28 octobre 2014 2 28 /10 /octobre /2014 07:52

A l'ère des nouvelles technologies, j'avais apprécié cette invitation manuscrite, avec des lettres arrondies, des belles anglaises sur un carton épais. Une amie travaillant maintenant dans les relations avec la presse et dans la communication des marques de luxe de son groupe, avait eu la bonne idée de réunir de "vieilles copines" de notre école de commerce, celle où nous avions toutes passées nos cinq années avant de sortir avec un mastère spécialisé. Un groupe soudé alors par des cours communs, des devoirs et des beuveries ensemble, mais aussi parfois par des colocations entassées.

Serait-elle toujours aussi mince, aussi sobre dans ses vêtements, parfois on se moquait de ce minimalisme quasi Ikea de la mode. Elle rigolait en nous époustouflant avec une jupe zippée et impeccable, un top en coton apparemment sans forme qui tombait à merveille, son corps peut-être aidait à ce tout réussi. 

 

Femmes-2014-1990.jpg

 

Six années déjà, avions-nous changé ? un peu, beaucoup, pas du tout ? Ma meilleure copine était parti en Allemagne pour un groupe de chimie, pour suivre ce beau blond devenu son mari, elle était enceinte de deux bébés. Sa grossesse l'empêchait de venir jusqu'à nous. D'autres contacts dilués par le temps et par les affinités naturellement dégradées par la distance, me donnaient parfois des signes de vies via Fb, on discutait fringues, famille et boulot.

Les années passaient, les célibataires restaient, les séductrices se mariaient et avaient quelques enfants, les faire-parts circulaient. D'autres avaient oublié ce pan-là pour se consacrer à leur job d'enfer, pour grimper à la sueur de trop nombreuses heures de présence, de réunions et de rapports, dans les étages du management. Quelques rares cas, sautaient d'un boulot à l'autre, en quête d'un job idéal, impossible, et souvent finissaient par créer leur emploi sur-mesure. 

Je les verrai ce soir, derrière ce porche, ce code et sa porte automatique, en haut de cet ascenseur parisien grillagé, chic au creux de cet escalier en marbre.

 

 

8327132642_14d0308b05_o.jpg

 

 

8327132528_1e685bec81_o.jpg

 

 

La tenue avait été un exercice, comment continuer à être soi quand des années auparavant on avait vécu entre jean et tee-shirt, parfois pull moelleux. Mais depuis j'avais changé de clans, surtout depuis quelques mois, encore plus. J'avais choisi de mettre mes jambes en valeur, de porter des jupes, des robes, des tuniques même durant l'été. Ma féminité simple était devenu une part de moi, et récemment un point de séduction.

Collants opaques au début, collants fins, jupes longues puis au genou, puis courtes, j'avais tout essayé, pas tout adopté, mais mes collègues m'avait rassurée. Chaque jour, je jonglais donc entre le tailleur pantalon et le tailleur jupe, avec des bijoux pour marquer mon style, un peu de maquillage.

Ce soir, j'avais choisi la guîpure mais avec un collant rouge, un peu flashy, très opaque, mon caractère pour sortir ce soir, me montrer avec une présence différente, avec mon moi actuel. Après tout je ne venais pas pour être l'étudiante discrète de nos soirées passées. J'étais heureuse, mon petit ami m'accompagnait, j'étais bien.

 

 

Femmes-2014-2097.jpg

 

 

Nylonement

 

 

 

 

Octobre rose 2014

www.cancerdusein.org

AFFICHE_LAUDER_CANCERDUSEIN_2014.jpg

 

 

Partager cet article
Repost0
6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 05:48

Toi, avec ce souvenir revenu par hasard hier, ce regard, cette présence, toi tout simplement dans ma tête.


Toi mon amie, fille d'une collègue de ma maman, rencontrée par hasard lors d'une exposition de peinture, ce premier regard, ce coup de foudre amical. Tu étais là, exquise dans ton petit tailleur si féminin, si chic pour un lieu où tout le monde frôlait les sculptures, avançait vers les toiles, se jetaient sur les petits fours.


Naturellement, tu avais cette élégance, cette matûrité avancée, car lycéenne tu aurais pu être plus décontractée, plus casual, et finalement, tu excellais avec ta chevelure brune, ces yeux si persants. Quelques pas, des talons, ta voix douce de future hôtesse de l'air, ton regard posé, tes mots justes, et soudain un vide, juste toi et les autres ailleurs. Oui j'aurai pu tomber amoureux, je l'ai peut-être été un peu d'ailleurs, mais il y a prescription, et uniquement de bons sentiments pour me rappeler encore aujourd'hui de cette première fois, de notre discussion comme des amis déjà, depuis cinq minutes, depuis plus longtemps.


Nous nous sommes croisés, appelés parfois, le téléphone coûtait cher, l'internet était un embryon militaire et universitaire, loin de nos pensées, j'ai dû t'écrire, te dire ce plaisir de te voir, de parler mode, de parler de tout d'ailleurs. Un soir, j'ai invité quelques amis, quatre ou cinq, une table, mon premier repas d'adolescent responsable, une entrée avec du saumon fumé, un plat au four, un dessert, et surtout du champagne rosé. Tu avais aimé ce détail, ce choix féminin et bienvenu à tes yeux. Nous avionsnotre permis, j'ai roulé vers toi, discuté avec toi en écoutant Daho, ton idôle. Belles soirées ou instants entre amis car oui déjà sans le savoir j'admirais ton allure de femme, de jeune femme au potentiel affirmé. Talons toujours, collant impeccable, jupe années 80, tes sourires, tes doutes, tes études aussi. Nous avons parlé de tout, puis la vie nous a emporté chaque côté de France, moi pour mon premier job, toi avec tes avions, ton mari, tes enfants. J'avais des nouvelles par ta mère, par ma mère.

 

Et puis un jour, j'ai appris que cette putain de maladie, celle que l'on veut croire ailleurs, ou pour les vieux ayant déjà vécu une longue vie, pour les autres. Ce cancer t'avait attrapé dans ses griffes, toi jeune, trop jeune, nous avions le même âge. Trop jeune, trentenaire, de jeunes enfants, ta vie que tu menais avec détermination, avec envie, avec sourires malgré cela. Toujours forte, toujours féminine, une silhouette soudainement atteinte, un corps en agonie, luttant sans force.

 

Laurence, tu me manques soudainement, cet éclat hier, un lien sans réel rapport m'a rappelé ces instants ensemble, mais plus encore ta beauté, extérieure et rare, intérieure et lumineuse. Toi, mon amie, tu me manques car je ne peux prendre internet pour te glisser des photos, des mots, des rires et des sourires, pour te dire, si fort cette amitié, ces sentiments forts, cette admiration. Tu n'es plus là, partie trop tôt, trop loin.

 

Toi, mon amie, tu étais une petite femme, au coeur d'or.

 

 

10584072_158893374310630_49297969263528928_n.jpg

 

 

 

Nylonement

 

 

 

 

Octobre rose 2014

www.cancerdusein.org

AFFICHE_LAUDER_CANCERDUSEIN_2014.jpg

 

 

 

Partager cet article
Repost0
3 octobre 2014 5 03 /10 /octobre /2014 05:36

     Mes mains entourent la tasse, se chauffent du halo chaleureux de la porcelaine. J'aime cette sensation douce, comme une présence charnelle, la sienne, même si il me manque aujourd'hui. Pas de départ, pas de rupture, mais juste une vie commune réglée entre nos deux vies séparées. Ma mère ne comprend pas ce point-là, elle qui a vu partir son mari pour une jeune femme, fuir l'éducation de mon frère et moi, la laissant lâchement à son triste sort. Autant elle semble apprécier cet homme avec lequel je vis, pour sa présence, sa discussion et l'amour qu'il me porte. Autant elle doute, aussitôt la porte refermée sur la durée de ses sentiments, il devient alors juste un mari volage, qui se permet une aventure, une nième aventure avec une autre, en l'occurence sa fille. Et moi, je suis là, sure de ses paroles, de son amour, de nos sentiments communs.

 

 

be69bc02e112a9c97418c8b6bb63fb98.jpg

 

 

 

8ecda560602ae48c2280b72b251c4195.jpg

 

Mais voilà, il vit avec la mère de ses enfants, le reste de la semaine, presque tous les jours. Loin de moi, même si il reste en contact régulier, il jongle entre son tarvail, ses activités, les courses, le sport de ses enfants, les études de ceux-ci et la vie en famille. C'est ainsi, je le savais dès le début, il a été clair juste avant notre premier baiser. mais j'avais envie de vivre ses instants, sans réfléchir, sans croire à rien, juste vivre ce bien-être soudain, cette pulsion si forte en moi.

Et aujourd'hui, je ne regrette rien, même si le temps a passé, posant des jalons sur nos envies, déterminant un passé, un présent et un futur flou. Il a, j'ai, nous avons pris conscience de notre réelle passion l'un pour l'autre, de cette bulle magique qui nous entoure à chaque rencontre. Insaisissable énergie autour de nous, rythmée par nos battements de coeurs, autant durant nos discussions que durant nos silences. 

Il me manque, je lui manque, nous n'avons pas à le répéter, pour en souffrir un peu plus, nous dégustons les moments complices, et les démultiplions ensuite en pensant à l'autre. Même si avec le temps, je l'aimerais plus souvent près de moi, le soir, la nuit, le week-end pour me blottir dans sa chaleur, pour sentir son parfum. Ce n'est pas un choix, c'est lui. Et je dois vivre avec la contrainte qu'il a décidé d'avoir en restant auprès de ses enfants encore trop petits pour une séparation définitive.


 

58bd672505319a37628079c8e67acdf6.jpg

 

 

 

e37b4c80f116b0184a10b0503dad1d3a.jpg

 

Je hume le thé, nous avons les mêmes pots, les mêmes effluves pour nous énivrer de ce bonheur-là à distance, comme un trait d'union. Virtuel lien et tasse matérielle, nous aimons boire notre thé pour sentir la présence de l'autre. Un sms, des mots d'amour, je regarde son dernier cadeau posé sur la table, des attentions qui marquent notre vie. Nous nous verrons prochainement, je n'attends pas, du moins je ne me focalise pas trop sur le jour, les heures, les minutes. 

 

Demain, un autre jour, je serai avec lui, demain encore, je serai totalement avec lui. Nous serons libres de nous aimer, de former un couple au quotidien même si nous sommes déjà un couple, et que nous ne nous cachons pas pour le vivre. J'aime cet homme, intégralement, et lui aussi m'aime, et si ce chemin est plus sinueux pour tout partager, que celui d'autres couples, nous avons pris le soin d'y laisser des petits cailloux qui marquent notre passage. Nous suivons toujours cette belle étoile qui nous guide, nous éclaire quand nous nous serrons forts dans nos bras, nous nous embrassons.

 

Je ferme les yeux, le thé parle avec ses arômes, je le sens tout proche. Je suis heureuse ainsi, et de son côté, devant son clavier, lui aussi boit un thé, dans un mug, avec moi à ses côtés.

 

 

 

Nylonement


 

 

 

 

Octobre rose 2014

www.cancerdusein.org

AFFICHE_LAUDER_CANCERDUSEIN_2014.jpg

 

 

 

Partager cet article
Repost0
30 septembre 2014 2 30 /09 /septembre /2014 04:50

Derrière, oui cette partie arrondie, que nos yeux ne sauraient voir, mais qui attire parfois nos regards. Le mien, mon regard en particulier sur lui, sur ses fesses, sur ce jeune homme, je l'ai croisé pour ma rentrée dans cet université, au milieu de centaines d'autres, mon humeur automnale, ma pré-occupation d'étudiante, mais j'ai eu un coup de foudre pour son derrière.

 

Bel arrondi sculpté comme une statue grec, avec cette force de la chair qui marque le tissu d'un jean, montre l'envergure hypnotisante des courbes en trois dimensions. Parfaite représentation de ce que j'aime chez eux, les hommes, ces deux ensembles de muscles, fiers et audacieux, comme on apprécierait chez moi mes gambettes, longues et fines. 

 

Alors la rentrée a suivi son cours, les études avec les T.P. et les cours magistraux, les heures à noter des longs discours plus ou moins éloquents de professeurs plus ou moins inspirés. Mais j'aime mes études, je suis assidûment le contenu malgré des amphis trop grands pour s'exprimer, et du bruit permanent avec trop de monde. Puis au hasard des options du premier trimestre, je me suis retrouvé nez à nez, enfin juste derrière lui, nez à fesses, dans l'allée centrale. Il me tournait le dos, je ne pouvais faire autrement, je ne pouvais me décoller de lui. J'avais envie de lui, oui une envie quasi surhumaine, inconnue en moi, avec mon coeur sec suite à une rupture trop dure, j'avais envie de toucher cet homme, de lui parler, mais plus encore, j'avais envie de tripoter son derrière. Une fulgurante attirance physique, avant même de le connaître.

 

Les hormones peut-être ? je ne savais pas mais j'avoue que partager ce sujet avec mes nouvelles copines, que je connaissais depuis une peu plus de trois semaines, m'aurait vite catalogué dans la case "obsédée du cul". Mais quel bonheur, chaque mardi matin de retrouver ce cours, cet amphi, ce petit groupe, cet inconnu que j'aime tant de dos. Une attirance arrière !

 

 

2--7-.jpg

 

 

2--3-.jpg

 

 

2--6-.jpg

 

 

2--9-.jpg

 

Chaque fois, je me suis approché un peu plus. Je l'ai vu de face, enfin,  à peine reconnu, mais il était tant de voir qui il était, de savoir qu'une tête complétait cette fascinante face opposée. Nous avons travaillé ensemble en T.P. , organisant notre document commun, nos idées et leurs approches critiques, retournant le sujet pour mieux l'analyser. Lui posait parfois son derrière sur le coin de table et moi, je tapotais sur mon clavier, troublée par cette proximité. 

 

Oui car debout ou un peu écrasé, les volumes restaient. A la pause, il m'a confié faire du sport, de la course à pied et parfois du squash, avant de partir voir plus loin des copains pour discuter. Je l'ai vu s'éloigner, toujours de dos, finalement il ne me voyait pas. Alors j'ai usé, abusé de mes longueurs, de mes talons, de mes collants, de mes jupes et de mes shorts courts avec de l'opaque car la fraîcheur d'automne faisait souffler le vent. Je me suis montrée un peu plus, séductrice déjà séduite, mais le plus souvent, il me tournait le dos, je me contenais seul du spectacle charnel. Jamais un jean ne m'avait autant parlé, autant exprimé de beauté.

 

Et puis aujourd'hui, un coin de soleil, mon portable sur les genoux, sur mes jambes gainées d'un opaque rouge, un dossier en préparation pour défendre le contenu d'une prochaine soutenance, pour réviser dès maintenant les futurs partiels, je l'ai vu passé, main dans la main. D'abord de face, puis de côté, puis de dos, il l'a embrassé. Il m'a tourné le dos, pour me laisser dans mes pensées, le regard sur deux paires de fesses. La sienne bien ronde, fidèle à ce charme du premier jour, un cul bien rond, fascinant encore, puis l'autre aussi dans un jean, plate, sans volume, sans charisme sauf celui du fade qui n'attire pas les mains. Deux hommes qui s'embrassaient. Moi qui me contentait de son derrière sous le soleil d'automne.

 

 

Nylonement

 


Partager cet article
Repost0

NYLON-VOLUPTE ??

Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

gentlemen-w-xs.jpg

 

 

Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

Vous avez des stocks de pochettes vintage, des photos associées, contactez-moi pour compléter le musée.

 

 

COPYRIGHTS

Les photos sont ici uniquement à titre non marchand comme l'ensemble de ce blog non-commercial, pour un référencement, en l'honneur des marques citées, pour un usage d'hommage à la Féminité. Si toutefois, j'oublie une référence (encore faudrait-il qu'elle apparaisse en récupérant cette image sur le net, sur Pinterest et ailleurs) ou je suscite un souci de droit à l'image ou aux copyrights, contactez-moi par email gentlemanw@nylon-volupte.com.

L'image sera retirée dès que vous nous préciserez laquelle. Merci.

 

Copyrights pour tous les articles de ce site. Si vous faites référence à un article, précisez le nom de ce blog avec son lien.

 

Recherche ???

Aimez + Aidez

 

Cancer, trop proche de nous.

Faites un sourire et soutenez l'autre !

Nous sommes tous acteurs de la santé de nos proches et de nos familles.

Cette maladie frappe le col de l'utérus, les seins, la thyroïde, la prostate, le plus couramment et ailleurs aussi !

Alors soutenez vos ami(e)s, vos parents, votre compagnon et votre compagne.

Image-0201

www.ligue-cancer.net

Aimez vous les uns et les autres

Image-0297

www.cancerdusein.org

 

 

Aimez-vous,

Protégez-vous !

Vivez !

ruban-rouge-sida.jpg

 

www.info-depression.fr

 

 

Articles Récents

  • Surprise
    Accompagnée des ronronnements de mes deux chats collés à moi, je restais lovée dans mon canapé. Un livre posé près de moi, mes pensées prenaient la forme de rêves éveillés. Ce héros qui charme cette pauvre jeune femme soudainement transformée en future...
  • Livre : "Et l'amour aussi" de Marie DOCHER
    Un très beau livre documentaire partageant des témoignages autour du "Mariage pour tous" par des lesbiennes, des goudous et des gouines. Car c'est bien ainsi qu'elles se définissent parfois dans leurs parcours si variés de leurs enfances où elles découvraient...
  • Bête comme ses pieds
    "Bête comme ses pieds" voilà une des expressions préférées de feu ma grand-mère. Et ce matin, en arrivant dans ma boulangerie, j'y ai pensé très fort. Une vieille dame était là avec son cabas à roulettes, attendant la serveuse du coin café (oui cette...
  • Livre : " Bigoudis & Petites enquêtes" Panique aux pompes funèbres de Naëlle Charles
    Une nouvelle série de polar avec un brin de feelgood, voilà un des 4 tomes de "Bigoudis & Petites enquêtes" écrit par Naëlle Charles, entre mes mains, pour mon voyage quotidien en transports en commun, avec un détour par Wahlbourg. Oui car c'est bien...
  • Livre : "Fille A" d'Abigail DEAN
    Eclectisme, voilà ce mot élégant qui favorise la curiosité de trouver de nouvelles lectures, de commencer un livre recommandé par un ami, par la presse ou simplement trouvé dans une bibliothèque sur une rangée poussiéreuse. La sérendipité s’ajoute aussi...

ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

Bas-Nylon-mais-alors !

Bas Nylon, quel talon ?

Je-suis-alle-au-paradis des Bas Nylon

 

Site web uniquement accessible pour les membres.

 

Coups de Coeur

Logo-Menu-NylonMode.com-V3.2-xs.png
 
causette-34.jpg
 
 
 
 
 
 
Mes coups de coeur, ceux où je passe régulièrement sur leurs blogs, pour leurs contenus, leurs photos, leurs articles, leurs humeurs, leurs amours, leurs critiques. Inspiration passgère, amitié ou même coup de foudre, souvent un univers de mots, de douceurs et de libertés ...

martiennes.wordpress.com  justement féministes

bebarock.com juste pour les femmes !

cameline.org prodigieuse exploration mode du temps

bellesetbiendansvotrepeau conseils beauté

leblogdebetty.com mode et sourires 

dameskarlette voyageuse en images

thebrunette.fr incroyablement élégante

lheureuseimparfaite blog féminin et impertinent

le-blog-enfin-moi.com féminité, mode et sourires

leblogdelilou féminité au quotidien

fashionandcookies  fashionista 

valimero-fashion-addict.com modeuse la + souriante du net !

mindalicious.fr géniale modeuse

lesdemoizelles mode et futilité

estelleblogmode.com  mode souriante

pinup-doodles un coup de crayon d'une génie

folievintage.fr un lieu pétillant & glamour

blog.plafonddeverre.fr réalité féministe

...

citizencouture.com la mode online

misspandora.fr super-fée de mode

leblogdebigbeauty.com ronde et alors ?

modeuse.com j'aime depuis le début

garancedore.fr oui, encore elle

...

Et si vous n'êtes pas ici, c'est pas un désamour, plutôt un oubli, 

et la liste serait peu-être un peu longue (environ 200 sites de références)

mais je vous visite régulièrement, bises à toutes !