18 mars 2019 1 18 /03 /mars /2019 06:30

Ce week-end  a vu tomber des éclats de pluie, des rayons de soleil mêlés d'arc-en-ciel et tout autant de particules de grêle sur ma terrasse. Les jeunes narcisses ont courbé le dos, plié sous les trombes excessives de vent, souri au bel astre chaud revenu ensuite entre deux nuages.

Pendant ce temps, elle a joué avec ses enfants, riant de leurs entourloupes autour d'une table avec un jeu de société, expliquant vainement des règles incomprises, jouant au mieux pour satisfaire le plaisir partagé avec les enfants de différents âges. Jus d'orange, jus de fraises et de kiwis-carottes mais aussi un thé pour que chacun puisse boire à volonté, riant de leurs bêtises, mangeant avec gourmandise les madeleines encore tièdes, un bel univers intérieur en action. Dehors, la météo est encore instable, le jardin profite de tout cela pour se réveiller doucement, les oiseaux dévorent les premiers insectes, le chat les regarde, blotti sous la table, loin de la pluie.

 

Mais aujourd'hui, quels vêtements va-t-elle choisir pour sa journée de maman-femme active ?

 

Fera-t-il chaud enfin, pour annoncer le Printemps ? ou encore ces vents froids d'Hiver frappant aux fenêtres, bousculant les piétons à la sortie du métro ?

 

Hiver ou Printemps

 

Elle hésite, ouvre son armoire, regarde ses robes sur les cintres. Quelle couleur ? quelle matière ? car il faut toujours combiner l'impossible entre le moment où elle sera devant l'école, entre sa voiture et la porte d'entrée, dans la foule et dans l'attente, avec les dizaines d'autres gamins et parents, avec son manteau sur elle, puis ensuite dans ce parking ouvert à tous les vents, juste avant de monter dans le métro. Endroit chaud propice  l'entassement des heures de pointe, le manteau devenant trop épais, la promiscuité empêchant tous mouvements, la chaleur toujours plus prenante de stations en stations, puis la libération, avec les cinq cents mètres de rue à parcourir. Une avenue avec de beaux arbres, le chant des oiseaux, la météo en direct, chaud ou froid, puis cette place et là-bas les bureaux de cette tour en verre. Elle entre dans le hall climatisé, actuellement dans une ambiance serre tropicale, trop chaud pour la saison. Soudainement son manteau est de trop, sa robe de mi-saison demande sa cousine de Printemps. Ici cette saison est a référence. Vingt degrés celsius en permanence, et donc une mode adéquate est demandée. Oui mais l'été derrière les vitres, la climatisation compense avec des flux d'air froid, donc un gilet est alors indispensable. Paradoxe de notre monde, il ferait presque plus froid ici l'été que durant l'hiver. 

Aucun coach de mode n'a réussi l'épreuve de devoir trouver la robe, la tunique ou le tailleur idéal pour vivre en toutes saisons. Elle en souri parfois, oubliant la météo pour se plonger dans le boulot, les rapports et les réunions, avant de repartir vers sa maison, ses enfants. Le grand écart du chaud et du froid, du corps en contact direct ou caché sous les couches de mode pour répondre au mieux à son confort. Mais avec élégance.

 

Alors aujourd'hui, tunique de laine grise, ceinture kimono en cuir, bottes et collant noir opaque, sous un trench doublé. Et elle passera entre les gouttes avec son parapluie et son sourire.

 

 

Nylonement

 

Hiver ou Printemps
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26 janvier 2019 6 26 /01 /janvier /2019 07:00
Bonjour Mamie !

 

Avec ce temps froid, ce vent si glacé qu'il arrive à me refroidir malgré mon snood en laine et ma capuche, je sonne et je pousse la grille du jardinet. Elle est là, juste derrière sa porte ancienne, avec une grille en fer forgé patiné par les décennies. Ma mamie m'accueille au chaud, dans ce "chez elle" où tout est différent.

La chaleur, car il fait toujours un peu trop chaud, c'est l'âge qui veut cela. Un chauffage et pourtant elle allume, tous les jours de l'automne et de l'hiver, sa cheminée. Celle-ci crépite dans le petit salon, car ici les dimensions sont d'origine, une cuisine tout petite, à peine assez grande pour y poser les casseroles, encore moins pour mettre une table pour quatre. Alors j'aime me lover dans la salle à manger, avec un chocolat chaud, des tartines grillées de bon pain et sa confiture maison. Avec des fraises caramélisées dans leur jus, entières parfois, provenant du fond du jardin, juste derrière cette fenêtre. Vous pourriez voir Maigret traverser les lieux, sans être surpris, car le mobilier, ce vaisselier par exemple, est dans son odeur d'origine. Cire d'abeille, poussières un peu aussi, vieux tapis et quelques vieux rideaux, elle n'a plus envie de changer. Elle trouve de toute façon le design suédois de mon studio un peu morne pour ne pas dire triste. Alors des cuivres sont posés çà et là, des théières anciennes aussi, avec quelques écharpes en cours. Oui elle tricote, elle commence souvent, finit parfois mais pour l'hiver suivant. L'amusement reste sa motivation, car dès qu'il fait beau, elle sort marcher dans son jardin ou dans le parc voisin, avec des amies. Le club des veuves, dit-elle en rigolant.

 

Bonjour Mamie !
Bonjour Mamie !

 

Sinon, elle peint dans son atelier, l'ancien bureau de son feu-mari, une expression qui me surprend toujours, dès qu'un rayon de soleil entre dans la pièce. Et puis il y a un salon minuscule, plutôt une bibliothèque minuscule avec des tas nombreux de livres, des piles qui tombent et reprennent forme, mélangeant les lectures en cours et les romans jamais finis. Elle écoute de la musique sur des vinyls vintage, elle aime vivre en dehors de son temps, mais un ordinateur portable n'est jamais loin car elle adore internet pour parler avec sa petite famille éparpillée en province et même à l'étranger pour les études. Mais son réel trésor, c'est l'étage avec les trois chambres, le carrelage ancien, la salle de bains avec sa baignoire des années 60. Dans l'une des pièces, elle stocke toute sa garde-robe depuis sept décennies, sans rien jeter. Très coquette, très charmeuse et élégante, depuis sa jeunesse, elle coud, elle achète et conserve sa mode. Alors pour ses petites filles, c'est un voyage dans le temps. Avec les accessoires de chaque époque, des gants et des chapeaux, et toutes ses chaussures. Nous avons prié pour avoir la même pointure, pour pouvoir nous glisser dans ses bottines, ses escarpins et ses bottes, finalement, ce sera les robes, même si moyenne nous faisons quinze bons centimètres de plus qu'elle. Mais la même taille, la même poitrine, juste des jambes plus longues. Aujourd'hui je viens pour trouver quelques perles pour le weekend, des balades avec des amies, un resto avec mon amoureux. Elle rit et dans ses yeux elle savoure ce bonheur de la transmission durant les essayages. Pour cette robe, elle cherche dans un tiroir plus que rempli des gants et ajoute des bas nylon avec couture. Un clin d'oeil sur sa féminité, sur cette mode qui redevient à la mode, sur cette touche de volupté pour soi. Je l'adore. 

Merci Mamie.

 

 

Nylonement

Bonjour Mamie !
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21 novembre 2018 3 21 /11 /novembre /2018 22:05

Premier givre d'hiver même si le calendrier indique Novembre donc l'automne, je ne voyais plus la pelouse extérieure mais une étendue blanche et froide. Au-delà de ma vision, la température égarait mes ressentis car le vent venait de s'engouffrer dans mon manteau encore ouvert. Un peu surprise dans mes habitudes avec cette nuit installée maintenant au-delà de mon départ, le noir estompé certes par les lampadaires allumés et leurs lumières jaunâtres sur les trottoirs en marge de ce jardin central dans la ville, je tentais de trouver de nouveaux repères. Avec en premier lieu, mes gants perdus dans mon grand sac à main, emmêlés dans les coins et recoins de cet espace au féminin, je m'étais arrêtée pour les enfiler au plus vite, pour oublier ce froid mordant. Enfin, mon écharpe remise autour de mon cou, sans aucun accès pour la brise, mon manteau zippé de bas en haut, je pouvais avancer vers l'arrêt de bus. Toujours mes yeux sur ce chaos givré de mille et uns pics de glace sur autant de pics d'herbes, et quelques boucliers plus larges formés par les feuilles mortes des érables voisins, ce spectacle fascinant de la nature rappelait l'entrée dans ce tunnel des saisons froides, jusqu'en mars prochain.

 

Une petite sonnerie, quelques passants comme moi, je montais pour trouver une place assise, dans la chaleur rassurante des transports en commun. Devais-je sortir mon livre ? Lui aussi prisonnier dans mon sac, sûrement tombé tout au fond, coincé sous un agenda et une de mes trousses à maquillage, je doutais de ce choix pour occuper mon temps durant les vingt prochaines stations, surtout avec aucune envie de retirer mes gants, de perdre cette protection contre le froid. Il semblait entrer partout, profiter de toutes les opportunités pour me geler, pour m'embrasser le moindre pli du cou, se faufiler sous le manteau. M'envelopper de sa sensation malsaine. Je ne voulais pas de lui en plus de ce manque de lumières. 

 

 

Fine glace

Heureusement à cette heure, en ce samedi matin, peu de monde montait dans sur cette ligne, limitant les ouvertures de portes, les moments glacés avec les courants d'air. Rien à faire si ce n'est regarder le lever de soleil sur les allées de platanes des grandes avenues de la ville, entre les résidences et autres alignements de petites maisons de banlieue. Le rose et le violet soulignaient l'horizon, le orange marquait les contours vers le ciel partiellement bleu mais encore plongé dans le noir, un presque noir chargé de quelques étoiles encore lumineuses.

 

Je pensais déjà ma boutique, à ma librairie et ses livres sages. Mes étagères, mes entassements de livres d'occasion, mes tables avec les nouveautés, mon coin lecture pour les enfants, ce banc en bois patiné par tant de lectures de bandes dessinées, par tant de contes et d'histoires de princesses. Mon univers était là-bas après le troisième feu tricolore, la devanture bleue avec ce givre blanc sur la vitre, sur les deux arbustes, résistants, plantés dans de grands pots extérieurs, en grès émaillé bleu roi, je les distinguais déjà.

Mon premier geste irait vers le radiateur pour raviver la chaleur, puis vers la machine à thé et à café. Je pourrais alors poser mon manteau, mon écharpe et mon sac, ainsi que mes gants. Avec mes chaussures de cuir épais, mon collant en laine gris chiné, ma tunique de laine, mon univers de papiers et de mots, ce tout qui me rassurait et m'enveloppait de sérénité, le jour s'affirmerait. La petite clochette de la porte attendrait mon premier client, et le givre s'effacerait de lui-même pour revenir demain.

 

Nylonement

 

 

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23 octobre 2018 2 23 /10 /octobre /2018 15:30

Quel coup dans le dos ! Ce vent si fort soudainement, qui m'emporte sur la plage, qui me pousse dans ses tourbillons. Une rafale plus intense, puis d'autres, je suis quasiment soulevée du sol, les rares parasols s'envolent complices de mon instabilité, tels des parachutes ascensionnels vers les nuages. La marée a changé la météo en quelques heures, chassant le ciel bleu pour le remplacer par des brumes, des nuages épars puis un front bas moutonneux, épais. Quel changement soudain, et moi en pleine balade, j'ai été surprise par cette vivacité. Sur les planches ou sur le sable, mes pas sont devenus incertains, voguant sur le pont d'un bateau invisible sur une mer démontée de courants terrestres. Les autres personnes se plient en deux pour rejoindre les bâtiments proches, car si ce n'est pas une tempête, c'est simplement une manifestation aérienne très vive qui nous secoue. Alors tel ce papillon happé dans un ventilateur fou, je cherche mes marques, tel un pantin désarticulé jouant avec les éléments, je rejoins les planches, cette allée protégée en partie. Je me retourne pour ne rien voir, juste une mer presque calme avec de nouvelles vagues, une plage totalement vidée de toutes âmes, lisse et sans fin. Chahutée !

 

Moi qui avait besoin de ce bol d'air pour oublier pendant quelques jours, ma vie et mes emmerdes, je viens de chasser mes angoisses au passage. Un coup de vent et me voilà sur terre, décomplexée d'avoir fait rire l'assemblée avec ma démarche chaotique, ma silhouette fine de parisienne, entre baskets, leggings et doudoune, élégante mais peu appropriée pour ce tour de danse. Un tourbillon pour chasser les touristes en ne laissant que les goélands hilares de pouvoir planer, et surtout virevolter d'un simple coup d'aile. Les acrobates se régalent. Je ris enfin, assise sur ce banc, face à cette mer verte tâchée d'écume. Le vent continue avec moins d'intensité, il balaye l'espace, effectue une remise à zéro des lieux, expulsant le dernier parasol planté dans le sable, parti vers le ciel, vers un ailleurs indéfini entre gris et bleu.

 

Emportée par le vent

Avec ce thé chaud, ce nuage de lait offert avec malice par le barman "un nuage sans le vent, Madame", je regarde maintenant l'automne prendre place ici sur cette plage. Le soleil sera là cet après-midi me précise les habitués, mais je savoure cet air frais. Je le disais, j'en ai follement besoin pour me retrouver. Dans une petite maison prêtée par une amie très proche, tel un cocon rassurant, je peux écouter uniquement de la musique, sans tentation pour regarder la télévision et ses informations négatives et ses séries sans intérêts. Pas d'écran plat, juste des piles de cd, de tous types, des surprises piochés au hasard des décennies, du classique au jazz en hésitant aussi sur de la new-wave. Musique et repos sans regarder la montre, en oubliant le téléphone dans un coin de pièce, juste consulté deux fois par jour, pas plus. Déconnexion avec mon monde, mon travail, ma famille et même mes amies. Loin d'eux pour me recentrer sur moi-même, non par égoisme mais par envie d'être seulement avec mes contraintes, mes douleurs et mes rêves. Chacun prenant sa part dans mon espace intérieur. A tour de rôle, mais me laissant le choix de trouver, d'envisager de trouver une solution à un avenir commun avec mes émotions prisonnières. 

 

Le vent m'a bousculée. Je regarde, les deux mains entourant la tasse chaude, j'observe le sable qui façonne de nouvelles courbes, redessine la plage. La mer monte, les vagues envahissent, petit à petit, les creux, avalent les pentes. Je cale mon rythme cardiaque sur ce lent travail, libérant du bonheur par le calme intérieur retrouvé dans cette déferlante extérieure de vent. Je suis bien, en harmonie, n'oubliant pas tout de moi, absorbant cette nature toujours plus forte, me ramenant à l'essentiel. 

 

 

 

Nylonement

 

 

 

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NYLON-VOLUPTE ??

Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

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Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

Vous avez des stocks de pochettes vintage, des photos associées, contactez-moi pour compléter le musée.

 

 

COPYRIGHTS

Les photos sont ici uniquement à titre non marchand comme l'ensemble de ce blog non-commercial, pour un référencement, en l'honneur des marques citées, pour un usage d'hommage à la Féminité. Si toutefois, j'oublie une référence (encore faudrait-il qu'elle apparaisse en récupérant cette image sur le net, sur Pinterest et ailleurs) ou je suscite un souci de droit à l'image ou aux copyrights, contactez-moi par email gentlemanw@nylon-volupte.com.

L'image sera retirée dès que vous nous préciserez laquelle. Merci.

 

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Cancer, trop proche de nous.

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Alors soutenez vos ami(e)s, vos parents, votre compagnon et votre compagne.

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ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

Bas-Nylon-mais-alors !

Bas Nylon, quel talon ?

Je-suis-alle-au-paradis des Bas Nylon

 

Site web uniquement accessible pour les membres.

 

Coups de Coeur

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Mes coups de coeur, ceux où je passe régulièrement sur leurs blogs, pour leurs contenus, leurs photos, leurs articles, leurs humeurs, leurs amours, leurs critiques. Inspiration passgère, amitié ou même coup de foudre, souvent un univers de mots, de douceurs et de libertés ...

martiennes.wordpress.com  justement féministes

bebarock.com juste pour les femmes !

cameline.org prodigieuse exploration mode du temps

bellesetbiendansvotrepeau conseils beauté

leblogdebetty.com mode et sourires 

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thebrunette.fr incroyablement élégante

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estelleblogmode.com  mode souriante

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...

citizencouture.com la mode online

misspandora.fr super-fée de mode

leblogdebigbeauty.com ronde et alors ?

modeuse.com j'aime depuis le début

garancedore.fr oui, encore elle

...

Et si vous n'êtes pas ici, c'est pas un désamour, plutôt un oubli, 

et la liste serait peu-être un peu longue (environ 200 sites de références)

mais je vous visite régulièrement, bises à toutes !