28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 08:48

Elles sont toutes les deux sur ce banc impersonnel, mais pas dans une salle d'attente froide, ce petit coin là a été pensé avec chaleur. Un bureau derrière la cloison, quelques plantes, des magazines féminins, et juste elles deux.

 

L'une est en legging gris opaque avec une tunique grise et noire, très enveloppante, un long gilet comme autant d'épaisseur pour se protéger du monde, non pas du froid. Une veste trop grande, emprruntée peut-être. Son manteau est plié en deux sur ses genoux, avec un grand sac à ses pieds, proche de ses bottines. Elle se fige.

A côté d'elle, une autre personne plus âgée, presque une vingtaine d'années les séparent. Un tailleur de laine, des teintes sombres, une broche argentée, un pull noir en V en dessous, de jolis collants et des bottes en daim gris. Plus détendue, elle cherche dans son sac des bonbons à la framboise, des bonbons à l'ancienne, rassurants avec leur coeur liquide et sucré. Elle les propose à sa voisine, avec un sourire.

 

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Elles attendent toutes les deux ce rendez-vous. Le silence est omniprésent, la première sert son écharpe, sur elle, la seconde l'observe, bienveillante.

 

Elles se connaissant par leur travail. Un milieu créatif d'un département marketing, l'une dirige, l'autre partage son travail dans cette équipe dynamique, la joie et l'énergie sont leurs moteurs. Elles se voient tous les jours, développent des projets, proposent, discutent. Elles ont fini par croiser leur sympathie, en parlant, devenant des presque amies, plus que de simples collègues.

 

Et puis récemment, la plus jeune est arrivée, toute perturbée, l'autre a vite compris qu'un malaise était là, elles ont vite discuté, elle l'a emmené chez elle, dans un cocon plus calme. Des doutes, des larmes, des paroles difficiles, des mots et des phrases sans point final, des mouchoirs, toujours plus. Elle a avoué sa déchirure, si soudaine, ses récentes nuits impossibles. Le petit ami était parti, certes, un presque détail, mais il y avait autre chose, et un choix à faire.

 

L'autre n'a pas souri du hasard, car cela a relevé du néant, de ses propres souvenirs une expérience douloureuse. Elle aussi avait vécu cela, à une autre époque, dans d'autres conditions, avec d'autres interdits. Elle l'a protégé, l'a serré contre elle, échangeant ses paroles, son mystère, leurs mystères, leurs questions et parfois quelques réponses. Une nuit de larmes, d'émotions, de ce qu'une amitié peut apporter de réconfort et d'ouverture de soi vers l'autre.

 

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Souvenirs sombres, faiblesse profonde, le corps hurlait, l'esprit pesait. Elle n'atait plus seule, elles étaient deux, avec un soudain échange affectif plus fort, une force nouvelle entre elles. Elle avait pleuré, parfois à deux, pour nourrir une rivière de remords, de questions encore, sans connaître la destination de ce flot. Sans espoir, flux incessant de frustration et de regrets, elle pleurait encore, écoutant le réconfort, dévoilant chacune leurs vérités. Pourquoi ? Comment ? Comment faire, ou défaire ? Trouver un point vers lequel avancer.

 

Le silence avait fini cette nuit si longue. L'une endormie sur les genoux de l'autre, enveloppée d'une étolle de chachemire, une douceur complice, dans une pénombre, une autre enveloppe un peu grise entre lumière et volets clos.

 

Le matin, elles avaient parlé encore, l'une proposant à l'autre de l'accompagner dans ce choix, dans ses démarches, pour les prochaines semaines, pour ce bout de vie. Elles avaient finalement ce même mystère en commun. Tout cela restait compliqué malgré les lois, malgré les choix de vie et les doutes infinis qui la suivrait, qui la suivait depuis vingt ans déjà.

 

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Elles attendaient en silence, ce rendez-vous avec le gynécologue en charge des IVG de cet hôpital. 

 

Encore quelques minutes. Plusieurs années.

 

 

Nylonement

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13 février 2012 1 13 /02 /février /2012 10:59

Ce matin, je peux vous écrire, je suis avec vous, je vous regarde à travers la vitre de la grande salle. Dehors vous arrivez sur le parking, sortant des voitures, discutant pour mettre ou non un manteau, pour quelques mètres, arrivant avec de drôles de têtes, vers mon batîment.

 

Le soleil chauffe, cet astre d'hiver qui irradie dans un ciel bleu, l'iar doit être sec. Tout est lumineux, l'intensité des rayons entre en moi. Les arbres vides de leurs feuilles, dorment pour un futur printemps en fanfare. Ici et là des narcisses et quelques primevères bravent le froid, cette température fraîche d'une autre saison, en avance, décalés par tant de douceur.

 

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Je regarde, je vois et surtout je me rappelle. Depuisun certain temps, je ne sais plus lequel, je suis là, je ne bouge pas tous les jours, je cherche un sens à ma vie, une vie bien remplie. Cependant je ne savais plus qui étaient mes amies, mes souvenirs me quittaient si vite, un écoulement incontrôlé. Chaque jour devenait étrange, et sans agressivité, j'ai glissé de moi-même pour ne plus savoir qui j'étais. 

 

Je devenais spectateur de mon propre spectre, dedans et parfois dehors.

 

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Moi, si active, si impliquée auprès des autres, infirmière ou docteur, à moins que ce ne fût professeure, je croisais tant de monde, des gens tous les jours, tout le temps. Je travaillais, j'aimais un homme, mes deus enfants, veuve je crois, ou divorcée. Une route, lui immobile, deux enfants à élever, une route à poursuivre, seule, et ici maintenant. Des médicaments sont posés, là, mon infirmière vindra, ou elle est déjà passée, la routine ne s'accroche plus en moi.

 

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Heureusement il y a le soleil, si chaud dans ce lieu si froid, maison de vie, de passage pour certains, je ne lis pas, je ne sais plus, hier un autre jour, je me suis perdue. Dans la brume, il y en avait dans ma tête, j'attendais alors la lumière, et la chaleur d'un guide, du soleil.

 

Vivement demain que je me rappelle aujourd'hui, que cela devienne un bon souvenir, un simple jeu réel d'une mémoire pleine de trous. Mais qui suis-je ?

 

Nylonement

 

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A toutes les familles, les féminités hantées 

par cette maladie de la mémoire.

 

Copyrights des photos d'ARI SETH COHEN

Sortie américaine de son livre le 17 avril 2012

sur les belles élégantes des seniors+

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2 février 2012 4 02 /02 /février /2012 07:00

De la belle insouciance d'un lieu, je esuis venue ici pour prendre du temps, pour oublier le stress. 

 

Vivre à cent à l'heure, accélerer parfois encore un peu, c'est une de mes obligations depuis des mois, depuis des années déjà, pour combler des vides, un goufre de doutes. Je travaille, je vis dans le corps de celle qui jouit de son travail, uniquement de cette intensité boulimique de business.

 

Des amies, parfois, surtout des relations professionnelles pour un réseau et d'autres pour des contrats, pour de nouvelles idées, je bosse pour gagner de l'argent, pour combler mon agenda. Oui depuis que mon coeur ne bat plus pour lui. En corrélation avec le sien qui ne bat plus du tout. 

 

 

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Le portefeuille se remplit, mais ce n'est pas mon argument, car paradoxalement, je ne suis pas en manque pour assurer mon train de vie, sobre et parfois même simpliste. J'ai assez, j'ai amassé et je dépense, avec un entrain limité, pour des partages égaux, pour moi, pour eux, chers enfants et petits-enfants, mais jamais je n'ai trouvé des sentiments en boîte, même dans une boutique de luxe. Je ne dépense que mes larmes, chaudes certains soirs. En fin de journée.

 

Je donne un peu de moi, je donne beaucoup dans mon travail et pour quelques causes. Je cherche le silence, ce moment simple qui existerait sans angoisse. Rare , trop rare juste avant le sommeil, seule dans mon lit. Je fuis ma vie, ce reste de vie dans mon calendrier, entre deux rendez-vous, car je n'arriverai plus à aimer. Je ne veux pas de temps libre et encore moins de compassion, je laisse cela à ma famille, à mes amies, peu pour moi. Personne ne peut comprendre ce vide, ce néant d'un départ imprévu, je regarde sa chute, je suis en suspens avec lui, mais sans jamais atteindre le sol.

 

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Point de psy, pour emmener mes réflexions, quelques chèques, quelques paiements, un rendez-vous de plus, et une solitude complète. Je suis revenu du divan, toujours sans lui.

 

Demain, après ce spa, nouvelle étape avec des pensées pour lui, un peu de nous, je repartirai au travail.

 

Toujours sans lui. Il me manque.

 

 

Nylonement

 

A toutes les femmes veuves, jeunes ou moins jeunes,

qui n'ont pas choisi ce départ, cette rupture,

et dont le coeur reste blessé.

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19 janvier 2012 4 19 /01 /janvier /2012 07:06

L'alcool a été son compagnon durant des mois, des années, après avoir été un amant qui ne devait duré que quelques semaines. Elle l'avait accepté, refusé, oublié et puis son corps avait changé le message, demandant un peu plus, ce petit verre, cette dose d'alcool pour avancer. ce petit plus et encore un peu plus, juste un doigt. Finalement beaucoup plus, pour finir par s'endormir dans sa voiture, devant chez elle ou devant le bar, elle ne savait plus.

 

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Un jour elle avait poussé ma porte, moi la psychothérapeute, j'avais souri, j'avais compris en quelques minutes qui était cette femme chic, élégante et défaite intérieurement. Elle s'était allongée, non, juste assise, comme déjà liberée d'un poids si lourd, celui de choisir, de me téléphoner, de monter mes marches, d'être là. 

 

 

Elle avait parlé assez vite, comme une libération, un acte engagé et refusé plusieurs fois, un oubli et quelques verres en plus, mais elle parlait maintenant, presque trop. Je lui avait dit de revenir, je l'avais gardé un peu plus car  cette malade, cette femme me touchait. Un lien entre elle et moi était né, pour lui tendre la main, lui donner cette force de résister. Je savais depuis longtemps que les rechutes étaient juste au coin de la rue, un soir d'automne, quand la nuit tombe trop tôt, quand le patron vous a vexé sciemment d'une remarque sur votre travail, quand votre coeur appelle dans le vide. Je croyais à un avenir sain, nous en avons parlé pendant des semaines, puis des mois, toujours en pensant à cette fuite vers l'alcool, lui malfaisant, lui reposant dans son énivrement facile. Elle composait. Depuis le temps, elle avait essayé de garder cette image de jolie femme, de jeune bourgeoise qui suit la mode, sans problème et sans effusion, une féminité qui devait aux yeux des autres, voisins et collègues, être un brin de classe. Elle vacillait pourtant le soir, chez elle, seule, lui était parti. Sans chic elle vomissait, et puis maintenant elle se tenait au bord du précipice, celui du refus de soi, de la chute sans fin, ou d'un simple pas reculer vers les soins, vers les autres. Un bazar sans structure, elle au milieu.

 

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Nous en avons parlé, échangé en cherchant les failles, les doutes, les blessures, les errances d'un passé, ses souvenirs que notre mémoire enfouie sans jamais lavéé le sol de son passage, sans jamais oubliée le mal. Elle s'est confié, je lui ai donné des moyens, des brindilles pour la souplesse, des branches plus sures pour faire une échelle vers le haut, un arbre qui grandirait avec sa volonté de dire non, d'avancer encore. Elle avait saisi les clefs, elle savourait les moments positifs, elle se préparait à l'abstinence totale, surtout au refus, son refus de la tentation et pire encore à ses doutes un autre soir, cette souffrance qui vous attire. Elle devait refuser une solution qui devenait le problème, un cercle brûlant ses entrailles, son âme et surtout sa vie.

 

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Pourquoi elle, si belle, si appréciée, si normale, si femme, si élégante ?

Pourquoi ?

Je n'avais pas donné de réponses mais des ressources, quelques coups de fil en plus, une porte plus facilement ouverte, autant que celle du bar.

 

Patiente, non plus malade, femme et amie, elle évoluait doucement, elle reculait loin du précipice, et de nouveau elle pensait pouvoir s'aimer, aimer un autre. Elle souriait, elle rayonnait. Le chemin serait long, mais sa volonté, longtemps en vacances, venait de revenir l'habiter comme un cadeau de Noël, ou de nouvelle année, la vie était devant, uniquement devant.

Avec sobriété, juste vacillante avec cette nouvelle paire de hauts talons, un nouveau plaisir, une douce addiction.

Je la partageais avec elle.

 

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Copyrights www.gerbe.com

 

NYLONEMENT

 


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Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

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Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

Vous avez des stocks de pochettes vintage, des photos associées, contactez-moi pour compléter le musée.

 

 

COPYRIGHTS

Les photos sont ici uniquement à titre non marchand comme l'ensemble de ce blog non-commercial, pour un référencement, en l'honneur des marques citées, pour un usage d'hommage à la Féminité. Si toutefois, j'oublie une référence (encore faudrait-il qu'elle apparaisse en récupérant cette image sur le net, sur Pinterest et ailleurs) ou je suscite un souci de droit à l'image ou aux copyrights, contactez-moi par email gentlemanw@nylon-volupte.com.

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Cancer, trop proche de nous.

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Cette maladie frappe le col de l'utérus, les seins, la thyroïde, la prostate, le plus couramment et ailleurs aussi !

Alors soutenez vos ami(e)s, vos parents, votre compagnon et votre compagne.

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Aimez vous les uns et les autres

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www.cancerdusein.org

 

 

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ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

Bas-Nylon-mais-alors !

Bas Nylon, quel talon ?

Je-suis-alle-au-paradis des Bas Nylon

 

Site web uniquement accessible pour les membres.

 

Coups de Coeur

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Mes coups de coeur, ceux où je passe régulièrement sur leurs blogs, pour leurs contenus, leurs photos, leurs articles, leurs humeurs, leurs amours, leurs critiques. Inspiration passgère, amitié ou même coup de foudre, souvent un univers de mots, de douceurs et de libertés ...

martiennes.wordpress.com  justement féministes

bebarock.com juste pour les femmes !

cameline.org prodigieuse exploration mode du temps

bellesetbiendansvotrepeau conseils beauté

leblogdebetty.com mode et sourires 

dameskarlette voyageuse en images

thebrunette.fr incroyablement élégante

lheureuseimparfaite blog féminin et impertinent

le-blog-enfin-moi.com féminité, mode et sourires

leblogdelilou féminité au quotidien

fashionandcookies  fashionista 

valimero-fashion-addict.com modeuse la + souriante du net !

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estelleblogmode.com  mode souriante

pinup-doodles un coup de crayon d'une génie

folievintage.fr un lieu pétillant & glamour

blog.plafonddeverre.fr réalité féministe

...

citizencouture.com la mode online

misspandora.fr super-fée de mode

leblogdebigbeauty.com ronde et alors ?

modeuse.com j'aime depuis le début

garancedore.fr oui, encore elle

...

Et si vous n'êtes pas ici, c'est pas un désamour, plutôt un oubli, 

et la liste serait peu-être un peu longue (environ 200 sites de références)

mais je vous visite régulièrement, bises à toutes !