Je suis obligé de vous ajouter cet article, comme un post-scriptum, ou un épilogue au précédent article. Hier, j'ai voulu simplement user des mots de langue française, jouer du style et imperceptiblement de l'allégorie de la douleur, du rêve, des chemins ouverts à tous, mais aussi de quelques secondes qui parfois sont sources de réconfort. Comme je le fais, comme chaque jour, je glisse mes mots, mes inspirations vers vous, pour vous emmener dans les limbes de la féminité.
Je change et jamais je n'abuse les lumières pour éclairer les beautés de la vie, vos féminités à travers toutes leurs facettes, les plus étranges, les plus belles, les excès comme les douceurs. Je suis un simple metteur en scène de mes récits, un peu de vos vies, de mes émotions vis-à-vis de vous, de mes rêves. De tout cela nait des billets d'humeurs et de mode, des libertés pour vous faire admirer tel angle ou telle autre contre-plongée dans votre univers glamour. Je joue avec respect car je suis ainsi, les rares anges qui ont croisé mon chemin sauront, mieux que moi, exprimer ma nature d'esthète discret.
Et je vous l'avoue, je le répète, j'ai été confus de l'émotion bien involontaire générée par les mots d'hier. Je ne savais comment m'en expliquer, car ne n'avais pas prévu cette réaction, cette confusion. Je vous prie, encore, d'accepter mes excuses.
Je n'userai plus de pessimisme, fait apparemment le plus nouveau hier, mais toujours de paraboles car je ne sais écrire autrement. Je vais redevenir cette ombre derrière un clavier, pour encore et encore, donner des sentiments avec quelques phrases.
Sortant de mon enveloppe sensible, mais immatérielle, virevoltante au gré de quelques battements de coeur, je vais vous offrir encore d'autres regards sur vos féminités, dont une série de Portraits de Femmes, écrit pour vous, mais en mode "Je". Ne soyez pas surprises !
Ce n'est qu'un fantôme curieux qui va, avec facétie, se glisser, s'immiscer dans vos corps, vos métiers, vos vies de femmes.
Continuons la route ensemble.