17 mai 2020 7 17 /05 /mai /2020 10:40

Fourbu par la fatigue, mais heureux face à ce jardin remis à neuf, je contemplais ce lieu où la nature prenait pleinement son essor. Chaque arbuste, chaque haie, chaque pot savaient attendre les saisons pour s'endormir, pour sommeiller jusqu'au Printemps pour un renouveau doux puis virulent. Les feuilles nouvelles avec mille verts différents, avec la sève en plein bouillonnement, mais avant cela les branches qui poussaient, s'avançaient encore plus vers le ciel, s'aventuraient vers tous les espaces. J'avais stoppé les envahisseurs en taillant allègrement, parfois pris de remords les années précédentes, car c'était peut-être trop court, j'avais pu constater que l'avancée n'était que plus forte. Toujours reconquérir l'espace, alors nous avions trouvé un accord, je taillais ici, les plantes poussaient là, mais aussi dans mon dos un peu ici. Jardinier ou bûcheron, je modelais au gré des besoins des uns et des autres, parlant parfois à mes plantes, déplaçant vers la lumière un rhododendron, bichonnant mes pivoines, rabattant des jeunes pousses transformées en Huns invasifs. 

Là en cette matinée, après plusieurs jours de coupes, de tontes, de plantations, je prévois les prochaines semaines, je nourris l'ensemble, mais surtout à cet instant je partage mon brunch sur cette terrasse, face à ce jardin simplement agréable. Mes yeux savourent ce bonheur, mon odorat s'amuse des parfums aussi, les iris, les dernières glycines, les premières pivoines, l'odeur de l'herbe coupée. Je respire à pleins poumons, je sature mes sens en fermant les yeux, je m'imprègne de tout cela.

 

Fée

 

Il ne me manque rien. Un livre peut-être. Un moment de repos, une sieste dans une chaise longue que je n'ai jamais utilisé, un instant immobile. Je prends le temps de vivre les secondes, les minutes, les heures s'il le faut. Sereinement. Calmement. 

Une sculpture, une créature ici.

Je ferme les yeux, j'ouvre d'autres dimensions, je crée des vides en premier lieu, je repousse les limites, j'ouvre les frontières du possible, et un peu plus. Je me libère de tout, je ne suis plus qu'un regard sur l'ensemble panoramique qui m'entoure. Les angles de vue varient, changent et jouent d'effets miroir. Je me dédouble.

Dans ce vide de nature, d'herbes et de feuilles, je suis en apesanteur, elle avance. Légère, libres de tous ses mouvements, sans contraintes, elle glisse au gré des mes pensées. Une robe fluide, un peu de vent, des jambes sur des talons hauts, impossibles ici. Son sourire suit le soleil, sous sa capeline. Elle se pose, tourne, cherche la lumière, disparaît dans les ombres d'un tilleul trop grand, s'appuie contre cette haie, joue de ce labyrinthe de verdure. Rien n'empêche son cache-cache, sa dentelle blanche contraste avec les fleurs de couleurs, elle les hume, cueille quelques graminées, souffle les pissenlits. Là-bas elle s'arrête, revient vers moi, semble cacher ses gestes en m'offrant son dos nu, juste de mousseline fine ne cachant ses dessous. Jarretelles devinées, fascinantes sur ces courbes, j'avance ma main vers cette sculpture, elle glisse plus loin.

 

Je m'avance, je me réveille soudain. Rien, juste ce jardin et ces bougies allumées. Où est-elle passée ? 

 

 

Nylonement

 

Partager cet article
Repost0
15 mai 2020 5 15 /05 /mai /2020 05:53

J'ai pris une pause, une véritable pause, chez moi. Je vous vois sourire surtout en cette période de crise, avec le message "Restez chez Vous" martelé si fort, si souvent, avec le nouveau big brother. 

Oui mais je dois vous avouer que j'ai travaillé, tous les jours ou presque sauf le dimanche, des longues journées, souvent intenses. Je ne suis donc pas resté chez moi, j'y suis revenu en fin de journée, pour souffler un peu, pour retrouver un cocon mais avec ce stress mêlé d'incertitudes et des messages peu rationnels, la tension était encore là. J'ai fait ce travail indispensable à la vie des autres. Chaque jour, j'ai pris ma voiture pour des kilomètres dans Paris, dans sa banlieue, avec ce presque privilège de ne voir que très peu de véhicules. Des avenues vides, des lieux fantomatiques, des espaces nouveaux tant la sensation de vide était immense. Peu ou pas de passants, des quartiers où je me suis amusé à écouter des titres d'Ennio Morricone en espérant voir des Tumbleweeds, ces boules d'herbes sèches qui roulent en attendant le héros avec son chapeau et son harmonica. J'ai pris des photos surprenantes, j'ai traversé à 8h15 la porte d'Orléans sans aucune voiture, un miracle impossible même un jour de fête. Le vide mais aussi le calme retrouvé, ces lieux sans bruits de bagnoles, sans cris et klaxons, ces trottoirs avec juste quelques coureurs et quelques chiens. 

Aucun magasin ouvert, aucun lieu pour déjeuner sauf des boulangeries avec leurs queues dignes des pays soviétiques de l'ex-Urss, donc j'ai souvent renoncé à manger, croquant une pomme ou une banane en attendant la fin d'après-midi. Voyager dans ce moment immobile, comme pour comprendre ce qu'est la vie et cet espace symbolisant malgré lui le manque de vie.

 

J'ai fait mon travail, je l'ai adapté aux circonstances, donnant encore plus d'empathie à celles et ceux que je croisais. Rien n'était simple, car il manquait du monde, il manquait des émotions, troublées par d'autres angoisses, il fallait malgré tout être là pour eux. Encore et encore, chaque jour, dans des conditions parfois terribles, tragiques, intenses de fatigue en plus de tout cela.

 

Et puis j'ai porté mon fardeau, celui de voir la vie s'échapper de ce cercle privilégié qu'est la famille. La voir partir, la voir une dernière fois, la savoir ailleurs pour la savoir soulager des douleurs, mais comprendre aussi qu'une étape nouvelle s'installe. Un poids nouveau sur les épaules pour l'avenir. Je le digérerai au fil du temps, sans elle. Mais avec des tonnes de souvenirs, petits, anodins, grands, immenses.

 

Alors oui, aujourd'hui, ces derniers jours, je marche seul, je suis auprès de mes enfants, dans un autre cocon, pour extérioriser certaines douleurs nouvelles, pour les empêcher de prendre racine, pour penser à tout, à rien aussi, pour combattre ses moments fragiles avec des larmes. J'avance car rien ne me rend plus fort que l'adversité, un genou à terre, deux même, mais je me relèverai toujours, je suis ainsi. Non pas un surhomme, loin de là, loin de ma pensée, loin de ma propre humilité, mais j'ai combattu des montagnes de doutes, des douleurs si pernicieuses que je serai de cette victoire, mais en prenant le temps de bâtir la suite.

Je me repose, je fais rien, je fais plein de choses, je respire ma forêt, cet endroit d'exception en bout de jardin, je suis en dehors des médias et du temps, pour écrire encore, toujours plus, bien plus que ce simple blog, je me gave de voyelles et de consonnes, sans limite, avec excès même. Je me sens mieux.

 

Et puis pour vous, mes lectrices, mes lecteurs, revenez vers mes autres articles, car celui-ci est un bout d'intimité qu'il me fallait libérer, mais qui n'est pas un cadeau. Juste un morceau de vie, ma vie !

 

Nylonement

Insouciance
Partager cet article
Repost0
11 mai 2020 1 11 /05 /mai /2020 05:51

Effervescence d'un soit-disant lendemain, je me suis réveillé en avance pour voir ce jour, ce fameux jour d'après. Les oiseaux étaient toujours aussi bruyants dans le jardin, chassant les vers dans les recoins de chaque branche et autres charmilles, repartant vers leurs nids pour nourrir les nouveaux-nés piailleurs. Les fleurs, les iris étaient bien là, avec leurs couleurs délicates, le bleu du ciel strié de blanc pour celle-ci, le mauve et le jaune pour les autres, le blanc pur pour ce pied caché sous un palmier, les jaunes plus ensoleillées ce matin, toutes tranchaient sur le vert de la pelouse, sur le bonheur du Printemps. Lui est là depuis fin Mars, sans un seul arrêt, il voit tourner les pages du calendrier, dans un silence relatif.

 

Alors ce matin, ma forêt, inaccessible par une loi liberticide, se réveille comme chaque jour, libre de tous ses papillons, de sa beauté, de sa nature en pleine expansion, peut-être avec une respiration encore plus forte. Ce petit monde bouge, chante encore, vole et virevolte à volonté, sans restrictions. Effervescent, il relâche son air pur, naturellement.

 

Alors je vais de l'autre côté, vers la rue, pour les voir passer, ceux qui manquaient de liberté, ces prisonniers enfermés chez eux, mais rien. Du silence aussi, car ici les retraités seront sages, ils garderont leurs jardins comme ultimes barreaux, renonçant au pain frais car le congélateur est encore plein, la farine encore en stock pour en faire par eux-mêmes. Les autres voisins, ils travaillent chez eux, l'ordre social s'applique ici encore, dans toutes les maisons, l'internet fonctionne pleinement, le télétravail est une habitude démultipliée si elle n'était pas déjà une routine. Ils restent là sur la terrasse, face à la forêt, avec les mêmes oiseaux qu'ici. Personne ne bouge.

 

 

Effervescence

Et moi, je me repose, je fais une pause, car il n'y a eu d'avant, ni même de pendant, ni même d'après. J'ai continué à travailler, à suppléer à la demande en multipliant mon offre. Bref, j'ai travaillé tous les jours, un peu plus même, six jours sur sept parfois, ne comptant pas les heures, ni l'effort pour les rassurer, pour les accompagner. J'ai donné un sens différent à mes réponses, à mon empathie, essence de mon travail. J'ai été là, avec le masque, sans plaisir à respirer avec cette contrainte, mais je devais me protéger, les protéger, revenir sain chez moi, pour les protéger eux aussi.

 

Ma seule lassitude fût en écoutant les émissions spéciales en continu, les analyses sans fond et sans forme des niaiseux journalistes, heureusement il y avait de la musique classique pour adoucir ma fatigue. Alors oui, aujourd'hui je prends quelques jours de vacances, pour respirer enfin à pleins poumons cet air-là. Si loin de moi pendant près de deux mois. Je vais pouvoir vivre normalement, même si ce mot me semble abstrait et qu'il cache une blessure ouverte récemment, incisive et sans rémission possible. Alors je savourer le temps, parfois le haïr un peu, espérer beaucoup, vivre en regardant devant mais en jouant du bonheur des souvenirs. Les larmes ne doivent pas prendre le dessus, juste évacuer quelques regrets, souligner quelques trop fortes émotions. Ce matin, je vais prendre mes crayons, dessiner là face au jardin, comme une parenthèse dans un rêve, comme un moment en suspens. Seul. Loin d'elle maintenant. 

 

Effervescence, vous dites ? De pivoines, de couleurs !

 

Nylonement

 

 

Partager cet article
Repost0
10 mai 2020 7 10 /05 /mai /2020 09:10

Le restaurant était plein, dans l'effervescence des déjeuners, où chacun rentre ici en poussant la porte puis le rideau lourd de cette brasserie, file vers sa table pour un repas entre collègues, pour un discret rendez-vous d'amoureux ou pour un déjeuner d'affaires. Le zinc voyait défiler les apéritifs, les bouteilles, les carafes et quelques cafés crème pour les plus rapides. Les garçons avec leur tablier noir se faufilaient avec les plats du jour, aile de raie sauce beurre citron, blanquette de veau et ses petits légumes de Printemps, côte de veau avec son jus de romarin et ses rattes du Touquet, turbot en croûte de sel et ses poireaux vapeur à l'huile de noisette. Les commandes, les plats, les rappels pour une corbeille de pain, pour une bouteille de Sancerre bien fraîche, les signes pour payer, les bruits de la vie, d'un coup de feu en plein coeur de cette cuisine, où chacun couraient avec ses assiettes, pleines ou déjà vides. Le chef balançait la cadence, les serveurs entraient vite, ressortaient encore plus vite vers les tables. Hésitation d'un nouveau, aiguillage par le chef de salle, service des vins dans les verres de cette grande tablée heureuse d'être ensemble après ce séminaire monotone, coup d'oeil d'un jeune oncle pour resservir le champagne à sa nièce, la brasserie palpitait pleinement de cette ambiance toujours renouvelée, de ces bruits sans fond musical mais avec une partition bien rodée.

 

Peut-être...

Elle était entrée, avec un sourire pour le maître d'hôtel, lui laissant son manteau, j'avais laissé un oeil traîné  un oeil distrait sur elle, en dehors de mon épaule d'agneau de 7 heures, fondante à souhait. Une paire de gambettes sublimes sur des talons hauts d'une grande finesse, une allure folle pour fendre la foule des tables, pour disparaître vers le fond de cette salle, avec des sourires ici et là pour les serveurs complices, je ne l'avais qu'aperçue, mais cette jupe crayon, ces chevilles enveloppés d'une mousseline fine et noire, presque transparente, j'avais soudainement rêvé d'un voile de nylon, de véritable nylon avec une couture peut-être. Elle était déjà loin, absorbé par les têtes, les mangeurs, les discussions et les dos de chaises. 
 

J'avais repris un peu de cette purée maison, douce et savoureuse aux éclats de truffe. La discussion professionnelle à ma table ne faisait que redondances des questions sans réponses déjà abordées durant la longue réunion du matin, certains avaient l'art de les ressasser, de les reprendre et les retourner pour ne jamais avoir l'intelligence d'en chercher une solution, une vérité pour l'avenir. Leurs futurs étaient déjà dans la prochaine réunion molle, avec les mêmes questions, leurs mêmes responsabilités dans une inaction quasi sacrée. J'attendais qu'enfin l'un ou l'autre veuillent bien avancer avec les paramètres présentés en conclusion, pour émettre un début de possibles réponses, d'opportunités sans langue de bois. J'attendais, fidèle adjoint à mes responsables, sans comprendre ce manque de volonté et donc de décisions, cette incapacité à l'action. D'ailleurs, je rêvais déjà au poste de mon prochain job. J'étais ailleurs pour d'autres raisons. 

 

Et puis vint le dessert, le pousse-café pour célébrer la réussite de ce manque totale d'action, la crème caramel avait une saveur de vanille, charmeuse et suave. Ils trinquaient, je buvais de l'eau. Mais aussi j'attendais une réponse, à une autre question intérieure. Portait-elle des bas, avec ce tailleur si élégant, ce chemisier de soie bleue si féminin ?

Ils discutaient encore, de tout, surtout de rien, j’acquiesçais parfois pour un poli hochement de tête, perplexe quand ils s'enflammaient de leurs responsabilités, en parlant de leurs salaires et autres avantages. J'étais encore un peu avec eux, mais finalement je trouvais l'excuse d'un dossier à ficeler avant le weekend, pour aller prendre l'air. Un bon choix. Un bon timing, car elle repartait seule comme à son arrivée, la jupe devenue fendue. Un jeu de fermeture-éclair pour s'asseoir plus facilement peut-être. Et là, en quelques millisecondes, cette jarretelle. Un secret presque caché, un zip refermé avant d'avoir enfilé son manteau, une jupe redevenue crayon, sa silhouette sautant dans un taxi, elle partait déjà.

 

Ce petit détail anodin qui emporte nos rêves

 

Nylonement

Partager cet article
Repost0

NYLON-VOLUPTE ??

Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

gentlemen-w-xs.jpg

 

 

Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

Vous avez des stocks de pochettes vintage, des photos associées, contactez-moi pour compléter le musée.

 

 

COPYRIGHTS

Les photos sont ici uniquement à titre non marchand comme l'ensemble de ce blog non-commercial, pour un référencement, en l'honneur des marques citées, pour un usage d'hommage à la Féminité. Si toutefois, j'oublie une référence (encore faudrait-il qu'elle apparaisse en récupérant cette image sur le net, sur Pinterest et ailleurs) ou je suscite un souci de droit à l'image ou aux copyrights, contactez-moi par email gentlemanw@nylon-volupte.com.

L'image sera retirée dès que vous nous préciserez laquelle. Merci.

 

Copyrights pour tous les articles de ce site. Si vous faites référence à un article, précisez le nom de ce blog avec son lien.

 

Recherche ???

Aimez + Aidez

 

Cancer, trop proche de nous.

Faites un sourire et soutenez l'autre !

Nous sommes tous acteurs de la santé de nos proches et de nos familles.

Cette maladie frappe le col de l'utérus, les seins, la thyroïde, la prostate, le plus couramment et ailleurs aussi !

Alors soutenez vos ami(e)s, vos parents, votre compagnon et votre compagne.

Image-0201

www.ligue-cancer.net

Aimez vous les uns et les autres

Image-0297

www.cancerdusein.org

 

 

Aimez-vous,

Protégez-vous !

Vivez !

ruban-rouge-sida.jpg

 

www.info-depression.fr

 

 

Articles Récents

  • Livre : Eloge des fétichistes par Pierre Molinier
    Dans mon éclectisme habituel, avec ma gourmandise de découvertes et de voies, voire d'impasses littéraires, j'ai lu, relu, repris en cours de lecture, des livres érotiques ou liés au monde du sexe. "Eloge des Fétichismes" par Pierre MOLINIER Celui-ci...
  • Livre : "Les ombres de Vienne" par Jody Shields
    "Elle possédait l'arme contre le poison tuant la liberté, elle savait lire." Lire, toujours lire, chaque jour lire encore. Lire chaque matin et chaque soir dans le train puis dans le métro, pour oublier ce temps perdu, pour savourer les mots et s'évader...
  • Musique : MICH-LINE
    Hasard d'un monde un peu trop sombre, encore plus avec les journées qui finissent trop tôt par une combinaison de nuages gris d'automne et de la nuit, je me replongeais dans mon univers de douceurs, réouvrant les portes de ce blog. Et en lisant les messages...
  • Livre : Maigret à New-York - Simenon
    Cet été a été une saison de changements, car la vie ou plutôt le manque de vie a choisi de modifier les parcours des uns et des autres. La météo et la planète blessée ont ajouté des aléas de chaleur intense mais surtout une pénurie de pluie (celle-là...
  • Vagues
    Pris entre deux courants, un peu perdu sans vraiment être noyé, je regarde ce soleil auquel je ne crois plus pour sa lumière car mon chemin de coeur est ailleurs. Secoué par des vagues contraires, par les paradoxes d'une vie effilochée durant les derniers...

ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

Bas-Nylon-mais-alors !

Bas Nylon, quel talon ?

Je-suis-alle-au-paradis des Bas Nylon

 

Site web uniquement accessible pour les membres.

 

Coups de Coeur

Logo-Menu-NylonMode.com-V3.2-xs.png
 
causette-34.jpg
 
 
 
 
 
 
Mes coups de coeur, ceux où je passe régulièrement sur leurs blogs, pour leurs contenus, leurs photos, leurs articles, leurs humeurs, leurs amours, leurs critiques. Inspiration passgère, amitié ou même coup de foudre, souvent un univers de mots, de douceurs et de libertés ...

martiennes.wordpress.com  justement féministes

bebarock.com juste pour les femmes !

cameline.org prodigieuse exploration mode du temps

bellesetbiendansvotrepeau conseils beauté

leblogdebetty.com mode et sourires 

dameskarlette voyageuse en images

thebrunette.fr incroyablement élégante

lheureuseimparfaite blog féminin et impertinent

le-blog-enfin-moi.com féminité, mode et sourires

leblogdelilou féminité au quotidien

fashionandcookies  fashionista 

valimero-fashion-addict.com modeuse la + souriante du net !

mindalicious.fr géniale modeuse

lesdemoizelles mode et futilité

estelleblogmode.com  mode souriante

pinup-doodles un coup de crayon d'une génie

folievintage.fr un lieu pétillant & glamour

blog.plafonddeverre.fr réalité féministe

...

citizencouture.com la mode online

misspandora.fr super-fée de mode

leblogdebigbeauty.com ronde et alors ?

modeuse.com j'aime depuis le début

garancedore.fr oui, encore elle

...

Et si vous n'êtes pas ici, c'est pas un désamour, plutôt un oubli, 

et la liste serait peu-être un peu longue (environ 200 sites de références)

mais je vous visite régulièrement, bises à toutes !