L'année 2010 avance et je ne sombre pas dans la nostalgie mais dans les plaisirs d'avoir franchi le pas des commentaires, puis la marche de devenir Bloggeur.
Ainsi j'ai rencontré en me montrant, en nourrissant mon blog, j'ai rencontré des ami(e)s, des figures incontournables, et surtout des personnes profondément humaines et passionnées.
Parmi ces fondus de Nylon, j'ai , tout comme vous, succombé aux délices d'un magicien de l'érotisme, un fétichiste haut-de-gamme.
Dixden est revenu, pour notre plus grand plaisir, comme un cadeau de Noël avant l'heure. Moi qui ai pris l'habitude de fréquenter les cavernes étincelantes de cadeaux et de lumières, pour tirer sur les rubans, pour voir et découvrir, mais aussi pour surprendre. J'ai eu plaisir à espérer son retour, ses premiers pas de nouveau vers nous, la communauté Nylon. Nous l'aimons tant, autant que le Père Noël, car chaque semaine, ces petits paquets sont des perles, sont des macarons que je déguste souvent en deux fois. Une première lecture, avec un commentaire à chaud. Puis une seconde passe, souvent le lendemain, avec une relecture, puis tous les commentaires.
Dixden, aujourd'hui pour lui, pour vous toutes et tous, j'ai choisi cette photo, dans un fauteuil, dans une pose lascive mais non trop suggestive.
Une pointe d'érotisme, aperçu entre le sapin brillant des guirlandes électriques, et la cheminée qui crépite, renvoie des flammes et des lumières oranges, instables, chaudes, féériques. Vous êtes là, elle est là. Votre regarde la croise, elle attend une flûte de champagne, un moment de fête.
Pour vous, cher Dixden, un regard évaporé, tout comme le chemisier séduisant. Vaporeux avec des petits pois, et naturellement féminine, elle se dévoile pour vous troubler. Un don de soi pour quelques bulles, pour un début d'intimité, ou simplement une féminité alanguie, dans ce fauteuil, si confortable.
Une jupe, des jambes infinies, comme tout fétichiste souhaiterait voir sous son arbre de Noel, mais un livre de SIEFF ou de NEWTON, le plaisir est à portée de vos yeux.
Ses mains, non pas les vôtres, se penchent et se glissent le long du cuir, pour attacher une jarretelle rebelle. Elle fait ce geste, vous sachant présent, elle est libre, elle se sent si bien.
Bollinger vous chatouille les narines, se mêle à son parfum, des agrumes et de la puissance d'un champagne corsé, d'une merveille en reflet avec les lumières de Noël, des bulles qui s'échappent. Vous versez deux flûtes, elle sourit, elle tire sa jupe, mais ses jambes sont si longues.
Alors en regard de votre article dans un fauteuil club, je vous offre ce bouquet de nylon, pour vous lire encore et encore sur votre blog dixdenstocking.blogspot.com . Chaque semaine, pour notre plaisir, comme un cadeau de Noël qui dure toute l'année.
Merci de votre retour , cher Ami DIXDEN.
Nylonement