5 juillet 2012 4 05 /07 /juillet /2012 09:22

Fin d'année, fatigue, fin d'un stress, décompression, douleurs dans le corps.

Hier soir, mardi soir exactement, nous avons fait une remise traditionnelle de pris pour nos plus grands, les CM2. Fin d'un cycle, fin du primaire, fin d'année scolaire pour tous, étape de leur vie, plus marquante que celui de la fin de maternelle, cette fois se sera la collègue. Un petit speech, des enfants impatients, entre fatigue et énervement, des enfants que l'on a vu grandir, tant pat la taille que par le développement de leur caractère, de leur personnalité, ils sont autonomes maintenant.

 

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Certains sont plus grands que d'autres, cette génération nourrit copieusement et avec une meilleure santé, mais aussi des gènes heureux, ils rigolent avec leurs maîtresses de CP et CE1, plus petites maintenant qu'eux-mêmes. Déjà les souvenirs se construisent. Avec comme premier paradoxe, les plus turbulents devenus nostalgiques de ce lieu. Ils appréhendent une nouvelle cour, une nouvelle dimension, de nouvelles études, de nouveaux professeurs, et plus encore un univers où ils seront les plus petits, après avoir régnés en étant les plus grands.

 

Et vous, et moi, je suis sereine pour eux, et là, soudainement une larme coule, quand ils jouent de remerciements, avec des mots sicnères et maladroits, pour chaque classe, pour chaque professeure. Ils sont émouvants dans leur improvisation, dans leurs sentiments qu'ils avouent malgré eux avoir pour nous. Des larmes de joie, d'un bonheur lié à mon métier, ma vocation.

 

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Mais je n'oublies pas le temps passer à les sermonner, à les engueuler, à les maudire. Les larmes de fatigue quand on passe plus de temps à faire de l'éducation, du civisme et parfois de la simple politesse. Les générations ont changé avec de nouveaux repères, parfois aucun. Je me bats car je crois en ce transfert de connaissances, en cet enseignement qui construira les bases e leur métiers, de leurs vies, de leurs passions. J'aime ce métier si dur, mais j'aime ce milieu, cette école en zone où il y aplus de famille au chômage, en difficulté, en marge d'une société qui les fragilise toujours plus.

 

Mais je reçois leurs bisous, leurs boîtes de chocolat, des fleurs, des petits cadeaux qui viennent souvent du coeur, des larmes des deux côtés. Les filles comme les garçons, ils laissent une dernière bise, avec un coin de vérité, celui de l'enfance, d'une relation entre un groupe et une professeure, entre deux êtres dans un océan de tables et de chaises.

J'ai des larmes, ce n'est pas un manque, parfois c'est plus proche d'une libération, mais toujours ce métier pas comme les autres, il y a un échange. Les petits messages entre tous.

 

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Je sèche mes larmes.

Pour un été de vacances, de préparation de la prochaine rentrée. Un été au féminin, dans la mode et mes passions, chevelure libre, dans la chaleur de mes lectures.

 

Nylonement

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29 juin 2012 5 29 /06 /juin /2012 08:45

Après de longues années comme vendeuse dans diverses chaînes de prêt-à-porter, j’avais pris cette petite boutique. Une nouvelle autonomie, loin d’une petite chef qui changeait chaque année, qui cédait à la pression en ouvrant son parapluie, opprimant en retour ses subordonnées. Aucune chance de progresser, pour chaque fois des raisons différentes, l’âge devenait un handicap, même si l’inexpérience des jeunettes nouvellement embauchées, était une jambe de bois plus évidente.

 

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Libre depuis quelques jours, après un départ négocié, libre de gérer maintenant son temps, ses horaires d’ouverture et de fermeture, libre d’agencer les petites robes d’été par couleur, par longueur, par matières, par envies, par tendances, libre de ne pas être la petite main soumise à un modèle marketing obligatoire.

 

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Libre de créer une vitrine à son goût avec des petites touches vintages comme des bottes anciennes, un corset des années 50, des gants en soie, une paire de bas nylon, un univers féminin dès le premier regard. Mon boudoir était là, au milieu du tourbillon, pour les clientes habituées dans ce quartier à des enseignes qu’elles retrouvaient dans tous les centres commerciaux. Je proposais des robes taillées, confectionnées et cousues dans l’arrière-boutique,  fait maison, avec des patrons anciens. Des pièces quasi uniques au gré des envies de matières, des rouleaux de tissus achetés çà et là, des bouts, des pièces, des satins, des soies, des mousselines, des essais romantiques ou parfois chaotiques, gothiques récemment. Les clientes trouveront des coupes néo-rétro mais revisité dans le classicisme d’un jersey fluide ou d’un vynil étonnant.

 

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Je vois ainsi défiler des jeunes femmes qui adorent l’excentricité avec une forme corolle, des petits plis qui brillent. Je pousse les infos sur le net, sur les blogs, sur ma page facebook, je twitte. Je paye ma community manager, une babydoll un brin kawaï en lui cousant et en lui créant des modèles uniques.

 

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Une fois par quinzaine, elle passe, elle anime mon réseau, ma publicité 2.0, je lui envoie les photos au fur et à mesure des créations. La boutique vit sur le net et dans derrière cette devanture. Puis je lui montre les nouveautés, elle essaye, elle adore se glisser dans mon bonbon géant, une cabine d’essayage rose, capitonné en velours rose, avec des miroirs roses, une chaise de princesse rose ! Elle passe sur sa paire de bas nylon, des robes de couleurs, jouant avec ce nouveau cuir rose plissé en minirobe, avec ce col claudine jaune citron sur une robe pull tilleul. Elle adore ces moments, défilant dans la boutique vide le soir, draguant mes mannequins de bois, plotant les fesses de mon groom en tutu. Nous sommes devenues amies, par hasard, elle faisait un stage dans un grand magasin, nous avons partagé nos rêves un midi en mangeant nos déjeuners, en parlant mode. Elle m’avait montré ses fantaisies virtuelles, ses mondes féeriques du web. Je lui avais parlé de mon rêve, cette boutique.

 

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Nylonement

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27 juin 2012 3 27 /06 /juin /2012 06:24

Petit matin d’été, une fraîcheur toujours aussi marquée, une canicule de froid  se glisse sous forme de courant d’air, sous leurs tuniques. Les jambes nues frémissent, encore blanches d’un manque de soleil, elles discutent coincées derrière un panneau de publicité.

 

Elle travaille depuis des années dans une grosse entreprise, avec un statut semi-public, elle a tout vécu depuis son embauche sans diplôme mais avec tant de places. Elle a appris sur le tas, passant de simple assistante, en charge des photocopies, de l’archivage à un poste rattaché aux ressources humaines. Année après année, elle est devenue une responsable de pôle, en charge des recrutements des employés de terrain, de leur suivi de carrière, de leur reclassement interne après chaque réorganisation ou évolution technologique. Elle est heureuse, elle est en formation sur les nouvelles règles RH, une mise à jour annuelle suivant les instructions nouvelles issues des trop nombreuses lois. Elle a mis son pull noir, sur une jupe en coton corail, de petits talons chics. Un passe-partout en harmonie avec son âge. Un petit collier de perles de verre, elle adore le caresser en parlant, un cadeau de sa petit fille.

 

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Face à elle, la fille d’une voisine, elle vient de la rencontrer, éloignée depuis quelques années par ses études, son récent mastère en communication en poche. Une jeune fille en collant noir, en jupe boule satinée, avec elle aussi un petit pull noir, à manches courtes, agrémenté de dentelle, elle sert dans ses bras son sac en vynil brillant. Un joli trait d’eyeliner, deux couleurs pour illuminer ses yeux, elle resplendit de cette jeunesse conquérante et fière. Elle écoute les conseils de cette femme sur son contrat de stagiaire. Assidue, elle pose des questions, la transmission de connaissances entre deux générations passe. Chacune donne et reçoit des informations, aujourd’hui pour le business et les emplois, demain sur la mode.

 

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Elles s’échangent des sourires, des mines interrogées, des banalités sur les pièges des contrats, des horaires et de la mutuelle. Elles parlent des congés maintenant, l’une s’inquiète, avec sa main elle accompagne ses cheveux, en tire la pointe, les roule sous ses doigts, la vie n’est pas si simple. Elles papotent des conditions de transport, des bureaux trop petits, trop grands et impersonnels, de ce boulotqui dévore un tiers de notre vie.

 

 

Pour finir, comme un dernier conseil, la plus âgée la prévient des chefs un peu trop pressants, des blagues douteuses, des cafés uniquement dévolues au service des femmes dans une réunion. La jeune écoute, finalement tire un peu sur sa jupe, presque gênée intérieurement de mettre en valeur sa jeunesse, dans un tailleur sobrement chic, très business. Elle sourit, consciente que sa génération devra devenir chef avant les autres femmes, et donner une autre version de ce rapport femmes-hommes au travail. Après toutes ces paroles, elle aura une armure cachée sous cette veste cintrée, sous cette jupe, sous son collant.

 

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Nylonement

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14 juin 2012 4 14 /06 /juin /2012 12:36

Au cœur de ce beau quartier chic et vivant, elle assurait chaque jour le service de cette brasserie. Quarante ans de labeur, depuis si longtemps qu’elle avait oublié sa date d’embauche.

Adolescente, sans formation, elle était rentrée chez cet auvergnat, sans recommandation, mais juste avec un nom du cantal, un sourire, un décolleté si frais. Elle avait fait la plonge pendant trois ans, dormant au-dessus de la brasserie, au fond du couloir. Un coin à elle, loin de sa province, de son cantal, de cette famille où la belle-mère ne l’aimait pas, elle était partie, tournant le dos à une époque.

 

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Puis chemin faisant, elle a pris les assiettes, gérée les commandes, en aidant le patron le soir. Un vieux qui rêvait du pays, qui lui parlait de montagnes, de sorties et de vaches. Le week-end elle pouvait manger chez lui, avec sa femme, la caissière, des plats mitonnés, de la tradition, des larmes parfois derrière une roue de Salers. Mais jamais elle n’était repartie, elle flânait dans Paris, dansait dans les bals, fréquentait sans conclure malgré des jambes aiguisées par des talons, des kilomètres de marche par semaine, des allers-retours vers la cuisine, la terrasse, à mettre en place, à servir, à ranger. Elle adorait ce métier harassant, qui dépassait les cinquante heures par semaine. Ce contact avec les clients, les habitués mais aussi les touristes, les VRP de passage, elle aimait parler, de tout et de rien, prendre des clichés dans sa mémoire pour servir encore plus sereinement les plus fidèles.

 

Elle avait vu les bougnats partir, les suivants investir, et demander plus pour changer tout et revenir aux habitudes de la brasserie, du café, à la tradition. Les années passaient, les décennies avec, elle bossait, affûtant ses jambes, sa petite jupe sur des hanches plus larges, le temps faisait son travail, mais son buste était toujours fier dans son chemisier blanc. Elle était la femme, la seule femme du lieu, au milieu des quelques serveurs, et des rares stagiaires, trop jeunes, trop peu motivés.

 

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Elle menait la salle, ordonnait en cuisine, couchait avec le chef depuis que ce jeune trentenaire avait craqué pour ses gambettes, sa maturité, sa force sensuelle. Il était inspiré à chaque saison pour les plats en fonction des fraîcheurs du marché, mais il était encore plus inspiré en la voyant virevolter entre les tables, lui glissant un bisou entre deux commandes, la tête entre deux portes. Sa silhouette semblait éternelle dans ce lieu, pour les jeunes devenus moins jeunes, pour les clients qui avait vu passer plusieurs patrons mais toujours leur « Dame de Zinc ». Un surnom donné par un poète de fond de bouteille, un ami désœuvré qui rangeait les tables le soir, en toute saison, mangeant gratis pour cela. Elle l’avait imposé, année après année.

 

Elle était cette femme qui aujourd’hui n’envisageait pas encore la retraite, mais avec un regard derrière elle, sur ses belles années dans ce lieu. Tant de souvenirs.

 

Nylonement

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Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

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Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

Vous avez des stocks de pochettes vintage, des photos associées, contactez-moi pour compléter le musée.

 

 

COPYRIGHTS

Les photos sont ici uniquement à titre non marchand comme l'ensemble de ce blog non-commercial, pour un référencement, en l'honneur des marques citées, pour un usage d'hommage à la Féminité. Si toutefois, j'oublie une référence (encore faudrait-il qu'elle apparaisse en récupérant cette image sur le net, sur Pinterest et ailleurs) ou je suscite un souci de droit à l'image ou aux copyrights, contactez-moi par email gentlemanw@nylon-volupte.com.

L'image sera retirée dès que vous nous préciserez laquelle. Merci.

 

Copyrights pour tous les articles de ce site. Si vous faites référence à un article, précisez le nom de ce blog avec son lien.

 

Recherche ???

Aimez + Aidez

 

Cancer, trop proche de nous.

Faites un sourire et soutenez l'autre !

Nous sommes tous acteurs de la santé de nos proches et de nos familles.

Cette maladie frappe le col de l'utérus, les seins, la thyroïde, la prostate, le plus couramment et ailleurs aussi !

Alors soutenez vos ami(e)s, vos parents, votre compagnon et votre compagne.

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www.ligue-cancer.net

Aimez vous les uns et les autres

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www.cancerdusein.org

 

 

Aimez-vous,

Protégez-vous !

Vivez !

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www.info-depression.fr

 

 

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ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

Bas-Nylon-mais-alors !

Bas Nylon, quel talon ?

Je-suis-alle-au-paradis des Bas Nylon

 

Site web uniquement accessible pour les membres.

 

Coups de Coeur

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Mes coups de coeur, ceux où je passe régulièrement sur leurs blogs, pour leurs contenus, leurs photos, leurs articles, leurs humeurs, leurs amours, leurs critiques. Inspiration passgère, amitié ou même coup de foudre, souvent un univers de mots, de douceurs et de libertés ...

martiennes.wordpress.com  justement féministes

bebarock.com juste pour les femmes !

cameline.org prodigieuse exploration mode du temps

bellesetbiendansvotrepeau conseils beauté

leblogdebetty.com mode et sourires 

dameskarlette voyageuse en images

thebrunette.fr incroyablement élégante

lheureuseimparfaite blog féminin et impertinent

le-blog-enfin-moi.com féminité, mode et sourires

leblogdelilou féminité au quotidien

fashionandcookies  fashionista 

valimero-fashion-addict.com modeuse la + souriante du net !

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folievintage.fr un lieu pétillant & glamour

blog.plafonddeverre.fr réalité féministe

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citizencouture.com la mode online

misspandora.fr super-fée de mode

leblogdebigbeauty.com ronde et alors ?

modeuse.com j'aime depuis le début

garancedore.fr oui, encore elle

...

Et si vous n'êtes pas ici, c'est pas un désamour, plutôt un oubli, 

et la liste serait peu-être un peu longue (environ 200 sites de références)

mais je vous visite régulièrement, bises à toutes !