30 juillet 2015 4 30 /07 /juillet /2015 06:35
D'antan ou d'aujourd'hui ?

Lumière d'été, ciel entre bleu et gris, la météo joue avec le soleil et les nuages. Une fraîcheur nouvelle, une pause plus légère, moins accablante en température, surtout dans la ville, une nouvelle bouffée d'air, je bois un verre en attendant mon compagnon. Nous sortons ce soir, un anniversaire, une occasion, juste le plaisir toujours souriant de se revoir, de s'aimer, comme au premier jour.

 

La café s'anime, les couples sortent, des amis se croisent, des solitaires s'ignorent dans un livre ou un journal, pendant que quelques célibataires observent les hommes ou les femmes, en quête d'une personne parfaite, d'un coup de foudre peut-être. Une vieille dame se lève, doucement se faufile vers les tables, pour trouver probablement un lieu d'aisance, non finalement elle s'arrête près de moi.

 

"Bonjour jeune dame, quel âge avez-vous ?" je reste surprise de sa politesse, de son ton direct, de son regard bleu clair entre deux rides. Plus encore de cette question curieuse pour une inconnue. 

 

"Bonjour, pourquoi cette interrogation ?"

 

"Je vous regarde depuis votre arrivée. Oui je prends mon thé ici, tous les jours, ou presque, depuis des années. La mode défile devant moi, mes souvenirs avec. Surtout avec une aussi belle robe. Pas de votre époque, il me semble !" avec un sourire malicieux. " Je peux m'asseoir, mes yeux sont plus vifs que mes os."

 

"Prenez place." sourire en retour "Je suis une une nouvelle trentenaire depuis peu,mais j'aime les belles robes surtout pour sortir. Comme ce soir. Alors j'ai des modèles récents, des petites robes noires, intemporelles, fluides ou strictes, moulantes ou pleines de froufrous. J'ai hérité de cette folie vestimentaire dans ma famille, de mère en fille, de grand-mère en petite-fille aussi. Cette robe a été refaite avec des coupons et un peu de couture récente, mais aussi des mousselines d'antan. Mais je me sens si bien dedans, elle n'a pas d'âge."

 

"Vous rayonnez de féminité, un soupçon des années 40, 50 même, vous êtes la plus belle de ma journée, voire de la semaine et même de ce mois de juillet, si chaud. J'ai tant vu de touristes, de femmes en short, de sandales plates, des claquettes moches, des tee-shirts informes, des tenues de plage dans la ville. Même pour un café chic, j'avais l'impression d'être dans un fast-food. La mode se perd. Les plus jolies ici sont les avocates du cabinet voisin, des amies avec lesquelles je partage mon thé parfois. Toujours en tailleur, souvent avec de belles chaussures. L'une d'elle s'achète toujours des talons hauts à chaque affaire gagnée, et cette année, elle en change chaque semaine." rire " J'aime voir la mode vivante, pas celle des magazines, des belles et des élégantes comme vous."

 

"Merci."

 

"En vous voyant, j'ai même douté, croyant voir une page en noir et blanc, un mirage ou un effet d'un coup de soleil. Je vieillis mais j'avais bien vu, vous étiez là, immobile avec votre sac à main, cherchant un visage, puis entrant dans la salle. Je suis là rarement aussi tard, je ne croise pas forcément les femmes qui sortent le soir, mais je suis heureuse. Je tenais à vous le dire, vous avez avec cette robe, une allure naturellement raffinée. Félicitations." en se levant, elle ajouta " Heureux à notre époque, l'homme qui sera  apprécié votre tenue, votre charme complet, de ce chapeau, en passant par votre rouge à lèvres, votre robe, votre étole, vore démarche."

 

"Merci encore." les joues rouges de bonheur face à ces compliments imprévus, si joliment déposés près de moi, je restais émue.

 

"Vous avez enchanté ma journée, je vais retourner chez moi, en pensant à cette mode, à mes souvenirs, à cette nostalgie d'antan."

 

Au loin, il poussait la porte, me faisant signe.

 

 

D'antan ou d'aujourd'hui ?

 

 

Nylonement

 

 

Partager cet article
Repost0
29 juillet 2015 3 29 /07 /juillet /2015 08:20
Voyage d'été

Le soleil caresse les fleurs, une couronne, une stèle froide de granit. Elle repose là maintenant. 

 

Hasard du vide, avec une famille actuelle où certains enfants, petits-enfants vivent aux quatre coins de la France, du monde même, avec en bonus les vacances, personne où presque n'a voulu changé son programme, envoyant des excuses pour absence à la cérémonie. Notre grand-mère, arrière-grand-mère même n'a eu que quelques amies locales, quelques proches et moi derrière elle. Etrange sensation quand on connaît sa gentillesse, sa présence et ses bras ouverts, ses câlins et ses douceurs culinaires, chacun de nous a pourtant savourer ses flans onctueux, ses madeleines, ses confitures uniques, ses moments dans la cuisine ou autour d'une table. Une femme toujours prête pour les grands repas de famille, pour écouter les chagrins et les amours des enfants, des jeunes filles, des garçons. Son regard noisette perçait sans blesser les doutes et les absolus de chacun, guidait les pas suivants avec sa sagesse.

 

Aujourd'hui la maison prend l'air, je suis seule, ici chez elle, j'ai décidé de libérer les pièces des esprits coincés par le temps, les générations. Toute la maison avec ses fenêtres ouvertes, le jardin passant par la porte d'entrée pour aller vers le potager derrière, par la porte de la cuisine, des courants d'air, des souvenirs nombreux. Une grand maison blanche, posée dans un coin de nature, un lieu de repos depuis sa retraite, mais aussi une vie active, des guerres, des enfants, des mariages, des divorces, des repas et des fêtes. Nous avons tous des photos , en toutes saisons, je les ai étalées sur la table du salon, immense, remplie de toutes les générations, en couleur et noir et blanc. Miracles de voir des parents petits, des enfants inconnus, du moins, je ne peux mettre un prénom dessus, des militaires, des paysans, des fêtes locales, des mariées, des chevaux et des jardins, des couleurs seventies, des tenues de tous âges, je voyage depuis deux jours dans ma famille. Sans leur présence, sans leurs commentaires aigris pour certains, sans leurs rires non plus face à nos sourires figés d'autres décennies, je classe au mieux, je vais ranger tout cela dans un boîte à chaussures, les numériser pour tous, enfin pour ceux qui souhaiteront connaître le passé.

 

Je ne suis pas nostalgique car c'est simplement une partie de moi, plus qu'un gène, une tranche d'histoire.

 

Et là-haut, j'ai ouvert des armoires, des lieux interdits quand j'étais petite, pour éviter que nos jeux abîment les meubles, les lits, les armoires. Des endroit oubliés quand je venais moins souvent dans ma période adolescente, préférant la ville à la campagne tranquille, paradoxe d'un âge. J'ouvre les portes, j'ouvre les armoires, les commodes, tout est là, l'odeur de la lessive, des bouquets de lavande maison et un peu de renfermé. J'aère les lieux et les esprits.

 

Sur une tringle, posées, des robes, des années 40 à 70, trente ans de mode, du fait maison, avec de petits moyens, une robe de mariée (à qui appartenait-elle ?), des robes provenant de petits magasins, du village ou de la ville. Je regarde, je la vois dedans, le souvenir des photos vues hier soir, avec ce modèle, elle a tout conservé. Là une robe fifties, corolle et froufrous d'origine, blanche dessous, des pois dessus, je ne peux résister. Je me glisse dedans.

 

J'adore traverser le temps, je ferme les yeux, je les ouvre face au miroir, elle est encore là, à travers moi, nos traits communs, cette robe.

 

Nylonement

 

 

Partager cet article
Repost0
26 juillet 2015 7 26 /07 /juillet /2015 12:11
 

 

 

 

C'est l'été, il fait chaud, même très chaud l'après-midi. Canicule un mot vite lâché dans les informations, le soleil est là, bien installé au-dessus de votre terrasse, de votre jardin, de la plage ou de vos balades. Ses rayons picorent chaque centimètre de votre mode. Et vos jambes aussi.

 

 

Et là, au gré des discussions, une phrase, non deux, reviennent à mes oreilles :

"Il fait trop chaud pour porter des bas !"

"De toute façon, les femmes ne portent pas de bas, des collants fins, et actuellement rien du tout."

 

Deux affirmations, comme des éléments récurrents de la mode, une pointe de critique, des préjugés avec, les avis sont divers, je les respecte mais parfois je ne peux les partager. A chacun, chacune surtout ses convictions, ses affirmations, ses jugements définitifs malheureusement aussi, mais aussi et plus sereinement ses échanges d'idées.

 

 

 

 

 

BAS GERBE

 

 

Certes quand l'astre solaire pique de ses dards et de mille feux en bonus, les visages, les épaules et les bras, les cuisses et les mollets, le corps entier, tout cela se ressent, pèse de toute la chaleur absorbée, difficilement évacuée. Quand la température dépasse la résistance propre à chacune, variable dès vingt degrés ou dès vingt-cinq degrés, voire plus, les bas peuvent naturellement rejoindre leur pochette, leur tiroir ou leur satinbox.

 

Chacune sait ressentir le moment adéquat pour laisser ses jambes libres sous le soleil, ou juste à l'ombre. Chacune décide d'ailleurs de les laisser bronzer ou pas, pour avoir une teinte caramel léger ou plus prononcée. Une liberté de mode, souvent accompagnée de robes et de jupes, car l'été lance souvent un appel à la légèreté pour respirer plus aisément cette belle saison. Elégance nouvelle car certaines n'osent montrer leurs jambes en d'autres saisons, fidèles aux pantalons, tandis que d'autres portent uniquement des jupes de toutes longueurs, avec des deniers plus ou moins importants.

 

Pour la première affirmation, oui la météo, la température oblige parfois à oublier les bas, à libérer volontairement les jambes pour les bises des rayons de soleil. 

 

Pour la seconde, ma réponse, ma vision commune avec beaucoup d'amies, de relations et de lectrices est différente. Je reste conscient de l'omniprésence du collant, quand les températures s'y prêtent (sinon relire les lignes précédentes) depuis son invention, depuis son adoption inconsciente par plusieurs générations de femmes pour son confort, son pratique et son effet mode sur les gambettes, en complément de leurs tenues. Mais sans militer aveuglément, et sans limiter mon regard à mon entourage proche, je suis certain qu'il existe un faible pourcentage, mais un réel engouement actif pour les bas. Bas jarretières ou bas pour jarretelles, le débat méritera un ou plusieurs autres articles, ou de piocher dans mes écrits des cinq dernières années,

 

 

 

Je finirai sobrement sur cette dernière photo, qui traduit avec un sourire, un espoir fétichiste peut-être (du moins aux yeux de certains), mais plutôt une vision artistique de ma passion pour la mode, pour la lecture et l'écriture, plus encore pour les mots et les bas nylon.

 

 

 

 

 

 

Nylonement

 

 

Partager cet article
Repost0
23 juillet 2015 4 23 /07 /juillet /2015 10:50
Kate Upton

Kate Upton

Comment ais-je pu tomber amoureuse de cet homme ?

 

Certes quand il est arrivé à cette soirée, les copines, voyant mes yeux collés sur lui, m'ont expliqué qui il était. Bon parti né avec une cuillère en argent dans la bouche, de belles études dans des universités internationales, beau gosse (çà je le voyais, je ne le quittais d'ailleurs plus au milieu de cette foule, de cette terrasse privée !), une carrière dans les médias. J'avais aperçu ce type entrant dans la lumière, comme dans une publicité, là dans cette soirée d'été, invitée par hasard de copinage pour me détendre entre cocktails et musique pop-électro, je buvais avec le regard perdu dans le ciel étoilé. Lasse des récentes chaleurs d'été, je promenais mes talons hauts, ma tunique blanche et turquoise sur peau bronzée dans une fraîcheur retrouvée, je vivais la plage mais en centre-ville. Rien de spécial, je ne connaissais quasiment personne, et l'ambiance portait vers une prolifération de marques, de bling-bling assumé, de cris enthousiastes (mais faux) d'amitié, de grands déballages de bonheur avec un snobisme suspendu. Ici chacun discutait avec une voix off soit ailleurs dans d'autres pensées, soit en pleine somnolence intérieure face à ces échanges insipides. 

 

Avec mes amies, le trait d'union qui m'avait ouvert cette terrasse, j'oscillais entre cette flûte de champagne rosé et quelques fraises dedans, mes talons et mes hanches dans le rythme musical. Ponctués de son arrivée. J'ai écouté le CV, j'ai misé direct sur lui, et pourtant il semblait si loin de mes goûts. Simples d'ailleurs. Littérature, bons films, un peu de blogging, des sorties au restaurant avec des copains de lycée, d'études de premiers boulots, des gens sincères, des amitiés réelles. J'aimais mon petit studio, mon nouveau job de création dans le design, ma discrétion sauf les jours de folies vestimentaires, ces jours où la mode me faisait vivre dans le corps d'une autre. Simplicité avec un peu d'excentricité, mais aucun snobisme avoué, aucun penchant non plus pour les princes charmants, beaux, riches, avec belles bagnoles et grosses montres. Je rêvais de confort, de bonheur quotidien avec un amoureux, des tartines, du thé, un jus d'orange, un chat, un lit, un canapé, une voiture d'occase pour les vacances.

 

Et là, le lendemain, j'avais juste un drap sur moi, une baie vitrée immense donnant sur la mer, le ciel bleu. Splash. Une vague, de l'eau, un corps en mouvement, une piscine en prolongement de la terrasse en bois. Lui. Je me suis souvenu de ce voyage, de ce regard avant de tomber dans ses bras, de ses paroles, de nième cocktail avec la vue sur les toits de cette ville, puis de son cabriolet, de mes jambes nues sur le tableau de bord, de nos rires dans la nuit, sur l'autoroute, vers ce lieu. Après les souvenirs sont plus confus. Nuit, sexe probablement, amour pas vraiment, le prince charmant était fatigué, l'alcool n'aide jamais sauf dans les films.

 

Enveloppée du drap blanc, ne discernant pas ma robe, ni aucun sous-vêtement dans la grande chambre, je suis allée vers lui, dehors, près de l'eau bleue.

 

"Tu piques une tête, rien de mieux pour commencer une journée."

 

Seule ma montre sur mon bras. Nous étions déjà en début d'après-midi, nous avons nagé, refait l'amour, mangé des fruits de mer, profité de ce lieu. Mais après deux jours, j'avais l'impression d'être loin de moi, dans un luxe inadapté, sans plaisirs vrais. Une prison d'été.

 

Prison d'été
Prison d'été
Prison d'été

 

 

Nylonement

 

 

Partager cet article
Repost0

NYLON-VOLUPTE ??

Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

gentlemen-w-xs.jpg

 

 

Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

Vous avez des stocks de pochettes vintage, des photos associées, contactez-moi pour compléter le musée.

 

 

COPYRIGHTS

Les photos sont ici uniquement à titre non marchand comme l'ensemble de ce blog non-commercial, pour un référencement, en l'honneur des marques citées, pour un usage d'hommage à la Féminité. Si toutefois, j'oublie une référence (encore faudrait-il qu'elle apparaisse en récupérant cette image sur le net, sur Pinterest et ailleurs) ou je suscite un souci de droit à l'image ou aux copyrights, contactez-moi par email gentlemanw@nylon-volupte.com.

L'image sera retirée dès que vous nous préciserez laquelle. Merci.

 

Copyrights pour tous les articles de ce site. Si vous faites référence à un article, précisez le nom de ce blog avec son lien.

 

Recherche ???

Aimez + Aidez

 

Cancer, trop proche de nous.

Faites un sourire et soutenez l'autre !

Nous sommes tous acteurs de la santé de nos proches et de nos familles.

Cette maladie frappe le col de l'utérus, les seins, la thyroïde, la prostate, le plus couramment et ailleurs aussi !

Alors soutenez vos ami(e)s, vos parents, votre compagnon et votre compagne.

Image-0201

www.ligue-cancer.net

Aimez vous les uns et les autres

Image-0297

www.cancerdusein.org

 

 

Aimez-vous,

Protégez-vous !

Vivez !

ruban-rouge-sida.jpg

 

www.info-depression.fr

 

 

Articles Récents

  • Livre : "Comment ça va pas ?" de Delphine HORVILLEUR
    Oui j'assume d'être absolument fan des livres de Delphine Horvilleur , car elle écrit avec le coeur, en particulier cet ouvrage où les blessures des atrocités du 07 octobre 2023 sont jetées à nos pieds. Elle , la femme, la mère et la rabbine, prend la...
  • Livre : "ENDORPHINE" de Christophe GAVAT
    ENDORPHINE, une hormone utile pour trouver le bonheur mais aussi pour arrondir les instants difficiles de la vie, pour anesthésier l'effort voire les premières douleurs d'une action dépassant les capacités standards d'un humain. Le livre ENDORPHINE de...
  • Livre : "La Lisière" de Niko TACKIAN
    Un polar sombre dans les monts d'Arrée, l'auteur Niko TAKIAN nous emmène vers la forêt un soir sans véritable lune, avec un couple et son fils. Etrange rencontre, le véhicule s'arrête, le mari sort, le fiston aussi pour un besoin naturel, et ils reviennent...
  • Livre : "REPLAY" par Elena SENDER
    Il ne se passe pas une semaine, pas un jour sans que les médias nous partagent les avancées fulgurantes des intelligences artificielles. PARTOUT car elles sont vraiment partout, dans nos vies, nos voitures, dans les caméras, dans nos ordinateurs, dans...
  • Livre : "La lune de l'âpre neige" de Waubgeshig RICE
    Que dire de ce livre participant au PRIX DU POLAR 2024 du LIVRE DE POCHE ? Si vous voulez vaguement effleurer la problématique de notre société consumériste, qui aime tant les écrans, les nourritures en boîtes, en paquet et si possible livrées à dos d'esclaves...

ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

Bas-Nylon-mais-alors !

Bas Nylon, quel talon ?

Je-suis-alle-au-paradis des Bas Nylon

 

Site web uniquement accessible pour les membres.

 

Coups de Coeur

Logo-Menu-NylonMode.com-V3.2-xs.png
 
causette-34.jpg
 
 
 
 
 
 
Mes coups de coeur, ceux où je passe régulièrement sur leurs blogs, pour leurs contenus, leurs photos, leurs articles, leurs humeurs, leurs amours, leurs critiques. Inspiration passgère, amitié ou même coup de foudre, souvent un univers de mots, de douceurs et de libertés ...

martiennes.wordpress.com  justement féministes

bebarock.com juste pour les femmes !

cameline.org prodigieuse exploration mode du temps

bellesetbiendansvotrepeau conseils beauté

leblogdebetty.com mode et sourires 

dameskarlette voyageuse en images

thebrunette.fr incroyablement élégante

lheureuseimparfaite blog féminin et impertinent

le-blog-enfin-moi.com féminité, mode et sourires

leblogdelilou féminité au quotidien

fashionandcookies  fashionista 

valimero-fashion-addict.com modeuse la + souriante du net !

mindalicious.fr géniale modeuse

lesdemoizelles mode et futilité

estelleblogmode.com  mode souriante

pinup-doodles un coup de crayon d'une génie

folievintage.fr un lieu pétillant & glamour

blog.plafonddeverre.fr réalité féministe

...

citizencouture.com la mode online

misspandora.fr super-fée de mode

leblogdebigbeauty.com ronde et alors ?

modeuse.com j'aime depuis le début

garancedore.fr oui, encore elle

...

Et si vous n'êtes pas ici, c'est pas un désamour, plutôt un oubli, 

et la liste serait peu-être un peu longue (environ 200 sites de références)

mais je vous visite régulièrement, bises à toutes !