11 avril 2021 7 11 /04 /avril /2021 08:17

Rien n'est plus évident que ces moments où il s'absente. Il n'est plus là, dans cette pièce près de moi, il s'éloigne en étant assis là à côté. Son corps devient mou, sans lien avec l'espace environnant.

Et puis il y ces mots, ces phrases cachées ici et là sur ces post-it oubliés, incontestablement des signes de cette errance qui reprend en lui. Ailleurs, il l'est déjà, dans cette dimension qui lui donne de l'amour. Chaque battement de coeur si particulier s'attache à des émotions, faibles dans la douceur du matin, plus fortes dans la journée, intenses quand la nuit tombe, que le noir dehors enveloppe le monde, absorbe les bruits, avale les silhouettes et leurs discussions téléphoniques inutiles. Il retrouve ce calme relatif, il laisse son coeur battre plus fort. Des mots encore sur son téléphone, des sms si longs qu'il faudrait un écran d'ordinateur pour les lire totalement. je les survole, je retrouve son style, ses tournures bien à lui, sa façon de lui dire "je t'aime", et puis parfois plus charmeur, plus gentleman encore avec son "je vous aime". Il les laisse partout, il est avec elle, j'en suis sûr.

Il n'a pas voulu me le dire, encore moins l'avouer. Me le demander serait trop incongru. Alors il est parti, en justifiant de tout et de rien, en prenant quelques jours de retard de vacances, il est monté dans le train vers Trouville. Son antre, les mauvais esprits diraient "sa garçonnière". Un simple cocon sobre en décoration, avec une table ronde bien éclairée, des mouettes pour rappeler la proximité de la mer, un calme secoué de rafales de vent et de gouttes de pluie indiscrètes sur le velux, il aime ce lieu. En arrivant du train, il traverse le pont depuis Deauville, toujours les mêmes habitudes, toujours un passage par cette petite boutique pour un stock de boîtes de sardines, de maquereaux ou de miettes de crabes. Un arrêt chez le boulanger pour une miche de pain, des sourires à la belle brune, un peu plus loin, quelques bières locales, blanches un peu épicées, il sait déjà qu'il y a une bouteille de gin qui attend, des bouteilles de champagne à volonté. Voilà il pousse la porte, il allume le chauffe-eau, prend une douche, se glisse dans un pantalon, dans un tee-shirt à manches longues dans un coton très doux, usé par le temps, gris pour être neutre. Il dépose ses chemises dans le placard de la chambre, s'assure d'avoir quatre oreillers moelleux. Ensuite il redescend pour se servir un schweppes avec un demi-doigt de gin, trois rondelles très fines de citron.

Je le savais avec sa maîtresse

Elles l'attendent dans le salon, allongées sur le canapé deux places, vierges ou presque. Rien d'affriolant, du blanc, des grandes lignes. 

Sur la table aussi, parfois elle se répand, s'étale de tout son long, offerte à lui, à ses envies, à ses délires peut-être, totalement dévouée à ses émotions.

Lui arrive, avec sa petite trousse en cuir orange, un fétiche depuis de longues années, ce truc qui le suit tout le temps, en tous lieux. Dedans une vieille gomme usée, avec cette odeur particulière, ses recoins noircis, des crayons HB, 3H, 2B mais aussi des feutres et deux beaux stylos-plume, l'un à l'encre noire, l'autre à l'encre bleu roi. Voilà, il est avec elles, non pas une mais plusieurs, parfois en même temps, ses maîtresses finalement se donnent entièrement. Des courbes, des coups de crayon, des glissades sur le papier, mais aussi des mots, des phrases sans limites, des émotions couchées sur l'écran de son ordinateur portable. Il est entré dans son univers, la porte est fermée, son téléphone est en mode avion, il est ailleurs pour plusieurs heures, pour les prochains jours. 

Je sais que ses blessures se sont réouvertes, alors je tolère, non je lui laisse cette liberté complète de s'enfuir dans sa bulle. Là-bas il va pouvoir oublier le monde, partir sur une autre planète tout en étant là, pas si loin. Je le préfère en train de libérer des mots pour soigner ses doutes, des pansements et des traitements simples. Ponctués certes de gouttes de champagne, parfois d'un anesthésiant au goût de gin, il reste sage, s'amuse de s'être étourdi un peu trop en sortant à cinq heures du matin, pour marcher vers le port, vers les premiers bateaux revenant de la pêche, vers la plage, vers ce sable sans fin. Deux heures après il sera assis avec un grand chocolat chaud, deux croissants croustillant, et une envie de la croquer, de dessiner des courbes, de laisser l'eau de l'aquarelle définir les teintes nuancées de sa peau. Puis il caressera de ses neurones enflammées avec des mots encore, rassemblés cette fois, non plus dispersés sur des post-it. Il écrit, il partage sur les réseaux quelques articles, son livre aussi avance.

Ce sont des soins quasi gratuits, il respire en libérant son esprit de la pression, en étant ailleurs. Et entre deux moments où il décroche, où la souffrance le ronge trop, où il choisit de dormir ou de marcher seul, là soudainement il m'appelle pour me dire combien il m'aime. Juste moi.

Ses maîtresses dorment sur la canapé, l'une sur l'autre, un peu en vrac entre couleurs et papier encore blanc, sur la table, dans son ordinateur, elles attendent sa générosité, sa rudesse, sa folie douce. Il gomme, déchire, ne transige pas avec son exigence, il rature, il revient en arrière, efface les mots, recommence, poursuit encore. 

Un moment, quelques heures, quelques jours, il sera là, de retour, juste pour moi.

 

 

Nylonement

 

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20 mars 2021 6 20 /03 /mars /2021 18:31

J'avais tant rêvé de cet instant, il avait pris le temps, nous en avions tous, d'imprimer un beau carton à l'ancienne, et de rajouter des mots manuscrits pour cette invitation à diner. Un lieu, plus exactement une adresse sans plus de précision, probablement un nouveau restaurant, un plaisir gastronomique. Il avait précisé "... et élégant", du moins "vous serez forcément la plus élégante". Un taxi viendrait me chercher devant ma porte pour éviter toutes les petites tracasseries des transports, alors j'avais eu l'idée d'un grand chapeau, d'une capeline d'été détournée pour fêter le Printemps. Et en reposant l'enveloppe, le carton sur la table basse, j'avais cherché dans mon petit dressing la robe. Laquelle ? j'avais rien à me mettre avec un sourire en coin. Si peu de sorties ces derniers mois, si peu de boutiques et encore moins d'envies, si peu de balades avec des copines pour flâner derrière les vitrines, pour trouver une pépite dans un magasin de robes vintage. J'avais rêvé de couleurs, oui pour changer des petites robes noirs toujours avec un effet réussi. Elles remplissaient la moitié de mes rayonnages. Robes ou jupes, crayon ou amples, longues ou parfois très courtes, en viscose léger et ultra-souple ou en cuir épais plus charnel. Je les caressais du bout des doigts mais je cherchais ailleurs, une couleur. Rouge, bleu électrique, vert émeraude, des souvenirs et des lieux, des soirées passaient dans mon esprit, des beaux moments passés, des liens avec le réel, avec elles, mes amies trop inaccessibles pour les voir actuellement, trop éloignées en province, loin de mon quartier, avec des amis aussi, avec lui vaguement, il était parti à l'étranger, travaillant dans sa propre prison de l'autre côté de l'océan. Les liens virtuels entre caméras fades en 2D, rien ne remplaçait son parfum, sa présence, son corps.

 

 

Sortir ce soir

Je revenais ici, dans cette petite pièce marquée de tant de beaux achats. Ma lingerie dans des tiroirs, rangés, re-rangés pour occuper le temps, pour retrouver des ensembles, pour essayer de les aligner par couleur, par marque, par style, par souvenirs, j'avais tout essayé, avec ce temps plus important chez soi. J'avais opté pour des tiroirs confort et séduction, pour le quotidien et pour des instants plus complices. Ne mettant que les premiers, j'avais pris la sage décision de mettre uniquement les seconds pour me rappeler les douceurs des dentelles vaporeuses, des coutures des bas nylon, ce geste précis pour les poser au dos de mes jambes. Sentir, non imaginer son regard sur mes gambettes, et puis entre télétravail et quelques achats chez l'épicier du coin, j'avais pris plaisir à redevenir l'élégante du quartier. Ils et elles avaient des masques mais pas des lunettes noires, alors parfois cela commentait mes talons hauts, vertigineux pour en garder l'habitude, pour prendre un pain au chocolat et une baguette graines, j'animais malgré moi la queue distanciée, laissant un écart justifié pour mieux apprécier mes chevilles marquées d'une bride, mes mollets et le début de mes cuisses jusqu'au trench cachant le mystère féminin. Je souriais de rester féminine, juste pour moi, comme une liberté non volée. Alors là encore je saisissais un beau serre-taille de dentelle noire, aérien dans la finesse, structurant dans sa coupe pour marquer ma taille, se poser sur mes hanches, et laisser virevolter les six jarretelles. Ce balconnet serait ravissant sous une robe échancrée, subtilement pour l'élégance, assez pour la volupté vraie. Ses yeux sur moi, une perle posée là.

 

 

Sortir ce soir

Et puis ce chapeau, des petits et des grands, trois capelines à peine sorties l'été dernier. Celle-ci pour une robe, je l'avais oubliée, un modèle vaguement fifties en jaune et noir. Elle s'imposait d'elle-même, elle prenait possession de moi, de mon corps, enveloppant ma silhouette. Des bas noirs ou des bas gris, j'hésitais encore, un faible pour les nuances jouant avec les lumières et surtout les ombres. Des talons, le choix serait toujours le plus long. Des étagères débordantes, des bottes d'hiver pas encore rangées, des bottines nouvellement acquises, à peine mixées avec mes récentes tenues, des escarpins, des dizaines de paires, de la gourmandise de mode.

J'essayais, je ne voyais pas le temps s'écouler, j'étais prête pour ce rêve, encore une retouche de rouge à lèvres devant le miroir, un tour pour apprécier le mouvement de la robe, pour apercevoir mes jambes, pour réfléchir à prendre ou pas des gants. Les prévoir dans mon sac à main, je me sentais si bien, un flot de parfum près de la perle. 

J'étais prête pour sortir ce soir. Mais la nuit, les portes invisibles ne me permettraient pas de sortir d'ici, de chez moi, et de pousser ensuite des portes closes, depuis trop longtemps closes de ce bistrot sans bruit.

Un gin, un cocktail sur la table basse du salon, avec lui de l'autre côté de l'écran.

Avec un chapeau malgré tout.

 

Nylonement

 

 

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19 mars 2021 5 19 /03 /mars /2021 19:32

J'avais laissé derrière moi mon bureau, un dernier regard sur ce lieu que je ne visitais plus qu'une fois par semaine. Nouvelles directives, nouveaux défis, j'avais reposé mes trop rares affaires personnelles dans un tiroir, deux tours de clefs, le bloc attendrait encore plusieurs semaines un possible retour. Seule ou presque sur ce large open-space, une vaste étendue sans bruit, les salles de réunion dans le noir, je regardais avec une presque nostalgie cette espace vide de vie. Mon sac à main, mon petit sac à dos en cuir design pour mon ordinateur, quelques papiers, j'éteignais ce lieu, une case noire sur la façade de l'immeuble, une de plus, plus aucune lumière. Sagement j'attendais  l'ascenseur avec sur le mur juste ce rond surligné de bleu, le bouton d'appel. Tristes instants, en souvenir des fins de semaine habituels, d'avant, où l'on improvisait un "happy hours", un moment apéritif festif pour soulager nos dos, nos yeux et nos cerveaux de la pression des projets en cours, nous nous libérions totalement. Un exutoire souriant souvent pour grignoter des tapas commandés par le responsable présent, quelques bières, plus rarement du champagne, un moment de convivialité mêlant des rires, des petits phrases entendues durant la semaine, parfois aussi un peu de off sur les clients, sur les relations ou les enjeux en cours. Cette salve de folie passagère qui nous emportait parfois un peu tard dans la nuit, seule lumière de la façade. Nous réservions des VTC pour répartir les retours en banlieue, l'esprit libéré pour le week-end. Que tout cela me semblait loin aujourd'hui, dans ce silence omniprésent. Pas un bruit au-dessus de ma tête, pas même du personnel de ménage s'immisçant dans les bureaux. Personne.

Juste les chiffres des étages s'affichant toutes les deux secondes. Lumière bleue.

 

 

 

Shades of Grey

Shades of Grey

J'avais pris le temps de resserrer la ceinture de mon manteau, pour éviter cet effet chaud-froid brutal entre les couloirs aseptisés et climatisés comme un éternel été, et l'extérieur où le froid des dernières heures d'hiver se rappelaient encore à nous. Cliquetis de mes talons sur le trottoir, quelques rares personnes, comme une ville morte peuplée de zombies cherchant la bouche de métro. Rien de plus. Un véhicule noire s'arrête devant moi, mon taxi, je me glisse dedans. Chaleur du cuir, compensation de cette journée seule dans cette immense salle vide, je repensais à un dossier, à une note à rajouter, à la forme du document pour être compris de tous, à la fois synthétique et complet. Mes jambes respiraient enfin, allongée là dans cet habitacle doux, le chauffeur, toujours le même, savait être discret, la musique lounge en fond sonore, rien de plus, juste les lumières de la ville. Non pas endormie mais endolorie dans ce tourbillon d'inconfort, ouverte mais pas trop, incomplète avec ses vitrines oubliées, sans fonction, sans passants, sans clients, sans portes ouvertes. Des silhouettes, d'autres zombies perdus rasant les murs, ne voulant pas être là, masqués, en quête d'une porte d'immeuble, je les suivais du regard, personnages anonymes et silencieux d'un film moderne.

Ma main glissait vers mes jambes, d'un geste rassurant je sentais la finesse du voile, du pur nylon, cette douceur inégalable. Un plaisir anodin et purement personnel pour réconforter ma journée, un détail cosmétique pour ma tenue, mais aussi une étincelle de féminité. Je savais que cette invisible détail me confortait dans ma liberté de mode, dans ma définition toute personnelle de la volupté. Coincée dans l'embouteillage de ce début de week-end, je pensais déjà à mon canapé, à cette respiration, seule mais libre, dans mo petit chez moi. Quelques livres, une flûte, une petite omelette avec quelques tranches d'avocat citronnée, rien de plus. Juste une bonne raison de profiter de la douceur.

 

Nylonement

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24 février 2021 3 24 /02 /février /2021 11:07
Bas nylon : NEBEL et son talon Flairette

Au milieu des paires de bas nylon, dans le labyrinthe pas encore rangé des milliers de photos de pochettes, parfois une marque laisse trainer un fil léger. Je tire dessus, je regarde, j'explore les autres répertoires, les fichiers et les photos disponibles.

NEBEL est une marque américaine des années 40 et début 50. Une production provenant d'une zone centralisant un grand nombre d'usines de tricotage de fil de nylon, la Caroline du Nord.

On appréciera les dessins glamour 

Bas nylon : NEBEL et son talon Flairette
Bas nylon : NEBEL et son talon Flairette
Bas nylon : NEBEL et son talon Flairette
Bas nylon : NEBEL et son talon Flairette
Bas nylon : NEBEL et son talon Flairette
Bas nylon : NEBEL et son talon Flairette
Bas nylon : NEBEL et son talon Flairette
Bas nylon : NEBEL et son talon Flairette
Bas nylon : NEBEL et son talon Flairette
Bas nylon : NEBEL et son talon Flairette
Bas nylon : NEBEL et son talon Flairette
Bas nylon : NEBEL et son talon Flairette

NEBEL a commencé la publicité, pardon, les réclames, dès 1940 mais l'entreprise produisait depuis plusieurs décennies, en particulier des chaussettes de coton.

Mais l'innovation est de mise, avec des coutures et des renforts talons-orteils d'une couleur différenciée du voile composant les bas. #COLORHEEL

Et une finition de talon unique nommée FLAIRETTE, un talon avec une fine pointe (Point Heel ou French Heel) faisant miroir inversé avec la même forme descendante. Comme un sablier !

 

Nylonement

 

Bas nylon : NEBEL et son talon Flairette
Bas nylon : NEBEL et son talon Flairette
Bas nylon : NEBEL et son talon Flairette
Bas nylon : NEBEL et son talon Flairette
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NYLON-VOLUPTE ??

Languages Translation, Dear friends & readers, enter in our world of femininity during the week, with fashion pics, travel trhough words on women universe. But also each sunday, walk through actual and vintage stockings, intense symbol of Glamour !

 

Dans le labyrinthe de la Mode, des ambiances néo-rétro et du glamour toujours, je partage avec vous cette vision du chic et de cette élégance, parfois classique, parfois décalée, pour qu'ils deviennent Votre Mode, Votre Féminité. Mon regard suit vos silhouettes, au quotidien, dans la rue, dans un espace imaginaire et romancé, pour apprécier vos tenues, votre allure mais aussi vos accessoires, sacs à main et chapeaux, gants et bijoux, sur votre peau, sur vos jambes "le voile de Volupté". 

Car de vos choix, vous devez uniques, vous créez Votre Féminité, votre vie et le plaisir de voir et être vue !

Au-delà de vos Féminités, j'immisce avec discrétion dans votre jardin féminin et avec des recoins féministes, mais toujours avec mon regard discret. Parfois je narre vos vies, j'ajoute des humeurs, des doutes pour devenir les Portraits de Femmes.

Avec légèreté toujours, j'aime le Glamour !

 

Gentleman W 

Qui êtes vous ?  ou Qui est Gentleman W ? 

gentlemen-w-xs.jpg

 

 

Les Bas Nylon, une autre facette de ce blog, un symbole fort de la Féminité, le glamour à travers les photos, les tendances et les marques actuelles, avec leurs nouveaux modèles et leurs collections, les variations mais aussi vos retours sur la modeLes Bas Nylon sont ici le fil rouge entre les articles, la couture qui suit sur vos Féminités. (chaque DIMANCHE)

Musée vivant avec l'âge d'or 50-60, le Vintage, partageons les photos des pochettes et les souvenirs de modèles plus anciens, avec vos mots et vos visuels rétro

Vous avez des stocks de pochettes vintage, des photos associées, contactez-moi pour compléter le musée.

 

 

COPYRIGHTS

Les photos sont ici uniquement à titre non marchand comme l'ensemble de ce blog non-commercial, pour un référencement, en l'honneur des marques citées, pour un usage d'hommage à la Féminité. Si toutefois, j'oublie une référence (encore faudrait-il qu'elle apparaisse en récupérant cette image sur le net, sur Pinterest et ailleurs) ou je suscite un souci de droit à l'image ou aux copyrights, contactez-moi par email gentlemanw@nylon-volupte.com.

L'image sera retirée dès que vous nous préciserez laquelle. Merci.

 

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ORDRE de la JARRETELLE

Pour rendre hommage aux BAS NYLON, aux JARRETELLES, au Glamour, au symbole d'une féminité des années 50-60, aux instants de mode actuelle, mais aussi aux créateurs, aux fabricants (vintage et actuels) et plus encore aux Femmes, j'ai lancé l'initiative d'un "ORDRE DE LA JARRETELLE".

Nos objectifs sont de défendre la volupté du port des Bas Nylon, de promouvoir une image noble et saine auprès des médias, de défendre la finesse incomparable du véritable nylon, digne signature haut-de-gamme du glamour moderne, de créer une communauté d'ambassadrices autour de l'élégance au féminin, de publier des ouvrages (textes et photos) de référence sur le sujet.

 

Les statuts sont rédigés. Les critères d'entrée sont définis par une validation de la réelle motivation du port du bas nylon et de votre enthousiasme à  promouvoir cet art de vivre. Un entretien et/ou un lettre pour démontrer cette passion, tel sera la premièré étape avant un parrainnage.

Ordre de la Jarretelle : gentleman.nylon@gmail.com

Quelques articles sur le sujet :

Ordre-de-la-jarretelle-Acte-1

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-2

Ordre-de-le-jarretelle-Acte-3

Ordre-de-la-Jarretelle-Acte-4

 

Bas-Nylon-mais-alors !

Bas Nylon, quel talon ?

Je-suis-alle-au-paradis des Bas Nylon

 

Site web uniquement accessible pour les membres.

 

Coups de Coeur

Logo-Menu-NylonMode.com-V3.2-xs.png
 
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Mes coups de coeur, ceux où je passe régulièrement sur leurs blogs, pour leurs contenus, leurs photos, leurs articles, leurs humeurs, leurs amours, leurs critiques. Inspiration passgère, amitié ou même coup de foudre, souvent un univers de mots, de douceurs et de libertés ...

martiennes.wordpress.com  justement féministes

bebarock.com juste pour les femmes !

cameline.org prodigieuse exploration mode du temps

bellesetbiendansvotrepeau conseils beauté

leblogdebetty.com mode et sourires 

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folievintage.fr un lieu pétillant & glamour

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citizencouture.com la mode online

misspandora.fr super-fée de mode

leblogdebigbeauty.com ronde et alors ?

modeuse.com j'aime depuis le début

garancedore.fr oui, encore elle

...

Et si vous n'êtes pas ici, c'est pas un désamour, plutôt un oubli, 

et la liste serait peu-être un peu longue (environ 200 sites de références)

mais je vous visite régulièrement, bises à toutes !