Je me suis réveillé plus tard que d'habitude, avec une envie de faire un article léger comme le souffle de printemps qui réchauffe mon jardin, ma maison, mon coeur.
J'ai lu mes amies bloggeuses, mon jus d'orange du matin.
Et j'ai eu soudainement une larme.
Oui celle d'émotion et de sensibilité. Je suis ainsi. J'ai lu, relu et pensé à ces amis, ces proches qui partagent ces vies, leurs vies avec un enfant autiste. Je ne peux exprimer les espoirs, les doutes, les moments positifs et les autres, les douleurs parfois de ces familles. Elles sont au coeur de leur propre vie, de leurs propres défis.
Je ne veux que saluer que leur courage, celui de l'amour de parents pour leur enfants, quelque soit le problème, de l'autisme, de soucis physiques, de handicaps parfois, de vie difficile certains jours même très pesants. Mes mots ne seront pas justes, car je ne vis pas, et je n'ai pas tous les paramètres de leur univers.
Mais mes fonctions, mes lectures (voir ci-dessous), un bout de vie, m'ont permis de croiser des parents, des enfants autistes. La vie est là, différente aux yeux d'une normalité parfois un peu trop envahissante, surtout quand les écoles utilisent les mauvais mots, par imcompétence, par méconaissance, et surtout refusent ces enfants différents.
Mais là, la vie sera toujours plus forte que cette bureaucratie et ce jugement d'autrui, car le coeur de ces parents est plus gros, victime d'une "anormalité" d'altruisme, de respect et d'écoute.
Je vous incite à croiser le chemin, l'interview d'Elisabeth sur le blog Enfinmoi !
Je vous livre juste un geste, pour nous tous !
AIMEZ-VOUS