Eternel sujet de mes dimanches, tant dans une vision du passé que dans une mode plus actuelle. Oui chaque dimanche, mais chaque jour, sans obsession, ni névrose, encore moins aucune perversion, je crois en ce voile de quelques grammes d'infinie douceur.
Parler de bas nylon doit être sur la liste des tabous, tout comme en porter, tout comme les préjugés des bien-pensantes (je vous ai déjà parlé de cette catégorie à l'imaginaire délirant, qui ne voit pas assez de psy pour se libérer de leurs idées pré-conçues, et peut-être de leurs réelles envies personnelles ...) dans notre monde merveilleus où les médias ne doivent plus connaître le trève des confiseurs, entre NOEL et NOUVEL AN. Aujourd'hui tout est anxiogène, tout est jugé. Alors on vous parle de politique, quand plus personne n'y croit et ne s'y intéresse sauf les journalistes, on parle encore de guerre, de pauvres êtres à l'international, de météo, et de croissance économique. Mais on cache la misère plus proche, les sans-emplois si nombreux auprès de nous, ce cancer social qui semble ne plus avoir ni la priorité pour des remèdes, ni pour être défendu en version réelle sur le terrain.
Alors poussons au loin, la violence des jeux vidéos, les magazines qui mettent des ficelles anorexiques et pré-pubères pour nous faire croire à une éternelle jeunesse, plus loin encore, au bord du précipice, les personnes qui défendent une religion qui leur détruit les pensées, devenant des fantômes errant, des prédicateurs formatés, des irrespectueux de la vie, des autres.
Oui aimons-nous les uns et les autres, pas sexuellement, je laisse chacun se protéger et faire ses choix à ce sujet.
Oui aimons-nous dans le respect des belles tenues, des robes et des jupes, des belles paires de jambes, des talons hauts qui donnent des silhouettes si légères, si féminines.
Oui crions fort notre amour de cette douceur, sans choquer, sans devenir prêtre d'une secte des bas nylon, mais défendons ce choix comme un mode de vie. Une réalité de 2013, de 2014 bientôt. Car si il faut une première fois, pour savoir accrocher ses bas, chaque jour nouveau est un peu de bonheur pour soi.
Oui mettez des bas, en premier lieu pour vous, car cette douceur est unique. véritables bas nylon, si fins, si proches du grain de peau parfait, si lisse, si fluide, si fragile aussi, c'est un millier de bises sur vos jambes. Chaque jour !
Oui mettez des bas pour lui, pour elle, votre compagne, votre compagnon, votre mari, votre amie, pour les autres, mais toujours en premier lieu pour votre mode. car leur regard sera différent de celui qu'il porterait sur vous avec un collant, vous aurez grimpé quelques échelons de plus dans la volupté. Et sous leurs mains, une sensation toujours plus grande de douuuuuuuuceuuuuuuuuur.
Un jour, j'ai dit à un journaliste que "les bas, ceux en nylon cristal avec une couture à l'ancienne, pour les jarretelles, étaient le caviar de vos jambes". Rassurez-vous je ne l'ai consommé qu'avec mes yeux, qu'avec le plaisir partagé de parfois les attacher aux jarretelles sur les jambes de ma compagne. Mais cette sensation, cette présence, cette émotion, tout cela au-delà de la mode, avec des bulles intérieurs du meilleur champagne, appelé Bien-être.
Passion quotidienne, détail vestimentaire, choix d'élégance, tant de définitions existent pour porter des bas nylon. Alors oubliez les autres, leurs préjugés, vous ne faites aucun mal à personne en portant des bas nylon, au contraire vous vous aimez un peu plus dans votre image, dans votre féminité quotidienne. Et le bonheur est une source qui ne doit jamais se tarir, jamais.
Nylonement