27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 06:25
Impossible

Que devais-je faire, ce matin, là, à la machine à café ?

Je suis restée dans le vague des murs gris, des affichages syndicaux, des consignes de sécurité, mon gobelet haud dans les mains. Perdue. Pour finir un rapport, je suis venue plus tôt, laissant les enfants dans les mains de leur père, prenant le premier train du matin. Des documents à relire, une synthèse à revoir, la première version ne me satisfaisait pas. Un doute, un bruit dans cet open-space si vide, les toilettes, j'ai poussé la porte. Elle était là, en larmes, effondrée.

 

Ma collègue, une charmante consultante admirée pour son talent de négociation, pour sa maîtrise des dossiers complexes et sa pugnacité à vaincre les freins politiques de nos projets. Brillante aussi par son élégance, toujours avec des tailleurs bien coupés, des chaussures qui nous rendent jalouses par sa capacité àchoisir le bon modèle tendance du moment, la plus adapté pour une réunion, une soirée, un séminaire, toujours féminine et admirable. Récemment mariée, quelques photos traînent sur son coin privé, une belle robe blanche, des amies, des collègues dont moi, son mari.

Impossible
Impossible

Elle, si exemplaire aux yeux des hommes comme des femmes de notre équipe, elle si différente là cematin, malgré un sursaut de fierté intérieure, pour ne rien laisser paraître. Les larmes étaient trop lourdes, le poids trop important, j'étais la première, la seule présente, elle m'a tout confiée. Un couple si heureux, du moins dans nos esprits, Toujours heureuse avec lui, des voyages, du shopping, des sorties, des belles photos, un beau mariage, mais finalement derrière cela une fêlure. Un goufre même. Une chute abyssale. Des douleurs, des traces, des bleus, des marques.

 

J'ai écouté ses propos, silencieuse face à l'énormité de la folle situation. Lui, elle, eux, une relation d'amour, une relation impossible. Leurs rapports ont toujours été compliqués, mais les sentiments estompaient la réalité. Pourtant flagrante. Puis il y a les moments , un soir, des doutes, des gestes, des paroles, une blessure. Un pardon, D'autres plus tard, toujours des cadeaux, des excuses, des promesses de ne plus recommencer, des chantages aussi, pour partager ses actes.

 

Et pourtant mon analyse sans bruit, figée par les mots si forts, abasourdie par la violence,var c'est bien de cela que nous parlons. Des coups, des gestes brutaux, des violences physiques, un sénario que je n'ose imaginer. impossible pour elle, comme pour aucune de mes proches, pour aucune de mes amies, aucune femme. Je l'ai aidé à se redresser, à sécher les larmes, à panser les plaies, les bleus sans résoudre les douleurs dans la chair mais aussi dans l'âme. Je lui ai donné deux comprimés pour dormir, appelant un taxi, lui donnant lesclefs de chez moi, un endroit neutre, loin de chez eux. J'ai prévenu mon mari, médecin de plus, pour qu'il l'aide à son arrivée, pour qu'il appele un collègue spécialisée pour constater les dégâts, présents et passés.

 

Là face à des murs gris, je suis restée loin de mon rapport, des chapitres à finir, perdue dans l'incroyable labyrinthe de la folie masucline, d'un homme qui croit s'assumet en battant sa femme. Faiblesse ultime, folie intérieure, je ne connais les leviers de ce processus impossible, d'autant que je n'ai jamais imaginé ou prêté attention à ce détail, surtout avec elle, si lumineuse. Devant mon écran, je reste troublée, car comment le voir, le prévoir, l'aider, réagir, comprendre, tant de questions.

 

Non, à cette violence invisible, à cet aveuglement extérieur, à ce silence intérieur. Heureusement aujourd'hui il s'est rompu, débordant, inondant de ses douleurs l'espae, libérant un début de soins, finissant ce lien entre eux.

 

 

Nylonement

 

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 06:00
Si j'avais su

Aujourd'hui je vais à un rendez-vous, avec un homme, un potentiel amoureux, un de ceux qui rentraient dans la grille de ce site de rencontre. J'avance pleine de doutes, chargée de mes souvenirs qui étrangement me sautent à l'esprit dans les couloirs bondés du métro, comme une foule supplémentaire.

 

Il faut savoir regarder en arrière, mais une bonne amie de ma maman, une confidente depuis mon adolescente, ma dit aussi de regarder devant, même si rien ne pointe parfois à l'horizon. Et encore récemment c'était une ligne, et un grand vide juste là en dessous. Rien.

 

J'ai eu tant de mal à oublier une histoire, celle avec un charmant collègue de travail, un sourire, deux cafés, une discussion au-dessus de deux plateaux repas, des poses ensemble, le hasard d'un dossier, le plaisir de bosser ensemble. Et puis un jour, j'ai osé, bêtement peut-être un bisou alors qu'il me raccompagnait en bas de chez moi. Sans prévenir, sans en reparler ensuite. Du moins jusqu'au restaurant, un dîner tous les deux, de belles histoires de nos voyages, de nos passions, de nos poinst communs mais pas vraiment de pas en avant. J'ai rêvé, lui restait pragmatique, sans mystère, il répondait à mes questions mais en posait peu sur ma vie. 

 

Les semaines ont passé, toujours avec ce plaisir de se croiser, de travailler encore ensemble, de sortir entre collègues ou amis pour des happy hours festives. Et puis ce soir-là,un jour de pluie, je sortais dans ce quartier pour quelques courses, je longeais un restaurant, lui derrière la vitre, à une table. Elle était là, pleine de sourires, la main dans la sienne, ils attendaient leurs plats, et moi je mouillais amplement sous le déluge. Intérieur et extérieur. J'ai pleuré toute la soirée, tout le week-end. Impossible vision de cette femme, vingt ans de plus que moi, mais qu'est-ce qu'elle avait en plus ? J'ai revu cette scène comme dans un cauchemar, de nombreuses fois, je décortiquais sa tenue, leur complicité, leurs sentiments évidents, deux amoureux à table.

 

Si j'avais su

Alors j'ai pris d'autres missions, je me suis écarté de son chemin, j'ai postulé dans un autre bureau, une autre branche, j'ai oublié son numéro. Il a pris de mes nouvelles, il s'est même inquiété de ce silence, je n'ai pas répondu aux sms, aux emails. Rien, le vide. 

 

J'ai perdu pied sans comprendre que l'amour se partage à deux, et que je devais être la seule à l'aimer, à sens unique. Une confusion dont il était ni le coupable, ni la victime, juste un ami, sincère. Je ne l'ai revu que dans les grandes réunions de boulot, entre deux verres, entre deux rigolades ou discours. Rien. Lui semblait heureux, Mes collègues, les siens aussi, m'ont raconté qu'il vivait avec une femme divorcée, avec des enfants, loin de mon modèle. Je suis restée célibataire en me noyant dans le travail, l'oubliant et tous les autres hommes avec. J'ai déprimé, j'ai pleuré, ronchonné, crié et puis j'ai repris espoir en l'horizon.

 

Il est là, cet incconu du net, juste des heures et des emails de discussion sur ce site. Des tulipes pour moi, je souris, cela fait si longtemps.

 

Nylonement

 

Si j'avais su
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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 06:38
Tendresse

Sortir de l'hiver, espérer en sortir et pourtant ce matin, il fait encore plus froid, avec cette humidité héritée d'hier, de cette brume matinale qui devient permanente. Neige prévue, je regarde au-dessus de moi, le ciel est blanc, opaque, dense et triste.

 

Heureusement, là en moi, mon coeur bat plus fort, pour lui, une belle aventure, un hasard, une rencontre anodine, un ami d'amie, une relation autour d'une table bruyante, et finalement des paroles. Nous avons déconnecté des autres, là dans le coin, sur cette banquette, prenant le temps de partager nos lectures, de laisser les adeptes des multiples applications inutiles pour téléphones à l'obsolescence programmée si peu durable, si peu enrichissantes. Nous avons voaygé dans nos mots, nos écrivains préférés, nos têtes de turcs réciproques ou communes, nous avons fini la bouteille de chamapgne, là, tranquilles, à deux au milieu de dizaines de personnes. Le bruit ne venait plus à nous, et puis soudain, j'ai ri, de rien, de son décalage involontaire sur une phrase, d'un humour presque anglais malgré lui, ou d'un involontaire quiproquo. Il a souri, lui aussi. Je l'ai aimé probablement dès cet instant.

 

Simplement

 

Tendresse

 

Et comme rien, n'est simple en étant une trentenaire sans boulot, sans voiture, dans une chambre louée par la famille, je me suis levé pour ne pas rater les derniers bus, il m'a proposé de me ramener, je ne savais plus choisir entre le Oui ou le Non. Mes sentiments, ma vie incongure depuis que je ne trouve pas de boulot, ma petite vie, si fade mais soudainement, magiquement plus souriante avec lui.

 

Ma meilleure amie, l'instigatrice de ce repas entre copines et quelques copains, elle me fait signe, elle valide mon choix par ses yeux complices, et je suis là sans réponse. Mais sagement, il me rassure sur ses attentions, sourit de ma soudaine fragilité, de mon trac face à ce simple détour sur son chemin. D'ailleurs je ne sais pas où il va, et lui ne sais pas d'où je viens. Nous avons visité nos bibliothèques, nos livres, lui surement bien classés sur des étagères bien rangées. Moi, la version cartons non ouverts depuis un déménagement rapide, un ex bien stupide et une envie folle de tout quitter. Je voudrais pas le décevoir mais j'ai envie de l'avoir près de moi, pas trop loin, même assis finalement sur ma banquettes en cartons non déballés. Quelques coussins, un tas régulier, et les amis s'amusent de s'asseoir sur Molière, Proust, Balzac ou tous autres romans plus actuels. Quand il y a un creux, ils cherchent un de ces livres d'été, creux aussi dans son contenu, vides dans leurs histoires, avec peu de pages, pour calés leurs fesses. La littérature devient la base de mon design non suédois.

 

Vais-je lui dire de m'accompagner chez moi ? oui là-haut, cinq étages, sans ascenseur, des marches rapées, des odeurs multiples, un palier froid, mais souvent la lune dans la fenêtre du couloir. 

Oserais-je lui dire que j'ai envie de l'avoir avec moi sous ma couette ? oui pas uniquement pour un dernier verre, mais collé à moi, tout près.

 

 

Il a trouvé la réponse, m'embrassé, en me prenant par la main, vers la sortie, un dernier signe aux copines. Une belle histoire.

 

Là ce matin, je quitte son appartement pour me rendre à ce nouveau poste, depuis plus de trois ans déjà. J'aime ses baisers légers sur mes épaules, dans le cou, là comme la première fois. Jamais lasse de lui, de sa chaleur. Heureuse de sentir ses mains sur mes jambes. 

 

Nylonement

 

Tendresse
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12 janvier 2015 1 12 /01 /janvier /2015 06:34

Mais qui êtes-vous ? (une question en off, par email)

 

Je ne suis qu'un accoucheur d'émotions, un tapoteur de lettres, de voyelles et de consonnes sur un clavier usé. Clic, corrections, lecture et relecture, je ne donne que des sensations pour traverser le miroir, ma seule monnaie honnête, pour le prix doux d'un reflet de vous. J'accompagne le voyage non pas d'un petit trou dans le ticket, mais d'une palpitation ou deux en vous regardant ici.

 

En cherchant dans les centaines d'articles, de billets d'humeur, dans mes évocations, dans quelques tags et bels interviews, vous trouverez un peu de moi, quelques bribes.

 

Car le plus important ici, sur ce blog, c'est VOUS, jamais moi.

 

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VOUS et vos féminités, que j'aime défendre, que j'aime parfois chatouiller ou plus souvent essayer de charmer. Je vous suis, je vous décrypte sans prétention, et je tente d'être un peu de vous, quand je parle en "je". Aucune ambiguité pour autant, juste une proximité pour parler de vos portraits, de vos doutes et de vos ambitions, de vos beautés intérieures, de vos courbes extérieures. Vous, toujours VOUS !

 

 

Mode, je ne donne que quelques clefs pour jouer des gammes dans le lyrisme du glamour, car 2015 sera l'Année du Glamour, vintage ou moderne. Des arpèges de baroque aussi et des notes déjantées de maquillage, des silences de bien-être aussi.

Volupté dans vos pas, devant moi, je suis toujours en recul (oui parfois par gourmandise d'esthète), je ne regarde qu'avec des mots, pour apprécier avec respect vos silhouettes, et pour nourrir une seule chose : mon imagination. Source de mes prochains mots, de ce blog, de mes incohérences sûrement, de mon  profond amour de vos Féminités.

Inspiré, je peux alors vous créez un espace, votre blog, pour que toutes, vous trouviez votre place, votre regard, un peu, beaucoup de vous, un peu de vos amies, de vos proches.

 

 

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Vous êtes toutes mes muses,  je ne suis que ce que je vois, que ce vous me donnez à voir de vous.

 

Nylonement

 

 

PS : Article repris d'une version 2012, il peut être compléter par celui-ci sur les origines du pseudo :

www.nylon-volupte.com/article-gentleman-w

 

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NYLON-VOLUPTE ??

Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

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Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

Vous avez des stocks de pochettes vintage, des photos associées, contactez-moi pour compléter le musée.

 

 

COPYRIGHTS

Les photos sont ici uniquement à titre non marchand comme l'ensemble de ce blog non-commercial, pour un référencement, en l'honneur des marques citées, pour un usage d'hommage à la Féminité. Si toutefois, j'oublie une référence (encore faudrait-il qu'elle apparaisse en récupérant cette image sur le net, sur Pinterest et ailleurs) ou je suscite un souci de droit à l'image ou aux copyrights, contactez-moi par email gentlemanw@nylon-volupte.com.

L'image sera retirée dès que vous nous préciserez laquelle. Merci.

 

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ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

Bas-Nylon-mais-alors !

Bas Nylon, quel talon ?

Je-suis-alle-au-paradis des Bas Nylon

 

Site web uniquement accessible pour les membres.

 

Coups de Coeur

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Mes coups de coeur, ceux où je passe régulièrement sur leurs blogs, pour leurs contenus, leurs photos, leurs articles, leurs humeurs, leurs amours, leurs critiques. Inspiration passgère, amitié ou même coup de foudre, souvent un univers de mots, de douceurs et de libertés ...

martiennes.wordpress.com  justement féministes

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bellesetbiendansvotrepeau conseils beauté

leblogdebetty.com mode et sourires 

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citizencouture.com la mode online

misspandora.fr super-fée de mode

leblogdebigbeauty.com ronde et alors ?

modeuse.com j'aime depuis le début

garancedore.fr oui, encore elle

...

Et si vous n'êtes pas ici, c'est pas un désamour, plutôt un oubli, 

et la liste serait peu-être un peu longue (environ 200 sites de références)

mais je vous visite régulièrement, bises à toutes !