13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 06:30
GLAMOUR toujours !

Dois-je rappeler que je ne suis qu'un homme ?

 

Car si la magie des claviers, des ombres portées par le monde virtuel cachent mon visage, sans importance, je me glisse plus facilement dans mon costume. Tempes grisonnantes, cheveux courts, doucement parfumé, je suis inconnu, un homme parmi les autres mais peut-être pas comme les autres. Tout comme vous, je n'aime pas être assimilié à un groupe sur une parole, sur un jugement trop hâtif,  au détour d'une conversation, d'un papotage entre femmes, rajouté brusquement dans cette masse masculine et machiste, virile et caricaturée par des décennies de mauvaises habitudes de ces mâles. Non, désolé, je ne suis pas tout à fait comme eux, j'ai comme eux certaines singularités, et parfois même, au regard des autres, des femmes, il arrive que l'on me donne une sensibilité particulière, une part de féminité.

 

OUI, je l'assume, j'en ris quand parfois les mots dépassent les pensées, quand les situations deviennent cocasses, quand cela trouble mes interlocutrices, et surtout quand cela e*****e certains balourds de maris. Heureusement aussi cela permet de gérer naturellement un petit espace ouvert, ce blog, avec mon regard vers l'extérieur, vers vous, les femmes.

 

GLAMOUR toujours !

Certes je suis un esthète un brin sélectif, parfois un peu persiffleur et je griffe avec humour des silhouettes qui me paressent plutôt improbables que belles. Et pourtant je ne cherche pas la perfection, car comme vous, je vis dans un monde normal. Je fais les courses, je m'occupe de mes enfants, je croise des gens, dans un univers quotidien entre Paris et Province. Tous les âges, des adolescentes dont mes filles, des mamans avec bébé, des trentenaires célibataires, des quadras divorcées, des quinquas heureuses, des mamies souriantes, des seniors ravissantes parfois même séductrices malgré qu'elles soient de l'âge avancée de mes grands-mères. 

 

Je vois la vie défiler, comme vous, mais je ne garde que le glamour et certains codes vestimentaires, mais aussi des allures qui donnent des mouvements, des sourires et des larmes. Mon regard est celui d'un contemplatif absorbé non par le prochain besoin d'écrire (sincèrement je n'y pense jamais, cela vient seul), mais par cette profonde passion pour la liberté au féminin. D'expression, de vie, de travail, de mode, de rythmes, de couleurs de cheveux, de tous ces détails qui sont ancrés en vous, et des autres que vous pouvez mixer à foison. 

 

Mon dernier rayon de soleil, plutôt deux, une femme moulée dans une robe qui lui donnait des hanches de déesse, on attendait Marylin en la voyant de dos. Et quand elle s'est tournée, elle avait des cheveux gris sous la capuche de son gilet court, très trendy, un visage ridé et ensoleillé de bonheur. Son mari l'attendait sur un banc dans la galerie commerciale, apparemment toujours aussi séduit par la volupté, par l'énergie féminine de cette dame. 

 

Le second, dans le même magasin, une jeune femme, un boulot avec des horaires probablement variables, au bon vouloir d'une patronne souvent triste derrière son comptoir. Pour une fois, celle-ci devait chercher la définition du mot aimabilité dans un dictionnaire, mais elle durait, persuadée que cela commençait par un "h". Bref, cette jeune femme, avec sa tenue impeccable, et son sourire lumineux nous a aidé, conseillé, guidé pour un petit cadeau pour une copine de ma benjamine. Ce service, humain et non plus "cherchez-vous même, payez et la ramenez pas", je l'ai savouré. Vraiment, simplement. 

 

Comme j'aime les étincelles ultra-glamour qui illustrent cet article, mais je vous en reparlerai un autre jour.

 

Nylonement

 

GLAMOUR toujours !
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12 février 2015 4 12 /02 /février /2015 06:14
Respirer

Inspirer, expirer, souffler, faire une pause, reprendre son souffle, lentement, sentir son corps qui suit le mouvement intérieur de l'air. Respirer encore ! 

Une simple quête d'identité.

 

Et dans ce moment intense de la nuit, du quasi silence extérieur, ne plus être concentrée que sur mes doigts, mon écran, les mots, entre voyelles et consonnes, sans limites. Respirer le parfum de la cardamone et du réglisse mêlés au thé noir, la douce vapeur d'une tasse, non loin d'une souris immobile, un clic, elle vit, mais comme les mains travaillent plus vite, seul le texte compte, les détails viendront ensuite. La mise en forme, de quelques clics, des habitudes, un rituel même pour commencer ma première phrase, mais après, tout coule naturellement, sans limite, surtout celle du temps. La nuit absorbe mon espace, que je sois assise sur une chaise dans un coin de paradis, en plein été, au bord d'une piscine ou là-bas, dans cette vieille chambre, un coin de grenier, à la campane, chez ma grand-mère, je suis seule, libre et uniquement avec mes mots. Je vis dans mon entière dimension intérieure, au rythme de mon souffle, lent, très lent, comme un marathon.

 

Une liberté incomprise des autres parfois, quand je quitte un groupe d'amis, en pleine discussion pour me retirer plus loin, non que le bruit me dérange, mais je me cloisonne et soudainement je ne suis plus là. Respirer alors devient un acte vivant d'un corps absent, avec seul un esprit en pleine création. Mes yeux observent le jour, lisent la nuit, il y a des réactions physiques réelles, comme le fait de manger, de déguster, de boire ce fameux thé, complice à toutes heures. Bien sûr, il y a la vie, le cours quotidien rempli de missions, de rapports, de services, de boulot, d'attente de boulot. Et puis le summum, la beauté, la fraîcheur, la bonté, les sentiments et ses bras forts autour de moi, lui, cet homme qui m'aime sans relâche, discret, présent, obstiné dans ses sentiments pour sortir l'artiste qui se cachait en moi. Née dans un famille où au-delà du travail, on possède le don de dessiner, de peindre, avec un frère qui lui est devenu photographe talentueux, je ne savait pas donner vie à des formes. J'étais seule, pas vraiment, pas artiste, pas musicienne non plus, un vide apparent quand les uns et les autres s'invitaient à leurs expositions pro ou amateurs. 

 

Une absence de netteté, un trouble extérieur, une possibilité cachée en moi.

 

 

Respirer
Respirer
Respirer

 

Et puis en respirant, conquise par le bonheur, entre deux moments d'amour, au fond d'un lit, j'ai eu envie de l"écrire, sans nuances, sans sexe, simplement parler de lui. Puis de moi, les scribouillards commencent souvent par là. Puis une nouvelles, deux, trois, d'autres, des débuts sans fin, des textes sans raison, et ses yeux au-delà de ma simple robe en laine, de mes jambes enveloppées d'un collant noir sous moi, de mon cahier et de mon stylo. Il a osé, tendrement lire par dessus mon épaule, et là, il n'a plus rien lâché, pris entre le sentiment étrange de violer mes mots, en me le demandant malgré tout, en forçant mon refus, moi bloquant mais n'attendant que son avis. Pessimiste sur les pages, celles-là, j'ai entendu ses critiques plus sur le fond, à développer selon lui que sur le style, ma forme, mon style. J'ai relu le lendemain, seule puis avec lui, j'ai pris mon courage, un grand bol d'air pour croire en moi. Un long parcours de nuits blanches, d'angoisses puis cette méditation écrite, gardée ou jetée suivant les soirées.

 

Depuis il prépare mon thé, s'installe dans le fauteuil club plus loin, sans frontières avec ma bulle, lit, écrit parfois, crayonne un peu de design pour son plaisir. Souriant, son regard suit mon confort habituel, ma routine. Comme ce soir, une lampe, un coin de lumière, mon portable, mon clavier, ma tasse de thé, mes jambes repliées, ma robe douce, parfois mon étole plus chaude en plus. Quand je voyage dans mes textes, j'oublie tout, je découvre alors qu'il m'embrasse en allant se coucher, qu'il me masse le dos, sans bruit, tactilement en relation avec mon corps abandonné, moi prise par le flux de mes phrases, de mon histoire. Je suis libre, je suis heureuse qu'il m'est révélée, sans me forcer, sans le dire, sans l'écrire, juste avec quelques sentiments, toujours présents.

Ligne après lignes, page après page, je respire son parfum.

 

 

Nylonement

Respirer
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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 09:31
Sans Nuances

Je me suis levée, épuisée par des angoisses, entre le boulot précaire et les fins de mois qui commencent le neuf de celui-ci. Seule dans mon lit, les draps froissés, avec juste le bruit des ouvriers qui défoncent pour le nième fois le macadam gris devant chez moi, un rituel annuel pour ajouter une nouvelle canalisation, un nouveau câble, rien peut-être. La vie, la version ciel blanc ou ciel gris, rien de nouveau.

 

Hier j'avais un entretien, une société de luxe, une business woman reconnue sur la liste des millionnaires voire plus, j'ai été reçue par une quadra droite dans son tailleur gris, impeccable brushing de blonde, visage froid, aucune émotion, seul bémol à sa tenue frigide, une body rose en dentelle sous sa veste grise. Une excentricité pour son management, un test pré-st valentin peut-être. Un entretien sans nuances, mes diplômes, mes écoles, les cases d'un système autiste qui se sauve lui-même de son impossible ouverture vers l'initiative, vers l'expérience multiple. La pièce était fade, des murs beiges, d'un autre temps, ou sortis d'un cerveau nouvelle tendance mélancolie d'un soir d'asile psychatrique de l'ex-bloc soviétique. Rien ne me donnait envie de m'éclater dans cette société pourtant au nom brillant. Trop gris pour moi !

 

Des questions à la créativité fatiguée :

"Etes-vous prête à vous impliquer totalement, physiquement dans la relation avec notre stratégie, avec votre management ?"

"Rien n'est simple, ici nous voyons les objectifs autrement, avec une constante implication, serez-vous prête à vous soumettre à nos règles ?"

"Implication, mais aussi totale disponibilité pour le poste que vous visez ? Est-ce bien ce que vous voulez ?"

 

Sans Nuances
Sans Nuances
Sans Nuances

 

Dans mes pensées, prête à bosser, mais dans un projet dont on ne m'avait même pas encore évoqué le début, je ne doutais pas, je cherchais à comprendre le sens de ces questions formatées par un consultant névrosé. J'ai baissé les yeux, elle portait de très beaux talons fins, une folie pour travailler avec autant de hauteur. Etrange détail.

 

Une porte s'est ouverte, elle s'est redressé, soumise au diktat du manaement probablement, dans l'ombre, le gris opposé à la lumière venant des baies vitrées, elle est apparue. Quinqua, brune aux cheveux longs, ondulés et brillants, fidèle à son imae des magazines d'économie ou de stratégie, un tailleur en cuir couple, des bottes de marque. Du bout de ses ongles vernis, un bleu nuit très joli, elle a déposé des dossiers blancs, annotés d'une écriture grise. Quelques mots vers celle qui baissait quasiment les yeux, moi je l'ai observé, dans toutes ses nuances. Elle devait prendre un avion pour les USA demain matin, avec avant un dîner business dans un restaurant étoilé de la capitale. Tout était codifié. Dans un mouvement digne d'une des meilleures publicités pour coiffeurs, le marketing est quand même fort pour nous faire croire qu'elles le valent bien, nous aussi devant notre télé payée à crédit, ses cheveux ont illuminés cet atmosphère un peu gris, les chaînes de ses colliers, de ses bracelets ont scintillés, sans aucune douleur, sans aucune soumission inutile, sans contraindre mon court espace de rêve. La porte s'est refermée.

 

Devant moi, un dégradé de gris, des dossiers entre blanc et noir, foncés ou clairs, elle rangeait tout cela. Je ne pensais plus qu'à partir, me libérer de cette bulle fictive, où tout était trop beau, trop factice pour être vrai, trop riche pour être parfait, trop codifié pour être humain, trop dans une relation dominante-dominée pour être saine. Je me suis levée, elle semblait m'avoir oubliée.

 

"Si vous voulez savoir qui je suis, ce que j'ai fait, ce que j'aurai voulu faire avec votre entreprise, retrouvez-moi au happy hour chez Arlequin. C'est un bistrot coloré, au coin de Belleville, avec du jazz et des gens heureux. Je vais y passer ma nuit."

 

Voilà j'ai fait la fête, dans ma tenue habtuelle, une jupe trapèze noire, un collant imprimé de couleurs, un pull douillet, une écharpe molle de soie, perchée sur mes bottines pailletées. Il y avait les copines, les amis, un monde ouvert, des métiers divers et des passions pleines de couleurs. De l'amitié et de l'amour, du vrai !

 

 

Nylonement

 

Sans Nuances
Sans Nuances
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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 06:10
Toute la nuit

 

Je n'ai pas fait d'insomnie, les heures ont défilé, sans limite, sans s'arrêter, de la nuit jusqu'au petit matin. Un semblant de dimanche, mais c'était bien un mardi, un matin, une sonnerie de réveil, le boulot-métro-pas dodo.

 

La couette était chaude, mes yeux fatigués, mes pensées diffuses malgré ce temps éveillé, mes mille et unes réflexions. Je n'ai pas arrêté d'y penser, sans fermer vraiment l'oeil. Peut-être des minutes de sommeil, quasi éveillé, les yeux endormis, sans risque d'accident, coincée entre deux coussins, roulant sur la route de mes amours, à fond dans ce road-trip. Pas de direction réelle, juste avancer, croire en ce destin nouveau, apprendre à le comprendre.

 

Et là, malgré mon intense bonheur, oui, des sourires, seule dans le noir, pour la lune perdue derrière les volets, simplement pour moi, pour toutes les émotions, je suis incapable de savourer pleinement les dernières heures. Comme un grand looping affolant en montant, enivrant dans la sensation de force, luttant contre la gravité, criant de plaisir face à ce rush ascentionnel, dans l'attente du déclic, de l'apesanteur. 

 

Toute la nuit
Toute la nuit

 

Mais je n'ai pas décroché, je suis restée collée par la force centrifuge, figée dans mon lit, dans ma chemise de coton, ultra-douce et avec l'oreiller, son odeur dessus. Oui, j'ai dormi seule, bizarrement, je l'ai laissé repartir dans son studio, traverser Paris dans le froid. J'étais mieux ainsi, et pourtant.

 

Je revois son geste, son visage, son corps et soudain ses mots. Lui simple, en jean, dans son sweat préféré, les cheveux aussi courts que sa barbe de trois jours était longue, lui dans son attitude nonchalante, soudainement près de moi, à genou devant le canapé. Là, en quelques secondes, dans un décor de notre vie commune, malgré nos deux lieux de vie, là, il m'a demandé en mariage. Moi, devenir sa femme !

 

Un long silence, un regard, des larmes de bonheur, ses mains sur les miennes, une boîte, une bague toute symbolique, des petites fleurs d'arent liées par une ficelle de lin. Naturelle, comme nous, une sobriété bien choisie, mon doigt, sa délicate attention, des bises sur mes mains, mon silence toujours. J'ai dit "oui" bien sûr car après plus de trois ans ensemble, de vie, et encore plus d'études, nous nous aimons. 

 

Alors pourquoi dormir seule, je ne sais pas, trop d'émotions en si peu de temps, pas prête peut-être. Et puis moi, jeune femme dynamique, indépendante, fière de mes idées, féminine et parfois féministe, bien dans mon époque, je ne voyais pas un jour dans mon agenda, un mariage. J'aime mon homme, mais je n'avais pas programmé cela. Une éducation, mes propres choix, mon style de vie, mon caractère, le divorce quasi global de tous mes proches, parents, parents des amis, amis, collègues, et même mes futurs beaux-parents. Oui eux aussi, je les considérais comme un bout de famille, mais un nouveau qualificatif s'ajoute. Je n'ai pas dormi pour essayer de digérer, sans savourer pourtant ce bonheur réel, en ne quittant pas du bout des doigts la bague légère. En pensant à lui, si fort.

 

Demain, enfin maintenant, là avec ce jour, je suis une femme libre mais fiancée, une future mariée, voyons si la douche, le café et tout le reste à la même saveur depuis ce changement. Une nouvelle vie ou simplement une belle surprise d'amour.

 

Nylonement

 

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NYLON-VOLUPTE ??

Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

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Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

Vous avez des stocks de pochettes vintage, des photos associées, contactez-moi pour compléter le musée.

 

 

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ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

Bas-Nylon-mais-alors !

Bas Nylon, quel talon ?

Je-suis-alle-au-paradis des Bas Nylon

 

Site web uniquement accessible pour les membres.

 

Coups de Coeur

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Mes coups de coeur, ceux où je passe régulièrement sur leurs blogs, pour leurs contenus, leurs photos, leurs articles, leurs humeurs, leurs amours, leurs critiques. Inspiration passgère, amitié ou même coup de foudre, souvent un univers de mots, de douceurs et de libertés ...

martiennes.wordpress.com  justement féministes

bebarock.com juste pour les femmes !

cameline.org prodigieuse exploration mode du temps

bellesetbiendansvotrepeau conseils beauté

leblogdebetty.com mode et sourires 

dameskarlette voyageuse en images

thebrunette.fr incroyablement élégante

lheureuseimparfaite blog féminin et impertinent

le-blog-enfin-moi.com féminité, mode et sourires

leblogdelilou féminité au quotidien

fashionandcookies  fashionista 

valimero-fashion-addict.com modeuse la + souriante du net !

mindalicious.fr géniale modeuse

lesdemoizelles mode et futilité

estelleblogmode.com  mode souriante

pinup-doodles un coup de crayon d'une génie

folievintage.fr un lieu pétillant & glamour

blog.plafonddeverre.fr réalité féministe

...

citizencouture.com la mode online

misspandora.fr super-fée de mode

leblogdebigbeauty.com ronde et alors ?

modeuse.com j'aime depuis le début

garancedore.fr oui, encore elle

...

Et si vous n'êtes pas ici, c'est pas un désamour, plutôt un oubli, 

et la liste serait peu-être un peu longue (environ 200 sites de références)

mais je vous visite régulièrement, bises à toutes !