Parler de bas nylon en fin de semaine, pour espérer un week-end troublant d'ultra-féminité, un début, un espoir, un tourbillon, je vous laisse doser vos envies.
Bas nylon, un sujet souvent accompagné de peu de mots écrits, mais plus de mots exprimés, de ressentis, de mains évoquant des courbes, des coins et recoins, des jarretelles, bégayant un peu entre leurs émotions et leurs envies charnelles parfois un peu trop soudaines, ou simplement un silence vers de la poésie, des mots choisis, des mots simples pour un univers si multiple. Tant de facettes que j'explore, sans relâche, ici ou sur d'autres blogs, sur des papiers, dans quelques dessins privés, parfois même, oh..., en ajustant des jarretelles pour expliquer à des débutantes en la matière, mais sinon, avec fidélité, en dégustant le jeu du voir, entrevoir et apercevoir des jambes de ma compagne.
Bas nylon, souvent sujet à des photos graveleuses, pornographiques, simplement vulgaires et anatomiques, sans intérêt à mes yeux, mais heureusement des passionné(e)s comblent l'autre frontière glamour, ces espaces nourris des images des années 40-50-60, avec les figues pratiques des jarretelles et des premiers bas nylon à couture, mais aussi l'illustration graphique des pin-up, devenues référence de cet accessoire ultra-féminin. Photos nombreuses, kaléidoscopes des visions de chacun sur chacune des jambes, sur chaque couture, sur chaque voile de nylon, sur chaque denier, sur chaque revers et sur les jambes, les corps qui les portent à merveille.
Bas nylon, sujet de créations nouvelles malgré des productions sur des machines inégalées datant des années 40 ou 50, en France mais aussi aux Pays-Bas et en Angleterre. Vintage parfois, j'en parle si souvent, et d'ailleurs un peu plus dimanche prochain, dans un autre article, bas vintage donc, ceux qui tracent le savoir-faire ancestral, le millésime d'une époque révolue mais d'une finesse transmise, d'une sensation unique souvent sur les jambes, unique car une seule et dernière paire de disponible chez vous. Ces bas nylon, sources de glamour sans le dire, car invisibles sous les jupes des femmes, un choix personnel trop rare, mais dont personne ne connait réellement l'ampleur.
Et puis si ce diamant, quasi transparent, ne fait étalage de son opulence, il est le savant mélange d'une part d'esprit féminin, féministe même parfois, d'une envie bien personnelle de celle qui a fait le choix de le porter. Ajoutant le glamour toujours, un toucher incomparable, une caresse charnelle inconsciente ... consciente pour être soi.
Nylonement
texte publié sur le blog
www.absolue-feminite.blogspot.fr