couleurs. Et notre culture, notre milieu social , des parents cadres hospitaliers, plus favorisés, je suis loin des clichés, j'ai toujours vécu avec une culture melting-pot. Sans y réfléchir, certes en avalant les remarques racistes parfois mais les enfants sont terribles entre eux, la couleur, les apppareils dentaires, la coupe de cheveux, l'acné, les mauvaises baskets, tout est sujet à vacherie, rien de plus pour moi. Et  le côté culture et traditions, la bouffe venait de tous les pays du monde, celle du centre commercial d'à côté, des restaurants, des fast-foods. Pas de religion, sauf celle de la gourmandise. De la lecture aussi, des études aussi.

 

Je grandis, pour découvrir, avant-hier les parfums de l'Afrique, du tagine, du souk, du sable chaud. Un univers parallèle au mien, quel sourire intérieur en regardant leurs yeux tous ronds ce soir. Surtout que le rédacteur, le chef de notre troupe, un blanc, même un peu trop âle à force d'écrire dans son bureau sans fenêtre et lumière naturelle, lui, en rigolant, il a précisé ses origines. Ici Casablanca, son enfance, son Afrique, ses potes, sa nounou, sa vie, son exode, sa nouvelle vie, ses souvenirs des parfums, sa nostalgie. En l'écoutant j'ai eu une larme, car nos coeurs se sont croisés, nos cultures, nos valeurs, nos vies, nos âges, tout cela ne veut rien dire. C'est une part de nous, invisible, profondément cachée parfois, une caricature extérieure aussi quand le regard des autres juent sur l'apparence.

 

Nous avons ri de nos racines mêlées à tous, pour nous définir tous comme des humains, un peu fous, un peu saôuls de fatigue et de vins, enivrés de nos histoires différentes mais venant des mêmes gènes.

 

Nylonement

Lumière ou ombres
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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 06:19
Etre ou ne plus être

Marcher dans la rue, et soudainement être absorbée par la texture du mur, devenir transparente, invisible pour toute cette foule autour de moi, pour ce monde entier qui ne me voit plus.

 

Stopper, voir ces mouvements continus, cet arrêt sur image juste pour moi, autour de moi, sur moi, à travers moi. Je ne suis plus là. Je croyais exister et depuis une heure, je ne suis plus là. Les souvenirs sont bien là, un passé bien actif, dans ma mémoire, dans ma vie courante, du moins jusqu'à hier, j'étais. La jeune femme que je pensais être, consulte son téléphone, ce fil à la patte, ce lien impossible parfois dans ses périodes de silence, ce lien si tenu quand les gens se suivent, se parlent, partagent leurs réunions de travail, appellent pour préciser les éternels retards des transports. L'heure, les minutes et le secondes, le temps tourne toujours, rien de figé. Juste moi, mon enveloppe corporelle devenue diffuse, trouble, inexistante.

 

Un répertoire, deux doigts sur l'écran, des images, des groupes, des sujets, mes copines, ma famille, mon ex, oui bof, de la déco, ma passion pour l'équitation, les chevaux donc, et mes selfies. Truc débile par excellence, sans vocation artistique aucune, souvent souvenirs de soirées entre potes, de sorties en boîte, de vacances improvisées, de tenues plus ou moins réussies. Je glisse mon doigt, je suis bien là, face à un miroir, dans des toilettes, dans un restaurant, devant des vitrines, à un concert, dans une chambre, un soir de fête, le mariage de ma soeur. Je suis là dans cette machine, juste là.

 

Etre ou ne plus être
Etre ou ne plus être
Etre ou ne plus être

 

Et pourtant cette palissade, ces travaux, ce mur défait, le trottoir, la rue, personne ne me voit. Ma coiffure semblait parfaite ce matin, je me revois dans la salle de bain, douche, séchage, serviette chaude, maquillage, eye-liner, un peu de rose mais pas trop sur ma peau claire, un rouge à lèvres clair, un rose tendre, pas trop voyant. Un coup d'oeil sur mes ongles, nickel depuis hier soir. Mes fiches, mon dossier, mon petit déjeuner en lingeries pour ne pas faire de tâches sur ma robe. Un collants opaque, une tunique longue pull gris, un ceinture, un trench dessus, mon sac pas trop grand pour éviter mon côté bazar ambulant, pas trop petit car je ne suis pas en petite robe noire et sortie restaurant.

 

Tout était là, je suis arrivée à l'heure, j'ai attendu. Et puis deux entretiens, et ce vide en sortant, cette chaleur de printempes ressentie à neuf heures, disparue à onze heures, deux heures qui ont aspirées ma vie. Toutes mes sensations aussi.

 

Rien, mon profil, pas mon corps, juste des mots sur un cv, vite relu, dix candidates dans la salle, toutes alignées comme des poupées, toutes la tête droite, le regard fuyant la concurrence, personne ne parlait. Rien de ce moi de papier et de mots, de moi présente, ne valait de choisir mon avenir, et donc mon présent. Ce nième rendez-vous stérile où je me donne, je me vends, je me marchande, je suis ressortie avec rien. Même plus l'envie d'être moi.

 

Et puis les autres, eux, ils oublients qui je suis, ils sont occupés par leurs vies, ils se déplacent de A vers B. Peut-être ont-ils l'idée que le boulot tombe tout seul, ou mieux encore que les sans-emplois pour ne pas dire honteusement les chômeurs, se moquent de travailler. Le rapport est un peu différent, franchement moins engageant. Des dizaines d'appels, des emails par centaines, des versions par dizaines, des conseils si nombreux que je pourrai écrire un livre sur le faire, le défaire, le refaire et son contraire. Je suis vidée, désesperée n'est pas le mot, car je ne vois plus mes pieds, pourtant j'avais mis des bottines. Je suis aspirée par le néant de ne plus être réellement un humain, ou peut-être de seconde zone. Un mimétisme troublant avec le non-être d'une vie intérieure et d'un corps extérieur.

 

Invisible et consommée, bientôt digerée par la société.

 

 

Nylonement 

Etre ou ne plus être
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3 mars 2015 2 03 /03 /mars /2015 03:07
Vous, de près ou de loin ?

Vous, si lointaines dans votre course vers votre bus, bloquée sur un quai de gare, gesticulant pour vous maquiller dans les embouteillages, ou simplement emmitouflée dans un manteau épais malré l'appel du mois de mars, mais aussi le rappel du froid de l'hiver. Je vous vois, je passerai volontiers de toit en toit, de bord de fenêtre en balcon encore un peu terne sans fleurs, tel un chat pour vous contempler, pour zoomer de mes yeux sur vos détails, sur votre visage, sur vos expressions, sur cette tristesse ou ce sourire imprégné en vous.

 

Vous, je vous observe derrière ma fenêtre, calmement, mes mains sur la grande tasse chaude du thé, encore ankilosé par mes courtes nuits de travail, de doutes, d'écriture. Je vois en vous une femme, jeune ou moins jeune, une énergie, une douceur en tenant la main de vos enfants pour traverser cette route. Là vous attendez, qui, je ne sais, mais vous regardez encore votre téléphone, un message ou un appel, un rendez-vous peut-être. Au chaud, je vois vos cheveux blonds volés dans le vent, votre écharpe s'envole un peu, elle aussi. Vous tournez la tête, cherchant une nouveauté, une publicité ou cette personne. Un regard au loin, une autre forme, une autre femme, belle dans sa simplicité, dans son jean moulant, son pull gris chiné, ses bottes hautes, sa fraile silhouette dans le froid, jeune et forte, élancée et sure de sa beauté naturelle, elle avance vers vous. Deux femmes, deux amies, vos bras, ses bras, des bises, non, une longue embrassade, oui, sur la bouche, un amour, l'attente d'un amour. Je souris en avalant à petites gorgées la chaleur, un autre baîser.

 

 

Vous, de près ou de loin ?
Vous, de près ou de loin ?

 

Mon regard tourne, deux vieilles dames se tiennent la main, plus par utilité ou amitié, un autre lien, une canne mutualisée, l'une supportant l'autre. Elles parlent, retiennent leurs sacs, choisissent leurs pas, progressent vers une rue commerçante. Le ciel reste gris, une créature, de loin aperçue, très loin, peu attrayante, une manteau sans forme, pire une teinte terne, ah non, une imitation léopard. Point de réflexe primaire sur les fourrures car la plupart sont synthétiques mais leurs coupes et leurs élégances surannées ou trop vulgaires. Jamais convaincu par leurs usages en mode, je me penche, je croque du chocolat noir, un cadeau de ma compagne, un lien même en son absence, le parfum, le goût, le partage, elle n'est pas loin. Une pensée vers elle.

 

Je suis cette femme, jeune, une amie la photraphie, une blogueuse peut-être, elle pose, elle joue de sa tenue. Je reste sceptique, elle rejette le manteau sur son épaule, dévoilant des gambettes opaques, des chaussures plus justes avec sa morphologie. Surprise !

 

Comme le chat, je me love sur un tabouret, pliant les jambes sous mes fesses, prenant place pour suivre le scénario des clichés, elle utilise toute la rue. Même les panneaux moches, les poubelles, les travaux en cours, quand apprendront-elles à appréhender le paysage, sa globalité dans la mode, dans un parcours, avec ou sans profondeur de champ. Espérons que ce sera flou, elles rigolent, s'arrêtent sous mes yeux, tournent. Ah, autre surprise, un pull avec de  gros boutons dans le dos, un détail mode adorable, j'aime finalement. Mon premier jugement sur le manteau s'évapore, gardant ce pull moderne, chaud et les boutons arrière. 

 

La vie est belle, faite de détails, de votre mode.

 

Je repars derrière mes claviers, pour dévoiler d'autres idées, partager. Vivre !

 

 

Nylonement

 

Vous, de près ou de loin ?
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2 mars 2015 1 02 /03 /mars /2015 06:19
Etrange lundi

Rien de bien étrange entre la tasse de thé chaud, le parfum léger de bergamote, d'agrumes de mon jus de pamplemousse, une tartine beurrée, quelques noisettes fraîches, des morceaux d'ananas et un yaourt aux myrtilles. Un petit déjeuner classique, gourmet et gourmand pour un début de semaine dynamique sans ciel gris, avec un ou deux nuaes pluvieux, c'est la saison, le manteau attend, l'écharpe aussi contre le vent froid.

 

Pourtant en ouvrant la porte donnant sur la rue, laissant alors passer le bruit extérieur dans ma bulle personnelle si calme jusque là, j'ai senti un parfum différent. Pas les fleurs, pas les feuilles vertes, pas de travaux non plus, mais dès la première vitrine, celle du décorateur d'intérieur, voisin mitoyen, j'ai cru voir une mannequin allongé, sous un parapluie à la Mary Poppins, avec des fleurs, des couleurs encore plus multicolores que dans la nature, une tranche de vie impossible, une pose incongrue, une pièce du puzzle inadéquate, mais je suis passé si vite.

 

Alors j'ai continué, oubliant le métro, préférant marcher pour respirer un air relatif pour sa pureté, mais boueant ainsi mon corps, lui donnant l'exercice qui n'aura ensuite que peu entre mon écran, mes réunions par skype, mon bureau et quelques pas vers un tableau blanc pour des notes en partage. Rien de bien vivant, juste le cerveau en marche, et là soudain au milieu du carrefour, une gymnaste, un plein festival de fitness.

 

Un point d'interrogation en moi, mes yeux, la circulation dense, une autre pièce du puzzle, mon esprit peut-être. Un camion passe, un bus, un second, elle n'est plus là, disparue, écrasée peut-être ? Je doute, mais personne ne semble choquer, je regarde le ciel, je pose mes yeux aussi devant moi. Le monde, la foule, le bruit, la vie en ville !

 

Etrange lundi
Etrange lundi

 

Je rêve parfois, mon métier le demande pour créer, pour agencer au mieux les besoins, les envies des autres. Tout est source d'inspiration, de détournement mineur ou majeur vers une autre utilisation, vers un autre dessin, vers un autre projet. Le monde bouge, je le consomme avec un certain ralenti, mais avec paradoxalement un décupage millimétré des actes, des mouvements, des volumes, des êtres qui passent, se croisents sans se voir. J'annote en moi, des détails pour en faire un tout, et elle apparaît, seule, au milieu de ce carrefour, avec ses fleurs d'été, soleils sous ciel gris, dans une robe légère. Des sandales, pas de manteau, incompatible avec le tableau météo du jour, avec la chaleur de mon écharpe, de mes gants. Elle traverse, se balade avec son cabas, marque un arrêt, se tourne vers moi, puis repart plus loi, dans une rue, vers un parc voisin. 

 

Mon chemin semble être le même que les autres jours, sauf que le week-end fût dur, fatiguant, épuisant et pourtant je n'ai rien fait. Téléphone coupé, internet en veille, pas de télé, juste quelques livres, et la mort de cet ami, parti trop tôt, emportée par cette putain de maladie toujours trop présente, toujours si vicieuse pour détruire à petit feu un ami ou un proche. J'ai pleuré, j'ai préparé un mot pour lui dire mon amour, enfin partager des émotions positives avec sa femme, ses enfants, j'en suis le parrain. Soudainement j'ai vu la responsabilité de cet engagement fictif lors d'un repas festif, passé, lui si vivant.

 

Je suis un peu perdu finalement ce matin, ce lundi comme un autre. La porte de notre agence s'ouvre, dans le showroom, mon associée, belle comme toujours, en robe bleue. Toujours pleine d'énergie, toujours heureuse même avec du travail qui déborde, des prjets en retard, elle rayonne. J'aspire l'infini de sa robe, comme un remède pour oublier ce puzzle où dorénavant il manquera une pièce.

 

 

Nylonement

 

Etrange lundi
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NYLON-VOLUPTE ??

Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

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Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

Vous avez des stocks de pochettes vintage, des photos associées, contactez-moi pour compléter le musée.

 

 

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Les photos sont ici uniquement à titre non marchand comme l'ensemble de ce blog non-commercial, pour un référencement, en l'honneur des marques citées, pour un usage d'hommage à la Féminité. Si toutefois, j'oublie une référence (encore faudrait-il qu'elle apparaisse en récupérant cette image sur le net, sur Pinterest et ailleurs) ou je suscite un souci de droit à l'image ou aux copyrights, contactez-moi par email gentlemanw@nylon-volupte.com.

L'image sera retirée dès que vous nous préciserez laquelle. Merci.

 

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Cancer, trop proche de nous.

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Cette maladie frappe le col de l'utérus, les seins, la thyroïde, la prostate, le plus couramment et ailleurs aussi !

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ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

Bas-Nylon-mais-alors !

Bas Nylon, quel talon ?

Je-suis-alle-au-paradis des Bas Nylon

 

Site web uniquement accessible pour les membres.

 

Coups de Coeur

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Mes coups de coeur, ceux où je passe régulièrement sur leurs blogs, pour leurs contenus, leurs photos, leurs articles, leurs humeurs, leurs amours, leurs critiques. Inspiration passgère, amitié ou même coup de foudre, souvent un univers de mots, de douceurs et de libertés ...

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et la liste serait peu-être un peu longue (environ 200 sites de références)

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