J'ai acheté mon FEMME MAJUSCULE sous les yeux sombres d'une buraliste, qui regardait mon tas épais de magazines féminins, moi l'homme qui ne lit pas de revues pour automobiles. Je lui ai fait un grand sourire pour devait lui dire "oui il y a parfois un coin de sensibilité dans le mâle en costume".
Tranquillement installé sur ma terrasse, face à la forêt, sa fraicheur et son humidité si agréable actuellement avec l'été bien installé, j'ai lu, j'ai bu, du thé et les mots de ce magazine à la maquette bien faite, aux articles qui vont au fond des sujets. Loin des numéros vaporeux, voire inexistant de la presse féminine d'été, qui oscillent entre article écrits par des stagiaires peu talentueuses, ou des articles sexo et psycho de journalistes peu motivées. Ici dans FEMME MAJUSCULE, je retrouve le ton dynamique des numéros précédents, une vivacité de femmes qui assument leur vie après 45, après 50, après 60 ans, après 70 ans.
Une énergie naturelle qui vous fera parcourir des chemins frais entre les propos d'Isabelle AUTISSIER, grande navigatrice aux yeux bien ouverts sur notre monde, belle écrivaine, vers des pages de mode accessible, des portraits de vraies femmes qui se révèlent dans les arts, des pages beauté pleines de soleil, quelques sextoys, eh oui la vie vibre à tous âges, des mots sur l'infidélité, de la cuisine avec des fruits frais, des photos de vacances, de la vie et de la culture. Au final, comme d'habitude, j'ai dévoré les pages du numéro 15 avec le sourire, avec plaisir.
Sauf les pages consacrées à une vieille comédienne-chanteuse de plus de 50 ans qui se prend pour une jeunette et n'assume jamais son âge. Surtout en ne donnant jamais sa vraie date de naissance.
Le thé est fini, je vais manger des cerises directement sur l'arbre, humm un autre délice.
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Nylonement
Article non-sponsorisé