Ma colère contre le temp, hier, a enfin des effets, le rêve devient réalité.
Légèreté d'un premier jour d'été, enfin libérée de la fraîcheur, celle que l'on regrettera quand il fera trop chaud, nous entrons dans l'air chaud.
Point de réchauffement climatique, mais une gestion durable de notre sensualité, de notre corps, ce chef d'oeuvre que nos mamans nous ont donné. MERCI ! Ce corps que nous forgeons de nos envies, de nos heures de sport, de nos faiblesses, ah le chocolat et les macarons, de nos plaisirs et de nos rituels.
Sculptures différentes, bien heureusement car je ne pourrais imaginer un monde avec des Monica Bellucci par dizaines à l'entrée de l'école, des dizaines d'Adriana des la supermarché. Vous êtes nos soleils qui brilent chaque jour avec vos démarches, vos choix de sandales, vos talons, vos sourires, vos gestes si féminins pour rejeter vos cheveux. Vos regards jaloux entre vous, vos propos acides sur la maigreur ou l'embonpoint de vos voisines, mais tous ses mots sont des beautés différentes.
Et quand la grande question vient à nous, pauvres hommes, "la femme idéale" ?
Je n'ai jamais su répondre, année après année, envie d'Amour, simple amitié ou belle inconnue, je vous ai toutes rencontré, sans chercher la réponse. Mais je ne veux pas de réponse car j'aime les corps, je suis un esthète, qui aime Botero autant que les syphildes. J'aime les Femmes du 17e siècle comme j'apprécie Bettie Page, car je ne vous enfemr pas dans des cages, je vous laisse libre de cette fierté d'être toute belle. J'aime toutes les modes, gothiques ou BCBG, courte ou longue, stricte ou exhibée !
Belle pour vous le matin dans votre miroir, pour vous, en ajustant cette culotte en dentelle. En jetant un oeil sur les enfants, qui dorment encore, vous fermez votre chemisier sur votre corbeille de merveille ! Vous réflechissez à votre train tout en hésitant sur les chaussures, "il va faire chaud, les pieds vont gonfler ... je prends cette paire de mule". Vous jetez encore un oeil au miroir, oui, il m'aime ainsi, pour moi, je vais mettre des bas chairs sou cette jupe bleue marine, non des marines. Vous bougez délicatement, vos hanches, celles où il met parfois trop ses mains, mais si il ne le faisait plus. Oui, il y a une rondeur, mais il l'aime, et moi je n'arrive pas à la perdre ! Alors les bas ...
Vous vivez avec votre corps et moi, simple mortel, je le regarde, parfois je le décortique courbes par courbes, mais je l'aime pour ce détail, pour ces détails, pour cet ombre sur ce muscle du mollet, pour cette forme creuse et longue dans les cuisses. Je ne sais plus, je sais tout de vous !
FEMMES j'aime vos corps, et je ne me lasse de vous regarder.
La Féminité est le plus beau mot après l'Amour.