Exposition au musée des Arts Décoratifs (situé rue de rivoli, Paris)
du 5 juillet au 24 novembre 2013
Infos complémentaires ici :
LA MECANIQUE DES DESSOUS
Une belle visite que je souhaitais partager avec vous, une idée pour les prochains jours car finalement, il fait toujours frais dans les musées (et puis comme les cinémas proposent peu de films, et à un prix accessible autant s'instruire).
Un escalier, une lourde porte noire et vosu entrerez dans un univers, une scénographie sur l'ihistoire des dessous du 14e siècle à nos jours, avec des textes explicatifs un peu courts, des modèles nombreux dans des vitrines. Un lieu organisé comme un labyrinthe ouvert, vous pouvez passé par le chemin de votre choix, pour découvrir les premiers plastrons des armures en feraille des chevaliers, la renaissance, les robes, des dessous de robes, des carcasses et autres faux-culs. Un art visuel, des costumes de femmes, d'hommes et d'enfants car longtemps l'apanage des dessous, des folies de mode ont touché tous es membres de la famille.
Robes de princesse, aramtures démesurés de robes de mariée, mini-films rétrospectifs du cinéma en costume d'époque, vous passerez de gorges déployées par des corsets de fers, des baleines cruelles, des matières rapeuses à des tailles minuscules, fruits de contraintes excessives. On voit, on regarde la hauteur des personnes, on admire les embelissements à la main de fils de soie sur les vestes cintrées, les largeurs d'épaules des hommes qui ne conviendraient pas à mon jeune ado de fils, des robes encore, des variantes de mode très nombreuses.
Au milieu de l'exposition vous pourrez même esayer des robes et des jupons, des corsets et des garnitures, et vous mirez devant le mur de miroir. Un moment drôle et coloré !
Vous finirez avec des publicités plus récentes de lingerie liberée des années 50 à 80, des modèles plus sensuelles de Dolce & Gabbana, des variantes de mode. Côté jarretelles, vous découvrirez des systèmes longs, courts, élégants ou juste fonctionnels, des attaches diverses pour des bas de soie, de coton, de rayonne.
Si vous voulez un souvenir : le livre très complet de l'exposition, pour 55euros, en plus de l'entrée, mais ici c'est un musée privé alors vous enrichissez un fond qui propose de nombreuses expositions bien vivantes.
Un regret : pas de photos possibles, et des explications écrites en blanc sur des vitres, à hauteur de nain, dans une exposition sous-éclairée, donc dans le noir. Le manque de QR code pour avoir des informations interactives.
A voir absolument, une exposition pleine de perles et de féminité.
Nylonement