13 avril 2021 2 13 /04 /avril /2021 06:04

Ce premier week-end depuis des semaines, depuis des mois, j'ai perdue la notion du temps, je ne sais plus quel jour nous sommes. Juste ce calendrier posé sur la commode de l'entrée, le courrier en vrac, un lieu de passage où je n'ai fait que des allers-retours depuis l'année dernière, depuis février. A ce moment où nous avons basculé dans une autre dimension, sur une planète d'urgence, de débordements, d'entrées nombreuses, très et soudainement trop nombreuses. Nous n'avions plus de lits, pas de solutions, pas d'idées sur ce qui nous arrivait, nous les entassions en nous protégeant au mieux. Du matériel, des indications, des contre-indications, un part de mystère, des médecins, des responsables un peu perdus mais avec des capitaines convaincus avec leurs navires glissant vers la tempête. Je regardais ce spectacle assise par terre, fatiguée, le dos collé au mur d'une chambre où il venait de mourir. Oui, ils arrivaient faibles, malades et nous ne savions pas ce qu'il fallait faire. Et quand nous avons eu des débuts de solution, nous étions déjà en train de chavirer, l'eau entrant de toutes parts, les brancards bloquant les malades incertains, les morts pestiférés. Personne n'était prêt pour cela, et le manque de moyens nous enfonçait dans cette fatalité complète. Nous avons accepté de vivre sur place, de ne plus rentrer chez nous, de dormir là, par terre dans ce coin de réserve, dans cette salle d'attente vide de familles. Ils ne venaient plus voir leurs défunts, c'était interdit par peur de la contagion, avec ce mystérieux virus. Sans savoir, mais dans la contrainte, j'ai continué, j'ai tiré une énergie dans mes piles vides, j'ai mangé les petits plats apportés par des restaurateurs si gentils, par des familles infiniment reconnaissantes. Non ici, nous n'avons pas entendu les applaudissements car je n'étais pas chez moi, dans mon petit immeuble, dans mon appartement cocon. 

Tout cela pendant des semaines, des mois, car confinement ou pas, les moyens ont manqué, si mal organisé, puis le personnel a manqué, puis le repos est devenu un concept surréaliste. Absolument abstrait. Des zombies soignant des personnes malades, dans une routine effrayante financièrement, dans une logique économique impossible à défendre car chacun y trouvait à redire, dans un tourbillon d'humanité bien réel. D'ailleurs c'est lui qui a été notre seul moteur car nos métiers du secteur médical sont des vocations en premier lieu. Pas une simple fonction, un simple agenda avec un nombre d'heures dans un tableau excel. Nous avons travaillé, encore travaillé, au-delà de l'entendement, à bout de forces, au-delà de nos limites, nous avons crié notre désespoir face au mur des politiques, face aux défunts trop nombreux. Nous nous sommes épuisés, écroulés, nous avons explosé en vol, pour essayer de trouver quelques heures d'affilée de réel sommeil, avant de reprendre une journée de plus, une semaine de plus, avec un samedi, un dimanche, un jour par-par-ci par-là. La notion de week-end s'est effacé de mon planning, j'ai bossé pour sauver des vies. Ma vie.

 

 

Froissée

Et là dans cet appartement, je ne me retrouve même plus. J'avais déménagé fin 2019, juste avant le rush. J'ai encore des cartons dans les coins du salon, des meubles sont encore en mémoire de mes possibles achats, dans mon ordinateur portable endormi depuis des mois. Je ne me souviens plus quand j'ai changé les draps, je ne me souviens plus de la dernière lessive de mes propres vêtements. Ces petites robes d'été à peine sorties mi-août pour deux restos avec des copines, avec ma mère de passage à Paris. Sinon le reste du temps je suis en pantalon, en blouse ou tunique médicale, du professionnel pour tous les jours. Sans parler des surblouses, des tenues jetables, enfilées chaque matin, chaque soir, toute la journée, retirées pour être remplacées par d'autres tenues. Nous avons eu une période encore plus folle, avec des surblouses taillées dans des grands sacs poubelle. Rien pour se défendre, sans même savoir le degré de contagion, de dangerosité surtout de ces virus mutants. 

Des semaines, des mois et rien de plus, rien dans le frigo, je n'ai même pas eu le temps de prendre connaissance des magasins de ce nouveau quartier. Et puis de toute façon quand parfois je rentre, trop tard, tous sont fermés. Je n'ai pas eu le temps de dépenser le moindre euro durant les soldes. Même pas via l'ordinateur de la salle de pause, je me suis endormi plusieurs fois simplement en lisant les emails des amies et de la famille. J'avais plus d'énergie en moi, alors pour la mode, je me suis contentée des années passées. Même pas une paire de chaussures, ah si, une paire de bottines. J'ai négocié avec la  patronne par téléphone, car je l'avais vue, j'avais craqué pour cette paire plein cuir noir et rouge, sobre dans le design, avec des talons très fins. Mais avec une boutique toujours fermée, alors j'ai commencé avec des mots écrits glissés sous la porte, un numéro de téléphone, un paiement en liquide dans une enveloppe, sans jamais croisée la patronne de cette petite échoppe. Mon code pour la porte du porche de mon immeuble, et un soir, deux semaines plus tard, les bottines dans ma boîte aux lettres. Une étoile dans la nuit, ce soir-là, très fatiguée, j'ai pris une douche chaude et parfumé pour retrouver mon odeur, pour éloigner celle de l'hôpital. Je me suis glissée dans un collant opaque, avec une petite robe noire, simple et follement plus féminine que mes vêtements de mes dernières journées. Les bottines étaient sur la table basse du salon, je les ai chaussées. Et je me suis endormie ainsi. Habillée, épuisée toujours. Heureuse.

Elles sont encore là sur la table basse, avec des verres et un bouteille vide de jus de pommes, quelques bricoles et des restes de junk-food.

Je vais prendre une autre douche, avec beaucoup de parfums pour voyager jusqu'à chez moi.

 

Nylonement

 

 

 

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10 février 2020 1 10 /02 /février /2020 19:50

Je ne sais pas pour vous, mais les médias, presse, télé ou radio, tout cela renvoie des images nombreuses d'une société angoissante, totalement en perdition. Parfois je surligne le tout d'un laconique "on va tous mourir !" comme si cette fin inéluctable s'approchait toujours plus vite, dans un tourbillon dévastateur imposé. Et encore je passe outre les réseaux sociaux, sources sans fin de nouvelles catastrophes et autres complots délirants mêlés des haines les plus variées.

 

Je rêve d'un monde plus rose, plus bleu, plus vert, plus coloré c'est sûr, avec de bonnes nouvelles au quotidien, car il y a tant de belles choses, de partage entre les êtres humains et notre nature. Chacun verra ce que ses yeux souhaitent voir, osent regarder vraiment sans ajouter une vision sombre et une avalanche de critiques révolutionnaires remettant en cause toutes beautés et surtout toutes les réussites de notre monde actuel.

 

Oui, je REVE d'un monde meilleur, pour moi, égoïstement, pour mes proches, pour mes amis, pour toutes celles et ceux qui rêvent d'une liberté commune, avec des valeurs vraiment communes. J'idéalise de façon trop vertueuse probablement mon quotidien, mais j'aime tant me reposer les neurones, entre deux activités professionnelles, avec des instants délicats. Non pas avec des angelots et des douces clochettes, en voyant passer des licornes enveloppées d'un nuage de paillettes, poudrées d'un parfum de marshmallows, mais juste en prenant un peu de recul, en ouvrant bien les yeux autour de moi.

 

Petit instant de douceur

 

Pour entendre des personnes qui se disent 'bonjour', 'au revoir' et osent 'à bientôt', car même s'ils ne se connaissent pas ou peu, ils ont ce savoir-vivre ensemble naturel, sans équivoque, juste le sourire en plus.

Pour voir ces couples d'amoureux, de tous âges, les petits jeunes encore rougissant d'une premier baiser qu'aucun n'ose proposer, les plus anciens, avec chacun une canne mais deux mains nouées par le temps. 

Pour apprécier les gens qui se parlent devant les écoles, les mamans pipelettes, les passants prenant le temps d'aider les personnes à mobilité réduite, les petits magasins de quartier où l'on vous accompagne jusqu'à votre voiture, avec un 'merci' partagé.

Pour partager cette empathie, naturelle chez certains, comme moi dans mon métier, dans ma nature, ce petit plus formant les prémices d'un contact rassurant. Car là devant moi, je vois alors des gens heureux, un espace de sérénité bien réel. Naturellement les uns croisent les autres, se parlent, s'aident, se mélangent, s'aiment aussi. 

Pour voir ce papy avec sa petite fille croquant un croissant tout en écoutant des histoires, ou cette mamy accompagnant ses petits enfants en chantonnant avec eux des comptines, ou répétant les règles de grammaire en rigolant. Dans cette rue, il y a aussi d'autres enfants, des adolescents et des jeunes adultes, élèves devenus étudiants, avec des conversations plus posées ou plus enflammées, des rires forts et là encore des amours naissants.

 

Je vous assure, ils existent, je les vois, je perçois la positif de leur existence, leurs joies, parfois leurs doutes, mais surtout cette envie de vivre, de craquer pour la mode, pour la musique, pour cette série, pour des folies et d'autres rêves.

La vie est belle.

Encore plus avec des plumetis ;-)

 

 

Nylonement

par Gentleman W

 

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6 janvier 2020 1 06 /01 /janvier /2020 15:07

Ce matin, je souriais de sa présence anecdotique, là sous le miroir, deux brosses à dents, la sienne et la mienne. Nous étions un couple, à travers ce simple duo, bleue pour lui, rose pour moi. Je me coiffais dans ce long miroir, adapté à nos deux hauteurs, pas trop haut pour moi, pas trop bas pour lui. Un modèle qui fusionnait nos différences dans un sourire malicieux lorsqu'il l'avait installé. Je me coiffais en pensant à lui, ma nouvelle couleur, mes cheveux un peu plus courts, à la juste longueur, pour entourer mon visage, pour lui donner un joli flou de douceur, pour y mettre ses mains puis son visage quand il voulait m'embrasser dans le cou. Juste là, pour croquer ma peau, son odeur, mon parfum en plus. Il était absent mais pourtant il était là à me regarder, à m'observer discrètement, à voir le moindre cheveu perdu sur ma robe, le matin, à m'attendre à la sortie de cette petite pièce pour me serrer dans ses bras, naturellement. Il adorait prendre sa dose de douceur, selon son expression, une grande dose de plusieurs secondes pour traverser la journée, pour se rappeler ce moment quotidien de bonheur tactile.

Encore deux coups de brosse, peut-être un peu plus d'orangé sur mes paupières, j'hésitais encore, ni trop, ni pas assez. Me maquiller juste pour moi, juste pour être femme, pour être belle, en pensant fort à lui. Il aimait tant que je pense à moi, que je me soigne de détails féminins, voire sexy, pour me sentir séduisante. Non pas par jeu, mais pour conforter mon égo, surtout la face cachée qui me regardait en biais dans le miroir. Avec mes formes, mes courbes, excessives à mes yeux, gourmandes pour les siens. J'étais toujours plus dure avec moi, toujours dans le déni de ma beauté, de cette réalité que lui voyait, que lui cajolais, que lui encore enveloppais de ses bras, de son amour tout entier. Il devait le répéter souvent, car jamais je n'arrivais à me convaincre, ni de me voir en réel, ni de me voir en mieux, ni de me voir autrement. Comme bloquée dans une image, une vieille image d'ailleurs. Il frottait le miroir, rigolait de devoir l'user pour retirer ce cliché ancien de mon corps, de ce refus de mes courbes sensuelle. Admettant lui aussi, que l'on pouvait les réduire un peu, que l'âge n'offrait que des contraintes mais aussi des voluptés nouvelles, il positivait amplement, motivait mon fort intérieur, expliquait par des mots ou des silences la vérité de son regard, espérant orienté le mien vers plus de bienveillance envers moi-même. 

 

Aujourd'hui encore j'y repensais en me glissant dans cette robe, avec de jolis dessous offerts récemment pour combler ma silhouette. Lui me voyait, chaque jour, appréciait en le disant mais aussi sans rien dire, il m'aimait ainsi. Toujours il m'aimait tout entière, dans les moindres détails, coins et recoins, bosses et plats, courbes et lignes.

 

 

Rouge, rose, bleu

 

Mes ongles vernis rouge étaient enfin secs, je pouvais me glisser dans mes bas, puis dans ces escarpins rouges. Pour lui, pour voir ses yeux pétillant dès ce soir, en ouvrant la porte, avec moi, ma silhouette, mon coeur palpitant.

 

 

Nylonement

Gentleman W

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24 septembre 2019 2 24 /09 /septembre /2019 13:10
Envie de folie

Finie la chaleur, fini aussi le bronzage doucement caramel sur mes jambes, alors si l'automne pointe son nez avec aujourd'hui de la pluie, j'ai une grande envie de changer ma garde-robe des dernières semaines. Mi-saison peut-être, mais les tuniques légères ne le seront que trop, alors ce sera plutôt robe, avec des couleurs, en jouant sur les matières, les épaisseurs. Un petit gilet certains matins ou lors des réunions sous la climatisation diabolique (toujours ce souffle, ce brin d'air qui ne fait que toutes nous geler), je le prendrai dans mon sac par sécurité. Un trench pour les prochains jours, mais je verrai bien un modèle plus court pour laisser parler mes jambes, mon atout beauté.

 

D'ailleurs je vais ressortir les talons pour compléter mes ballerines de l'été, pas trop hauts, juste ce qu'il faut pour ré-hausser ma silhouette. En attendant les bottes, mon pêché mignon, je verrai bien un grain de folie avec des collants fantaisie. De gros pois blancs sur un fond opaque, des couleurs comme ce jaune moutarde ou ce violet, des dentelles et d'autres motifs graphique, je veux que l'on me regarde, me complimente, m'envie !!!

 

Bel automne à vous toutes !!!

 

Nylonement

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NYLON-VOLUPTE ??

Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

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Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

Vous avez des stocks de pochettes vintage, des photos associées, contactez-moi pour compléter le musée.

 

 

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ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

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Bas Nylon, quel talon ?

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Coups de Coeur

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Mes coups de coeur, ceux où je passe régulièrement sur leurs blogs, pour leurs contenus, leurs photos, leurs articles, leurs humeurs, leurs amours, leurs critiques. Inspiration passgère, amitié ou même coup de foudre, souvent un univers de mots, de douceurs et de libertés ...

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garancedore.fr oui, encore elle

...

Et si vous n'êtes pas ici, c'est pas un désamour, plutôt un oubli, 

et la liste serait peu-être un peu longue (environ 200 sites de références)

mais je vous visite régulièrement, bises à toutes !